background preloader

4Feb

Facebook Twitter

2 Reporters Saw Egypt Secret Police’s Methods. Andre Pain/European Pressphoto Agency Arrested Egyptian protesters are escorted by soldiers during clashes at Tahrir square. But our discomfort paled in comparison to the dull whacks and the screams of pain by Egyptian people that broke the stillness of the night. In one instance, between the cries of suffering, an officer said in Arabic, “You are talking to journalists? You are talking badly about your country?” A voice, also in Arabic, answered: “You are committing a sin. We — Souad Mekhennet, Nicholas Kulish and a driver, who is not a journalist and was not involved in the demonstrations — were detained Thursday afternoon while driving into Cairo.

Captivity was terrible. For one day, we were trapped in the brutal maze where Egyptians are lost for months or even years. Many journalists shared this experience, and many were kept in worse conditions — some suffering from injuries as well. We saw more than 20 people, Westerners and Egyptians, blindfolded and handcuffed. [LIVE] Embarqué au Caire » Article » OWNI, Digital Journalism. En direct du Caire, Damien Spleeters suit l'évolution de la situation. Il nous raconte son expérience au plus près des manifestations. Alors que Damien s’apprête à embarquer sur le vol qui le ramène à Bruxelles, nous clôturons sa partie du live. Nous restons attentifs aux informations de François Hien, ici. Mardi 8 février, 10h00 A tous les amis, que vous soyez convaincus ou pas par ce qui s’est passé, il est maintenant temps de faire ce que nous pouvons pour notre pays.

C’est ce message qui circule depuis hier sur les portables égyptiens, depuis la réouverture des banques, depuis que certains sont retournés travailler. Pour ce qui est de l’avenir, Hisham est dubitatif. Lundi 7 février, 18h00 On entend pas mal parler des Frères Musulmans dans cette révolution. Pourtant, pour Assyouti, l’Égypte future se rapprochera plus d’une nouvelle Turquie que d’un autre Iran. Il suffit d’écouter les slogans là en bas pour comprendre que les gens demandent un gouvernement séculaire. 1. Mubarak family fortune could reach $70bn, say experts | World news. Gamal and Hosni Mubarak are reported to have built up huge fortunes, including properties in London.

Photograph: Cris Bouroncle/AFP/Getty Images President Hosni Mubarak's family fortune could be as much as $70bn (£43.5bn) according to analysis by a Middle East expert, with much of his wealth in British and Swiss banks or tied up in real estate in London, New York, Los Angeles and along expensive tracts of the Red Sea coast. After 30 years as president and many more as a senior military official, Mubarak has had access to investment deals that have generated hundreds of millions of pounds in profits. Most of those gains have been taken offshore and deposited in secret bank accounts or invested in upmarket homes and hotels.

According to a report last year in the Arabic newspaper Al Khabar, Mubarak has properties in Manhattan and exclusive Beverly Hills addresses on Rodeo Drive. His sons, Gamal and Alaa, are also billionaires. "Much of his money is in Swiss bank accounts and London property. [HEURE PAR HEURE] Le "vendredi du départ" en Egypte - Monde. Egypte : un ministre tance les manifestants de la place Tahrir. Aux environs de 10h30, les soldats qui encadrent cette place symbolique de la mobilisation égyptienne ont demandé aux protestataires de s’asseoir afin que M. Tantaoui, le ministre de la Défense, puisse s’adresser à eux. «L’homme vous a dit qu’il n’allait pas se représenter», a lancé le ministre, en référence au président Hosni Moubarak qui a annoncé qu’il ne briguerait pas un sixième mandat. Une annonce qui n’a pas apaisé la rue. «Allez dire au Guide de s’asseoir avec eux», a-t-il ajouté, dans une apparente allusion au Guide suprême des Frères musulmans, Mohammed Badie, et au dialogue lancé par le pouvoir avec l’opposition.

De nouvelles manifestations sont prévues ce vendredi en Egypte à l’appel du mouvement de contestation, qui espère en faire la «journée du départ» du président Hosni Moubarak. Les organisateurs espèrent mobiliser, comme le 28 janvier dernier, un million de personnes après la prière musulmane hebdomadaire.