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[LIVE] #Egypte: les dernières heures de Moubarak? » Article » OWNI, Digital Journalism. Inspirée par l'exemple tunisien, la population égyptienne manifeste pour exiger le départ du président Hosni Moubarrak. Dans leur liste de griefs, la corruption et le népotisme du régime. Mardi 25 janvier 2011, le peuple égyptien battait le pavé au Caire et exigeait le départ du président Hosni Moubarak.

L’équipe d’OWNI se mobilise pour vous tenir informé de l’évolution de la situation. Voici ce que nous préparons sur cette propagation de la révolte en Afrique du Nord dans le cadre de notre dossier :Vous disposez d’informations ? N’hésitez pas à nous contacter. Ce liveblogging est désormais clôt compte tenu que les événements semblent se prolonger de manière indécise. . [02h20] Barack Obama : « We hear your voices » Le discours de Barack Obama a été des plus concis et efficace.

Obama a rappelé l’attachement du peuple américain aux valeurs démocratiques et a insisté sur la nécessité de développer la liberté d’expression et d’accès à l’information en Egypte. We hear your voices. Google et Twitter s'associent pour libérer la parole des Egyptiens. Alors que l'Égypte continue de s'enfoncer dans la crise, des solutions pour éviter le blocage d'Internet continuent d'émerger pour aider les Égyptiens à s'informer et rendre compte de la situation sur place.

Près d'une semaine après le début des manifestations, la population a reçu ce week-end le soutien d'un allié de poids : Google. Le géant du web a en effet lancé un service en partenariat avec Twitter pour aider les Égyptiens à éviter la censure. Baptisé Speak-to-tweet (parlez pour tweeter), l'outil permet - comme son nom l'indique - de diffuser des informations sur le réseau de microblogage Twitter en laissant un message oral sur une boîte vocale.

En utilisant le réseau téléphonique, qui est partiellement déverrouillé, les opposants à Hosni Moubarak peuvent pour le moment contourner le blackout qui frappe le réseau des réseaux en Égypte. Pour utiliser Speak-to-tweet, il suffit d'appeler l'un de ces numéros internationaux suivants : +16504194196 ; +390662207294 ; +97316199855. Army pledges no use of force during Tuesday's protests | Al-Masry Al-Youm: Today's News from Egypt. Student dies in Khartoum clashes - Africa. A student who was beaten by police during violent anti-government demonstrations in Khartoum, Sudan's capital, has died of his wounds in Omdurman hospital, protesters have said. "Mohammed Abdulrahman, from Ahlia University, died last night in Omdurman hospital as a result of his ... wounds after he was beaten by police," said an activist who took part in Sunday's protests. "This morning (Monday) both Ahlia University and the Islamic University of Omdurman have been closed by a government decision," said the activist, speaking on condition of anonymity.

Two other students said Abdulrahman had fallen during the clashes and was taken to the hospital, where medics informed them that he had died early on Monday. "Medical sources confirmed to us that the student died yesterday from his injuries inflicted by security forces," said Yasir Arman, the top official in the north of south Sudan's main party, the Sudan People's Liberation Movement (SPLM). 'Martyr' "Al-Gorashy was a martyr for us. Mubarak swears in new cabinet - Middle East.

Hosni Mubarak, Egypt's president, has sworn in a new cabinet in a bid to quell days of mass uprising against him and the government. Three former senior officers are included in the line-up, suggesting a strong security presence in the new government. Mahmoud Wagdi, a retired police general, was appointed the country's new interior minister, replacing Habib el-Adli, who was criticised for brutality inflicted on protesters. Wagdi was previously head of Cairo criminal investigations department and also a former head of prisons. Protesters had demanded Habib al-Adli, the former interior minister, be sacked after police used force on protesters including beatings, tear gas and firing rubber bullets.

Ahmed Abul Gheit, the foreign minister, retained his job, as did General Mohamed Hussein Tantawi, the defence minister, state television reported. A deputy prime minister, finance minister and trade minister, were also appointed in the ceremony on Monday. Ils n'ont plus peur | Michèle Ouimet, envoyée spéciale | Les Égyptiens se soulèvent. Au loin, un bloc gris soviétique qui abrite le Parti national démocratique, le quartier général du président Hosni Moubarak. Les manifestants l'ont incendié. L'édifice à la façade noircie fume toujours, symbole saisissant de la colère du peuple. Des milliers de gens s'entassent place Al-Tahrir, défiant le couvre-feu qui a commencé une heure plus tôt. Le ciel s'assombrit, le soleil va bientôt se coucher... peu importe, personne ne bouge.

L'heure est à la révolte. Partout, des blindés de l'armée. Plus loin, la foule s'agite et crie. F16 en rase-mottes Deux avions F16 survolent la place Al-Tahrir en rase-mottes. «Excusez-moi, parlez-vous français?» Il a vu mon calepin et mon crayon. «Écoutez-moi, s'il vous plaît, écoutez-moi, je suis juge, mon nom est Ahmed Ezzat Nada.» Il attrape mon calepin et griffonne son nom d'une main fébrile. Il fulmine. Il remet ses lunettes et disparaît dans la foule compacte. Fini la peur Tous veulent parler et donner leur nom. La foule crie: «Qu'il parte!