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Schubert

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Portrait de Franz Schubert. La décision peut paraître osée pour l’époque car personne n’avait encore eu l’idée délibérée de vivre seulement de ses compositions !

Portrait de Franz Schubert

Franz est optimiste : il s’est fait de nombreux amis au Stadtkonvikt, et compte se faire héberger par ceux qui l’acceptent au gré des saisons. Le système fonctionne d’ailleurs durant toute sa - courte - vie, à de rares exceptions près. Cela tombe bien car il ne peut se passer de compagnie : il choisit ses amis parmi les meilleurs poètes de l’époque et les meilleurs peintres, dont il apprend beaucoup. Un état de police Les Viennois, notamment les plus jeunes et les plus libres d’esprit, ne parviennent pas à s’habituer au régime policier mis en place depuis peu. C’est la société viennoise dans son ensemble qui cherche à s’oublier dans la musique et la fête : un quart des Viennois dansent chaque soir, dans des salles comme le gigantesque Appolo de 4000 places.

Les lieder : le reflet de l'âme. Franz Schubert (1797-1828) - musicologie.org. Liens || bibliographie || partitions || discographie || Iconographie Né à Vienne 31 janvier 1797, mort à Vienne 19 novembre 1828.

Franz Schubert (1797-1828) - musicologie.org

Il naît dans une banlieue de Vienne au n° 72 de Himmelpfortgrund (la maison s'appelle Au Crabe Rouge) à Lichtental, aujourd'hui 54 Nussdorferstrasse dans le XIe arrondissement de Vienne. Franz T. F. Schubert et Elisabeth Vietz La maison d'Himmelpfortgrund où naît Schubert Il est le douzième enfant de 14 dont 5 survivent. Il suit sa première scolarité avec son père qui lui enseigne entre autres le latin, les mathématiques et le violon. Le 28 mai 1808 Le «Wiener Zeitung» annonce la vacance de 2 pupitres de jeunes choristes à la chapelle impériale. Thérèse Gottloble concours. Von Spaund'avril-mai 1810. Franz Schubert: Le plus grand amour et le plus grand chagrin - Youtube. Franz Schubert - France Musique. Initié au violon par son père, et au piano par son frère Ignace, Franz Schubert fait son apprentissage musical (chant, alto, orgue, contrepoint, harmonie) avec Michael Holzer, organiste de la paroisse de Lichtental.

Franz Schubert - France Musique

Devenu chanteur à la Chapelle Royale de Vienne, il reçoit les leçons d'Antonio Salieri au Stadtkonvikt (ou Akademisches Gymnasium) où il est engagé comme violoniste dans l'orchestre, ce qui lui permet de connaître des œuvres de Wolfgang Amadeus Mozart, Joseph Haydn et Ludwig vanBeethoven. Durant quelques années il exerce les fonctions de maître auxiliaire dans l'école que dirigeait son père, mais ayant pris conscience de son don exceptionnel pour la musique, il décide de se consacrer entièrement à la composition. Si l'ombre de Beethoven habite la musique instrumentale et symphonique de Schubert, c'est dans le Lied que s'impose son empreinte unique. Biographie Franz Schubert.

Linternaute.com > Biographie > Franz Schubert Franz Schubert Né à Lichtental (Autriche) le 31/01/1797 ; Mort à Vienne (Autriche) le 19/11/1828 L'œuvre mélodique, tendre et poétique de Schubert a marqué la naissance du romantisme.

Biographie Franz Schubert

Ses lieder sont le parfait reflet de sa personnalité pessimiste mais innovatrice. Franz Peter Schubert est né le 31 janvier 1797 à Lichtental près de Vienne. C'est en 1813 que cet admirateur de Mozart écrit sa première symphonie, suivie en 1814 d'une Messe en fa majeur et de plusieurs lieder, parmi lesquels figure le magnifique Marguerite au rouet. En 1823, il offre le cycle de lieder La belle meunière, deux ans avant la Symphonie n°9 en ut majeur, dite la Grande Symphonie. SCHUBERT. [Cliquer 2 X pour ouvrir] Franz Schubert : catalogue des oeuvres - musiqueorguequebec.ca.

Les derniers soupirs de Franz Schubert - telerama.fr. Puisque La Folle Journée de Nantes, qui débute aujourd'hui, célèbre Franz Schubert, revenons sur la période la plus fascinante du compositeur.

Les derniers soupirs de Franz Schubert - telerama.fr

Quand, talonné par la mort, il se hâte d'écrire sonates, lieder et symphonies. « Les dernières oeuvres de Schubert contiennent des germes qui ne s'épanouiront que des décennies après leur mise au jour, chez Anton Bruckner, Hugo Wolf, Gustav Mahler », réca­pitulait, il y a quinze ans, le com­po­siteur et chef d'orchestre Hans Zender, en publiant son propre arrangement-orchestration du Voyage d'hiver. Aux trois noms mentionnés, Hans Zender aurait pu ajouter le sien, comme celui d'autres musiciens contemporains stimulés, aujourd'hui encore, par l'oeuvre fertile de Schubert - de l'Allemand Hans Werner Henze (Fantaisie orchestrale sur Le Roi des Aulnes, en 1996) à l'Anglais Thomas Adès (quatuor à cordes Arcadiana, en 1994), de l'Argentin Maurizio Kagel (Aus Deutschland, en 1981) au Français Bruno Mantovani (Mit Ausdruck, en 2002).