Portrait de Charles Gounod. Épuisé par ses années de travail ininterrompu, il repart pour Rome, recherchant le calme et la sérénité que cette ville lui inspire, et entreprend un nouvel opéra, Polyeucte, par lequel il exprime à nouveau ses convictions religieuses.
Il achève cette œuvre à Londres où il s’installe au début de la guerre de 1870 tout en poursuivant ses autres activités de compositeur. Très affecté par la défaite de la France, il écrit notamment une cantate élégiaque, Gallia (1871). À son retour en France, en 1874, Polyeucte ne peut être directement représenté car le manuscrit a été subtilisé à Londres par Georgina Weldon, chanteuse dont il s’était épris et qui n’accepta pas son départ. Gounod reconstitue de mémoire cet opéra auquel il tient par-dessus tout mais dont l’échec auprès du public le consterne : « Périsse mon œuvre, périsse mon Faust, mais que Polyeucte soit repris et vive !
». Gounod Charles (1818-1893) - musicologie.org. [ catalogue des œuvres ] [ écrits ] [bibliographie] [ discographie ] Né à Paris le 17 juin 1818, mort à Paris 18 octobre 1893.
Son père, François-Louis Gounod (1758-1823) est peintre, sa mère Victoire Lemachois (1780-1858) est professeur de piano. Il a cinq ans quand son père décède. Charles Gounod : Biographie - charles-gounod.com. Biographie en 70 dates 17 Juin 1818 Naissance de Charles François Gounod, 11, place St-André des Arts à Paris, second fils de François Louis Gounod, peintre et graveur, et de Victoire Lemachois, fille d'un ancien avocat au parlement de Normandie.
Mort de François Louis Gounod. Et Louis Urbain (1807-1850), Victoire Lemachois donne des leçons de piano. Charles Gounod entre au lycée Saint-Louis. Janvier 1831 Charles Gounod se rend avec sa mère à une représentation de l'Othello de Rossini, avec la Malibran dans le rôle de Desdémone. Nouvelle initiation avec le Don Juan de Mozart.
Les deux événements décident le jeune Gounod à devenir musicien Gounod est confié au compositeur tchèque Reicha, puis Halévy pour le contrepoint et la fugue et enfin à Lesueur pour la composition. Gounod se présentant pour la troisième fois remporte le Grand Prix de Rome. 5 décembre 1839 Il part en Italie en compagnie de Hector Le Fuel, Prix d'architecture. 27 janvier 1840 Arrivée à Rome. Hiver 1840-41 1er mai 1841 Septembre 1842. Charles Gounod - France Musique. Elevé dans une famille de mélomanes, Charles Gounod reçoit l’enseignement de Halévy et Lesueur au Conservatoire de Paris.
Il gagne le Prix de Rome en 1839, et réside à la villa Médicis où il étudie la musique religieuse. En 1843, il devient maître de chapelle et organiste (église des Missions Etrangères) ; il suit également des cours de théologie, mais abandonne l’idée d’entrer dans les ordres peu après l’avènement de la Deuxième République. Gounod étudie Lully,Gluck,Mozart et s’enthousiasme pour Rossini: il est résolumment attiré vers le théâtre lyrique et compose ses premières œuvres sans grand succès (Sapho, Ulysse). Son cinquième opéra, Faust, remporte finalement l’adhésion du public et de la critique. Pourtant il constitue une rupture avec lebel canto italien, privilégiant le lyrisme mélodique à la virtuosité vocale. Charles Gounod - Biographie - Ôlyrix. Gounod à St-Rémy. Le séjour de Charles Gounod à Saint-Remy-de-Provence de Mars à Mai 1863 En 1863, l'organiste de Saint-Remy est un jeune Alsacien, originaire d'Oberbrück (Bas-Rhin): Gervais-Protais Iltis.
(Nous ne savons guère comment il vint ici, mais nous pouvons noter qu'un autre Alsacien l'avait précédé à son poste: Thiébaud Spenlé - celui-là même qui, en 1842, eut la faveur d'inaugurer le bel orgue romantique dont le docteur Louis Mercurin venait de doter la paroisse, et qu'on devait au facteur montpéliérain Moitessier). Les Saint-Remois ont beaucoup de considération pour leur organiste qu'ils n'appellent que Monsieur Iltis - cela seul prouvant sa notabilité, bien que sa condition soit modeste. Mais il incarne la musique sacrée, et son titre ronflant de « maître de chapelle » le range parmi l'élite du pays. Charles Gounod : Oeuvres - charles-gounod.com.
Catalogue des oeuvres de musique religieuse de Charles Gounod. À propos des œuvres arcachonnaises de Charles Gounod – shaapb. Après plusieurs années d’attente, dans le cadre des Journées du Patrimoine, la Société historique avait contribué, à sa manière, à la réussite du concert du 15 septembre 2012, en l’église Notre-Dame des Passes du Moulleau.
Ce concert exceptionnel, donné par l’Ensemble vocal Loré, avait permis d’entendre deux oeuvres « arcachonnaises » de Charles Gounod1. Ces oeuvres, que l’on désespérait de pouvoir redécouvrir, intégrées dans un beau programme, ont été présentées de manière fort originale par un membre de notre société, Jean-Claude d’Ozouville, et le chef Carlo Loré2. Ce qui fait honneur au travail de la SHAA, c’est que l’histoire des partitions retrouvées ne s’est pas arrêtée en septembre 2012. En effet, le compositeur et musicographe Gérard Condé, collaborateur du journal Le Monde et auteur d’une exceptionnelle biographie de Charles Gounod publiée chez Fayard en 2009, nous apporte de nouvelles révélations, notamment sur la Première Messe. Michel BOYÉ 1. . — oOo — Gérard CONDÉ.