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Blog recits-d-yves.fr

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Ecoutez moi cette merveille de groove ! Alors là, la claque ! J’adore ce groove ! En plus le Monsieur nous fait le plaisir de nous décomposer le morcif. Ce qui n’est pas accessoire parce que là, c’est la fête aux ghost notes tout en restant très grrovy et écoutable. Pas de soucis pour faire jouer les copains sur ce genre de boucle et en même temps, ça vous pose un morceau. Personnellement, je le sentirai volontiers un peu plus lent que la version qu’il montre, mais c’est absolument génial.

En tout cas, moi, ça m’enthousiasme d’écouter du rythme comme ça, et je vais m’empresser d’aller me contorsionner la psychomotricité là dessus. Profitez bien de la vidéo et si quelqu’un sait déjà faire ou a des idées d’améliorations, qu’il propose en commentaire. A vous revoir m’sieurs-dames ! Récits d'Yves. Les dangers de l’alcool, ça date pas d’hier… suite et fin. | Réc. Tout est dans le titre (le début est là). On continu : En attendant, il était maintenant parfaitement sobre et craignait déjà amèrement d’avoir à le regretter. “ Et bien sachez que ce triste sire me manquait à l’instant outrageusement de respect !

Vous comprendrez aisément qu’un homme de ma qualité ne puisse admettre une telle offense ! Dit le nobliaux (puis à voix basse et l’air plus vexé qu’un paon déplumé, il poursuivit), ce paltoquet m’a tout de même traité de pourceau !”. La réaction que craignait Francis ne vint pas. Elle fut même tout à fait antithétique. Une chose était sûre, ceux-ci rigolaient comme l’auraient fait des marmousets fiers d’une plaisanterie particulièrement bien réalisée. Maaaiiiiiss comme le dit si bien une chanteuse de ma connaissance, ce qu’il y avait de plus remarquable chez Francis, c’était son QI. Deux conclusions à ce récit, tout d’abord que Mylène Farmer n’existait pas au 17e siècle et, ensuite, que l’abus d’alcool est dangereux pour la santé.

Les dangers de l’alcool, ça date pas d’hier… 1ere partie | Récit. Voici une petite nouvelle humoristique que j’ai écrite il y a de cela un certain temps déjà mais qui me plaît assez. Ça donne à peu près ça : Paris 17eme… siècle. « Fi monsieur ! Sachez que je ne saurais tolérer une telle outrecuidance plus longtemps ! A quatre pas d’ici je vous le fais savoir ! » La vie de Francis de la Montaille ne tenait visiblement qu’à un fil.

Qu’il regrettait alors d’avoir traité, l’alcool aidant, ce Monsieur de la Joquette “d’impuissant pourceau versatile”. C’est par ce motif que les yeux de notre ami étaient les plus impressionnés. Voilà pour ce premier billet. Réputation : Inonder le marché ou plutôt l’embraser | Récits d'Y. Tâchons aujourd’hui de combiner le webmarketing et l’écriture. Voici une réflexion sur la gestion de la réputation à travers une métaphore de mon cru. On parle souvent « d’inonder le marché ». Moi j’ai envie de vous parler de feu. Quand on démarre un feu, on ne sait pas vraiment s’il va prendre et une fois lancé, on n’est jamais sûr de pouvoir le juguler. La notoriété fonctionne sur le même principe.

Ceci dit, revenons au feu. Si ça flambe, plusieurs cas de figure : - On grille nos bûches dans l’âtre et puis au bout d’un moment ça s’éteint parce qu’on a plus de quoi entretenir le feu. - On allume et on se débrouille pour que d’autres amènent leur combustible et l’ajoutent régulièrement à notre feu. . - On allume, on rajoute de l’essence, on en fout de partout. . - Enfin, on allume et puis on s’en va sans faire attention. Donc pour un bon feu de joie : 1- Prévoir de bonnes provisions de combustible (des contenus à communiquer). 5- Inviter à la participation, mais en redoublant de vigilance. La mouette innocente (la Fontaine-like) 1ère partie | Récits d'Y. Une nouvelle neuve inspirée très humblement de l’immense Jean de la Fontaine.

Il y est question de dépeindre le caractère de certains ex-enfants gâtés devenus ensuite… des emmerdeurs. Était une mouette qui bien que relativement jeune encore, atteignait aujourd’hui ce que d’aucuns appellent la majorité. Superbe animal s’il en est, cette mouette, fort habile en vol comme en plongé, était tout à fait à même de satisfaire à ses besoins fondamentaux comme secondaires, tant ses capacités naturelles étaient le parfait résultats de milliers d’années d’évolution victorieuse.

De plus, ce volatile, bien que doté d’un crâne de piaf, était fort sagace et excellait tout particulièrement dans l’art de mener son monde, prenant un malin plaisir à s’adjoindre une aide extérieure providentielle dès que s’en faisait ressentir le besoin. La suite arrive très vite mais n’hésitez pas à me faire part de vos remarques là dessus. La mouette innocente (la Fontaine-like) deuxième partie | Récits. Voici la suite de la nouvelle entamée ici et le début (la fin ?) De ses aventures. Comme énoncé précédemment, les réactions à son égard étaient généralement positives, et ses accès de violence se chargeaient aisément de convaincre les dissidents de la véracité de ses opinions.

Fort de ces différents atouts, l’animal faisant feu de tout bois vivait une existence paisible et insouciante, rassuré qu’il était par la tournure toujours avantageuse que prenaient les évènements qui le concernaient. Cependant ses proches qui le voyaient avancer en âge, se prenaient à craindre son irresponsabilité et son manque de sagesse. Que pouvait devenir un adulte qui ne saurait obtenir lui-même de quoi se sustenter et à plus forte raison de quoi sustenter une famille ? Que deviendrait-il une fois confronté à une situation qui ne permettrait nulle cabriole ou déboucherait sur un non franc et massif ?

Et effectivement, nombreux sont ceux qui le savent, mais pas lui… Mais pas lui… dommage ! Qu’est ce qu’on fait ? La mouette innocente (la Fontaine-like) troisième partie | Récit. L’oiseau n’est pas encore fait qu’on se le dise ! Devant le torrent d’acclamations et de suppliques (!) Exprimées lors du précédent épisode, le revoici notre mouette (c’est un mâle), toujours frais, dispo et un peu en danger sur le bateau des pirates les plus sous-alimentés des sept mers. Nous l’avons quitté alors qu’il s’apprêtait à se faire étrangler après avoir tenté de leur soutirer leur dîner… Presque ! Tout cela s’annonçait très dommage en effet, quand une voix surgit du bout de table, tonitruante et rocailleuse : UN PERROQUET !!!!!!!

Les marins, stoppés net dans leur élan vorace se regardaient tour à tour, tandis que leurs yeux, plus vides d’intelligence encore qu’à l’accoutumé, véhiculaient la plus criantes des démonstrations d’incompréhension crasse qu’il eut été donné de voir depuis que l’homme avait enfin saisie le sens du mot « mariage ». - Voilà exactement ce qui manquait à un pirate de mon envergure par les jupons de ma chienne de mère !! Et maintenant ? La mouette innocente (la Fontaine-like) quatrième partie | Récit. Le quatrième épisode (donc juste après le 3 qui est là) de notre fresque volante sur les malencontreuses aventures d’une mouette écervelée en proie à la colère de marins affamés. Il se vit bientôt acculé contre une chaloupe et soigneusement cerné par une demi-douzaine de marins dont les regards trahissaient maintenant une soif inextinguible de vengeance. Cependant, avant que ne lui fut tordu “malencontreusement” le cou, le destin s’il existe, décida d’intercéder en sa faveur à cet instant.

Le capitaine, puisqu’il fallait le nommer ainsi, se précipita sur lui et l’étreignit avec force comme s’il eut été un être cher disparu de longue date et miraculeusement retrouvé. “Te voilà enfin ô fier volatile, venu tout droit des mer du sud pour servir affectueusement un homme de bien si tristement seul… si dramatiquement seul…” ! “Et bien bande de mollassons, au lieu de me regarder niaisement de la sorte, où en est donc cet agape dont on me rebat les oreilles depuis des jours. “Galion à bâbord “. Récit des goûters de l’enfance. Vous vous souvenez ? Mais siiiiii, on humait l’heure imminente du goûter à des kilomètres à la ronde. L’odeur du gâteau qui sortait du four et qui n’aurait sans doute jamais la chance de refroidir. Moi c’était du kouglof. Étourdissant ! Moelleux, parfumé, délicat. Je me souviens du vieux moule qui contenait ces merveilles. Ou alors la tarte au streusel (prononcez « chtreuillezeul »).

Quelques interminables dizaines de minutes plus tard elle était là. A l’époque, j’avais les yeux juste au dessus de la longue table de bois à l’épais plateau bleu. De mon côté, je maudissais ces curieuses traditions qui exigeaient qu’on ne la dégusta que « tiède ». Enfin, ce n’est pas comme si j’avais eu le choix n’est ce pas ? Et puis à force d’attendre, je m’absorbais pour de vrai dans mes activités palliatives. J’étais impitoyable. Bien joué la tarte. Vous en avez sans doute vous aussi des souvenirs (quasi inavouables) d’irrésistibles goûters.

Une belle plante et du suspense. Voici une nouvelle que j’ai écrite un soir après avoir déambulé un moment dans les jolies ruelles escarpées de mon ancien quartier, les pentes de la Croix Rousse à Lyon. Les réverbères façon becs de gaz et les pavés disjoints m’avaient mis dans un état un peu particulier. Et puis je suis passé devant un bar au nom évocateur… Petit préambule : Ceci est un avertissement à ceux qui aurait par le plus pur des hasards saisi la présente en étant conformistes, ultra rationnels ou simplement dépourvu d’humour et de fantaisie (si vous cumulez le tout, c’est dehors !). Ceci n’a pour autre but que de vous faire saliver deux secondes pour vous laisser enfin, un sourire léger à la commissure des lèvres (ou un rictus appelez ça comme vous voulez), en pensant très fort à une phrase qui m’est désormais familière : “Pff qu’il est con çui là !!”. Maintenant que tout le monde est prévenu, allons-y gaiement… Je tiens aujourd’hui à vous parler d’un sujet qui me tient à cœur.

“J’reprend, j’reprend ! Les Contes des amis d’Al 1er épisode. Je ne sais pas vous, mais moi j’ai toujours rêvé de savoir ce que pouvaient ressentir les premiers découvreurs des amériques. Que peut-on ressentir après deux ou trois mois de traversée à ne contempler que le ciel qui bleuoie et la mer qui merdoie et quand enfin, un matin, la vigie de quart ose s’écrier « Terre ».

Et ensuite, lorsque les marins débarquent dans un monde inconnu… Et ben tiens, on va imaginer qu’ils sont là et on va s’entamer une nouvelle rubrique. Voici donc les Contes des amis d’Al. Al, le conteur aux mille histoires s’approcha de la grande cheminée autour de laquelle tout le petit village était agglutiné. On savait qu’avec Al, les veillées étaient toujours merveilleuses et qu’on irait se coucher des étoiles plein les yeux et des envies de vivre d’autres vies plein le cœur. Bref, Al s’approcha de l’âtre et fit face au foyer un long moment. Lorsqu’il les su tout à fait prêts à l’écouter, il se retourna lentement. Il avait lancé cette première phrase d’une traite. Les contes des amis d’Al 2e épisode. Mes amis, revoici Al le conteur aux mille histoires. Lorsque nous l’avons laissé la dernière fois, il nous parlait de ce que son défunt ami Juan, pirate et explorateur de son état avait découvert aux confins du monde connu après une longue traversée.

Lui et son équipage venait de prendre pied sur une terre inconnue après avoir essuyé une violente tempête… A ce moment, Al prit un moment, pour jauger l’attention de son public. Il s’arrêta, prit une profonde inspiration, se pencha et se saisit d’une bouteille posée à ses pieds. Il en but une grande lampée avant d’exprimer sa satisfaction avec un bruit somme toute peu amen. Du coin de l’œil, il observait la petite salle éclairée à la lumière dansante des bougies posées au sol et sur les tables. Les auditeurs avaient poussé les tables et se tenaient serrés les uns contre les autres. Il tenait dans sa main le bâton rougeoyant qui éclairait son visage par en-dessous. . « Oui ils explorèrent cette terre inconnue. Les contes des amis d’Al 3e épisode. Al revient ou plutôt poursuit son récit des aventures de Juan Feliz, pirate, capitaine du Damascus et découvreur d’une étrange citée suspendue abandonnée ou du moins déserte.

Si vous avez raté le début de l’histoire vous pouvez vous reporter au premier et au second épisode. Et maintenant, replongeons nous dans les contes des amis d’Al… Pas de porte ici. Juste des rideaux blancs, diaphanes. Qui avait bien pu imaginer et créer une telle place ? Le fait est que l’un des marins sentit la première goutte lui tomber sur le nez. Le capitaine Juan s’engagea le premier dans le fût le plus proche, suivi de près par les hommes d’équipage.

Un sol blanc, pas de dalles mais des motifs géométriques hypnotiques sur toute la surface de la pièce. Ils se décidèrent tous, dans un regard. Lorsqu’il posa son pied sur la première marche, il s’attendait à une sorte de grincement, de craquement quelconque mais rien ne vint. Ils montaient ainsi quand ils arrivèrent au premier « carrefour ». Ainsi parla Juan. L’Appel à la plume : l’Ere Victorienne. Aujourd’hui, nous nous lançons dans une rubrique un peu particulière mais que j’avais très envie de mettre en place, j’ai nommé : L’Appel à la plume. C’est mieux que le réveil au clairon, moins dure que la pelle tout court et ça va nous permettre d’échanger. Le principe est simple : - Je vais mettre en ligne un descriptif que j’espère inspirant sur une époque, un thème, un lieu, un style… - Ensuite, je vous proposerai de produire sur la thématique en question soit sous forme de texte, soit sous forme d’image, de photo, bref de ce que vous voulez du moment qu’on peut ensuite en montrer une sélection sur le site. - Et puis si vous ne vous sentez pas inspirez, vous pouvez au moins commenter ce que vous verrez et mettre des liens vers ce qui vous plait ailleurs.

En attendant, voici mon thème du jour, l’ère Victorienne. Et voici de quoi vous mettre sur la voie : On a peur et on a envie de se faire peur. Il fait froid et humide dans les ruelles sordides des bas quartiers. Alors ? Appel à la plume 1ere participation ! Je vous en ai parlé, je vous l’ai présenté, je vous y ai invité et c’est fait !! La première participation à notre désormais bientôt légendaire Appel à la plume est en ligne ! Juliette (puisque c’est bien d’elle qu’il s’agit) nous emmène découvrir à travers son poème ce que ressentaient les femmes de l’Angleterre victorienne, dans un monde masculin, dangereux, sombre et pourtant gouverné par un Reine… Noble de corps, noble de sang, Je devrais être un idéal. Pauvre de droit, pauvre de rang, De lui je ne suis pas l’égal !

Malgré le pouvoir de la Reine Je ne suis que votre jouet, Si Victoria est souveraine Je ne suis guère qu’un laquet. Qui suis-je donc ? On dit que je suis un démon, Mais il est un monstre sans nom Qui vit dans ce petit logis Sordide et dénué de vie. Orphelines et filles de joie, Jeunes filles sans toit ni foi, Font le régal de sa folie Ses lames leur ôte la vie. Difficiles sont ces années Meilleures sont celles à venir ! Et vous qu’en pensez-vous ? Génial.