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Objets connectés – Santé

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CES 2021 : Themis, un miroir de salle de bain connecté pour rester en bonne santé. [CES 2020] Avec son bonhomme connecté, Meyko s’assure que les enfants prennent bien leur traitement. Il a fait du chemin depuis 2017.

[CES 2020] Avec son bonhomme connecté, Meyko s’assure que les enfants prennent bien leur traitement

Le bonhomme connecté Meyko, pensé pour accompagner les jeunes patients dans la prise de leur traitement, prend désormais en charge tout un ensemble de maladies chroniques – et ne se limite donc plus à l’asthme. Epilepsie, diabète, mucoviscidose… Les enfants, dès 3 ans, prennent leurs médicaments plus assidûment lorsqu’ils ont l’impression de jouer avec lui. La start-up nantaise a conçu son appareil en lien avec divers groupes hospitaliers français. Connecté à une application pour smartphones, sur laquelle les horaires de prise du traitement doivent être rentrés manuellement au préalable, Meyko arbore des expressions différentes selon que le patient a pris ses médicaments ou non. Il est triste si l’heure a été dépassée, étonné pendant la prise.

Concrètement, le jeune patient présente son médicament au bonhomme, qui le reconnaît par un tag. Dyslexie : des lunettes connectées pour aider les enfants à lire. Mises au point par la start-up Abeye, les lunettes Lexilens s'appuient sur les travaux de chercheurs rennais, qui ont découvert dans une zone de la rétine l'origine de la dyslexie.

Dyslexie : des lunettes connectées pour aider les enfants à lire

Grâce à des filtres électroniques, les lunettes suppriment l'image miroir qui se forme dans le cerveau des personnes dyslexiques. L'efficacité des lunettes est estimée de 75 à 90 %. Des lunettes connectées pour venir en aide aux enfants dyslexiques. Youtube. Lumière bleue : quels sont les dangers des écrans de nos objets connectés ? Avec le déploiement des nouvelles technologies, la lumière bleue est, depuis plusieurs années, au cœur de nombreux débats scientifiques.

Lumière bleue : quels sont les dangers des écrans de nos objets connectés ?

Unanimement critiquée pour ses conséquences néfastes sur le sommeil, elle n’en reste pas moins un phénomène méconnu du grand public. Nous décryptons pour vous l’impact de cette source lumineuse sur vos nuits. La lumière bleue, source d’un important dérèglement hormonal D’après l’enquête INSV-MGEN dirigée par Opinion Way, 90 % des Français utilisent les nouvelles technologies avant de dormir. Pourtant, de nombreuses recherches ont mis en lumière une incidence particulièrement néfaste de cette hyperconnection sur la qualité de sommeil. Lumière bleue : de quoi parle-t-on ? Depuis le début des années quatre-vingt-dix, la LED bleue a généré d’importantes avancées technologiques. Neuralink : Elon Musk fait une démonstration de l'implant sur des cochons. Pendant que Gertrude, paisible cochon, avait le groin plongé dans sa mangeoire, Elon Musk présentait la puce implantée dans le cerveau du cobaye, lors d'une conférence de presse sur YouTube, le 28 août dernier.

Neuralink : Elon Musk fait une démonstration de l'implant sur des cochons

Les objets connectés peuvent-ils détecter la Covid-19 ? Cet article fait partie de la rubrique du Détecteur de rumeurs, cliquez ici pour les autres textes.

Les objets connectés peuvent-ils détecter la Covid-19 ?

Après l'échec de son « StopCovid », Singapour veut fournir des bracelets connectés à toute sa population. Faute pour l'application de traçage des contacts d'avoir été décisive face à l'épidémie, Singapour imagine une autre stratégie : des bracelets connectés distribués à toute sa population.

Après l'échec de son « StopCovid », Singapour veut fournir des bracelets connectés à toute sa population

Téléchargée 1,5 million de fois dans un pays qui compte 6,2 millions d’habitants, l’application TraceTogether n’a pas réussi à aider Singapour à contenir l’épidémie de coronavirus. La cité-État a dû se résoudre à imposer un confinement généralisé à sa population, qui s’est mis en place début avril et a duré jusqu’au début du mois de juin, et des restrictions plus importantes. C’est dans un contexte mêlant travailleurs en forte promiscuité et application qui fonctionne mal, car ne reposant pas sur les outils Apple/Google que l’on assiste à un durcissement de la stratégie singapourienne face au coronavirus. Ces tatouages scannant le cerveau sont-ils le futur des objets connectés ? Des chercheurs autrichiens étudient l’utilisation de tatouages éphémères dotés d’électrodes pouvant servir de scanneurs pour le cerveau, ouvrant le champ des possibles pour les objets connectés.

Ces tatouages scannant le cerveau sont-ils le futur des objets connectés ?

Les recherches sont menées par une équipe de scientifiques de l’université de technologie de Graz en collaboration avec d’autres centres de recherche européens. Toulouse : une start-up invente un objet connecté destiné à la sécurité sanitaire post-Covid. Il s'appelle le "POD Sentinel" et il vient d'être lancé par la start-up toulousaine RUBIX S&I, spécialisée dans le développement d'objets connectés pour l'identification et le suivi des nuisances.

Toulouse : une start-up invente un objet connecté destiné à la sécurité sanitaire post-Covid

Ce petit boîtier pourrait devenir indispensable pour la sécurité sanitaire en période post-Covid. Jusquà présent, l'électronique appliquée et les objets connectés servaient surtout à des applications de confort. Des thermomètres connectés pour suivre la progression du Covid-19. Le 21/04/2020, par Jon Gold / Network World (adaptation Jean Elyan), Réseaux, 491 mots Imprimer Avec ses thermomètres connectés, le fabricant Kinsa se trouve propulsé au premier plan de la crise sanitaire : en effet, sa solution pourrait permettre de suivre la propagation du Covid-19.

Des thermomètres connectés pour suivre la progression du Covid-19

Spécialisée dans les technologies de la santé, la start-up californienne s'appuie sur l'IoT pour créer un réseau de thermomètres connectés, collectant une énorme quantité de données sanitaires anonymes qui pourraient permettre d'avoir un bon aperçu sur la propagation de la pandémie actuelle, mais aussi des futures épidémies. Selon Inder Singh, fondateur et CEO de Kinsa, la capacité à suivre la fièvre en temps quasi réel sur tout le territoire américain pourrait offrir une information cruciale au public en général et aux responsables de la santé et du gouvernement. Une carte de santé supplémentaire Carte de l'évolution de la grippe aux États-Unis le 1er avril 2020 grâce aux données collectées par Kinsa.