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Kit de secours en cas de bad buzz : 5 conseils à ne pas oublier - Cédric Deniaud - Medias sociaux, gestion de communauté et webmarketing. User-generated content. Many commercial websites rely on UGC. For example,Amazon.com and Trip Advisor rely on users to rate products and hotels and restaurants, respectively.[2][3] These reviews are important part of what the two respective websites offer.

When UGC is contained in commercial websites it is often monitored by administrators to avoid offensive content or language, copyright infringement issues, or simply to determine relevancy of the content to the site's theme. Because user-generated content is generally free to store, the world's data centers are now replete with exabytes of UGC that, in addition to creating a corporate asset,[4] may also contain data that can be regarded as a liability.[5][6] General requirements[edit] The advent of user-generated content marked a shift among media organizations from creating online content to providing facilities for amateurs to publish their own content.

The OECD has defined three central schools for UGC:[9] Adoption and recognition by mass media[edit] Le profilage aboutit à des recoupements potentiellement dangereux. L'analyse des informations engrangées par les systèmes capables de pister la navigation d'un internaute n'est pas une science exacte. D'autant plus avec les réseaux sociaux. Analyser les habitudes des visiteurs d'un site est déjà une pratique courante. Rapportée aux réseaux sociaux, cela menace l'anonymat de données récoltées. Voici la conclusion des chercheurs à l'Institut Polytechnique de Worcester, qui ont étudié le mécanisme permettant aux sites d'associer les habitudes de navigation aux personnes surveillées. Comme beaucoup de sites Web commerciaux, les réseaux sociaux veulent connaître les habitudes numériques de leurs membres. Le but étant de leur proposer les offres publicitaires les mieux adaptées à leurs goûts.

Sept outils pour mieux gérer ses réseaux sociaux - Actualités Internet. Communauté de photographes. RadicalBuy : le-commerce de la "Long tail" sur Facebook - Capitaine Commerce : la conception de sites de commerce électronique. Les bonnes applications ecommerce de Facebook ne se sont pas bousculées au portillon Facebook, à son lancement, déchaîna les velléités créatives des marketeurs qui voyaient dans l’APPLICATION sociale 2007 la Graal du marketing Direct : vendre exactement le produit qu’il fallait exactement à l’exactement bonne personne.

Mais depuis, pshiiit, plus rien ou pas grand chose. Les applications ecommerce intelligente et valable ne se sont pas bousculées au portillon et le ecommerce sembla devenir le parent pauvre des applications débiles (Hot or Not Hot, Are you Interested, Bumper Sticker, Owner et autres Send Beer), spécialitées patentées de Facebook.

RadicalBuy pourrait bien mettre un terme à cette traversée du désert en proposant un concept qui, comme on dit, tient la route. Le principe en est simple : Explication sur la commission RadicalBuy vous permet de demander à vos amis (les vrais) de vendre la serpillère pour vous. Achetez mon petit ours C’est très beau sur le papier. Fotolog - Partagez vos photos. Faites vous des amis. C'est facile! Les e-commerçants ont leur coach. Smilehouse propose une solution intégrée comprenant logiciel de création, système de maintenance et réseau social.

Le but : encourager les commerçants à se lancer sur le web. Pour les e-commerçants, il est désormais possible de proposer aux clients une découverte de leurs produits en trois dimensions : reproduction de boutique en 3D, essayage virtuel... Encore faut-il savoir gérer sa boutique en ligne avec succès. Pour simplifier cet aspect technique et encourager un plus grand nombre de professionnels à se diriger vers la vente sur Internet, Smilehouse propose une solution intégrée. Plus d'un tiers des français consultent des réseaux sociaux - Actualité sur Journal du Net E-business. Les réseaux sociaux font partie des sites collaboratifs les plus consultés en France. Mais tous ne disposent pas de la même notoriété ni du même réservoir de membres.

Les sites collaboratifs au sens général du terme occupent aujourd'hui une place de choix dans l'actualité de l'Internet en France comme à l'international. Mais quels usages en ont vraiment les internautes ? Tous ces sites peuvent-ils se faire une place pertinente sur la Toile ? Pour tenter d'y voir plus clair, le cabinet d'études Harris Interactive a conduit une enquête entre le 9 et le 16 avril auprès d'un échantillon de 1.000 personnes, représentatives de la population des internautes français âgés de 15 ans et plus (voir la méthodologie).

Premier constat : les sites collaboratifs rencontrent effectivement un véritable succès auprès des internautes français. 60 % d'entre eux déclarent consulter ce type de site. Mais là encore, il existe d'importantes différences entre réseaux sociaux. Les réseaux sociaux stimulent l'e-commerce. Les membres les plus actifs des réseaux sociaux en ligne seraient en moyenne plus nombreux à visiter des sites commerciaux liés aux loisirs, aux Etat-Unis.

L'habillement en ligne et la mode seraient particulièrement appréciés. Aux Etats-Unis, les adeptes des réseaux sociaux seraient plus enclins à visiter des sites commerciaux orientés sur le loisir que la moyenne des internautes. Pour le mois d'août, comScore relève ainsi que la quasi intégralité des utilisateurs réguliers de Facebook et autres MySpace, soit 95 % d'entre eux, se seraient connectés à des sites de vente de produits culturels (musique, livres, vidéo), d'habillement et d'accessoires de mode, ou encore de sites dédiés à la vente d'appareils high tech. Soit beaucoup plus que les autres internautes américains qui ont été 80 % à se rendre sur ces mêmes types de sites de e-commerce sur la même période. Toute l'innovation américaine sur le site de L'Atelier US L’Atelier groupe BNP Paribas.