background preloader

Idées et réflexions

Facebook Twitter

Le bilan d’une banque. Le bilan d’une banque Le bilan est une photographie à un instant donné de la situation patrimoniale d’une société. La structure du bilan d’une banque est différente de la structure des autres sociétés. De manière simplifiée, le bilan d’une banque se présente de la façon suivante : Le passif renseigne sur l’origine des ressources, c’est-à-dire les fonds collectés par la banque.L’actif informe sur l’utilisation des fonds collectés. Le cadre comptable ventile le bilan d’une banque en 5 classes. Les actifs et les passifs de la classe 1 correspondent aux opérations interbancaires celles que la banque réalise avec d’autres institutions financières, dans le cadre de sa gestion de trésorerie.

Les actifs et les passifs de la classe 2 correspondent aux opérations avec la clientèle. La classe 4, à l’actif, contient les valeurs immobilisées, c’est-à-dire les biens et valeurs censés demeurer durablement dans le patrimoine de la banque. En milliards d’eurosSource : ACPR La rentabilité nette Le hors-bilan. 12 ans de téléréalité... au-delà des critiques morales. Lundi 24 juin 2013 Arrivée en avril 2001 sur nos écrans avec Loft Story, la téléréalité a été reçue par une levée de boucliers extrêmement vive. Pourtant, en 2013, ces programmes sont toujours à l’antenne, et surtout, ils figurent parmi les plus regardés. Comment a-t-on su banaliser des émissions si décriées ? Comment s’est-on efforcé de rendre éthique un genre polémique et anxiogène ? Comment a-t-on jugulé une controverse née de l’incapacité à saisir la nouveauté autrement que par la crainte et la dénonciation ?

Comment a-t-on instauré de la confiance entre les téléspectateurs et des programmes suscitant une méfiance intense ? A propos de l’auteur Sociologue des médias, Nathalie Nadaud-Albertini est chercheuse associée au Centre d’Études des Mouvements Sociaux à l’École des Hautes Études en Sciences Sociales. Ina Editions dans la collection « médias histoire » Prix public : 20 € Votre cerveau au bureau : mode d’emploi efficace. Vendredi 26 avril 2013 Vous avez l’impression que votre journée de travail est une longue succession d’évènements stressants et fatigants : avalanche de mails, réunions épuisantes, changements continuels de stratégie, surchage d’information… Ce livre est écrit pour vous ! S’appuyant sur les découvertes surprenantes des neurosciences quant au fonctionnement du cerveau, l’auteur nous livre un mode d’emploi bien utile pour vivre intelligemment sa journée de travail et en profiter au maximum.

Et d’évoquer quelques surprises résultant de la recherche sur le cerveau. On ne peut se concentrer vraiment que sur une seule chose à la fois. Passer d’une tâche à l’autre consomme de l’énergie, diminue la précision et la performance. David Rock, l’auteur, est consultant, coach et cofondateur de NeuroLeadership Institut & Summit. Il nous propose de suivre Emilie et Paul, cadres des temps modernes, au travers de leur journée professionnelle. Comment gérer ses émotions ? Et quid de la bataille du statut ? Peut-on jamais être innocent ? À la suite d'un coup de gueule que j'ai piqué sur Facebook, un débat est né sur ce support qui m'a fait réaliser à quel point un malentendu pouvait exister chez certains de mes concitoyens. J'exprimais ma colère à l'égard du comportement de ceux qui, à l'occasion de la mort d'un artiste mondialement connu, ressortent des accusations sur des tendances perverses à l'égard des mineurs qu'il aurait eues de son vivant.

Au-delà de l'inélégance du propos (car il n'y a rien de plus urgent, quand ceux qui aimaient une personne sont encore frappées par le deuil, que de jouer au sycophante sur la dépouille), il pose un problème éthique plus profond. Cette personne non seulement n'a jamais été condamnée, mais en plus, elle a fait l'objet de poursuites pour dix chefs d'accusation qui ont tous aboutis à un acquittement le 13 juin 2005 après six mois de débats.

Il ne s'agit pas de constater une évidence : la force du préjugé. À lire cela, mon sang se glace. Vous imaginez la conséquence ?