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Bourgogne-Franche-Comté

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Fusion des régions : la vérité des chiffres. En Franche-Comté, le décrochage est bien antérieur à la crise et date de 2004, avec la baisse du secteur automobile à l’exportation.

Fusion des régions : la vérité des chiffres

Photo d’archives ER faut-il vraiment se « marier » avec la Bourgogne ? Depuis des semaines, le débat fait rage. Et l’enquête que sort aujourd’hui l’Insee sur l’évolution économique des régions depuis vingt ans ne pouvait mieux tomber pour apporter un autre éclairage sur un sujet où chacun des deux camps ferraille en affûtant ses arguments. Si l’on en juge par les statistiques dévoilées, la « dote » de nos voisins bourguignons est en tout cas loin d’être aussi attractive que ne pourrait le laisser entrevoir l’image de carte postale véhiculée par la richesse de leurs vignobles. Le tertiaire bourguignon exposé à la concurrence de Lyon et Paris Les ingrédients des difficultés bourguignonnes sont en la matière clairement identifiés.

La démographie est peu porteuse (5 fois moins qu’au niveau national). Edito.jpg (JPEG Image, 1000 × 1723 pixels) - Scaled (58%) Communication_des_Presidents_aux_membres_de_leur_Assemblee.pdf. France 3 Franche-Comté - Fusion des régions: Marie-Guite Dufay face aux Francs-Comtois. Réforme territoriale : et maintenant que va-t-il se passer en Franche-Comté ? Une question a été tranchée par le Président de la République : celle du rapprochement de la Bourgogne et de la Franche-Comté.

Réforme territoriale : et maintenant que va-t-il se passer en Franche-Comté ?

C’est par la voie législative qu’elle sera entérinée. Mais que compte faire maintenant la présidence de la région Franche-Comté ? Le calendrier est très serré : une proposition de loi au conseil des ministres dans deux semaines, puis la navette législative et des élections prévues dans moins de 18 mois… En ce moment même, deux types d’actions sont déjà en cours : un travail entre les administrations des deux régions pour savoir comment travaillent les uns et les autres, sur une dizaine de thématiques comme le transport, la formation ou la recherche. Un travail d’experts avec un comité des sages en Franche-Comté a débuté. Parallèlement, il va falloir consulter les élus.

Dans un deuxième temps, à l’automne, le débat devrait s’ouvrir vers les citoyens. La question d’un référendum se pose également. Marylise Lebranchu à Besançon pour lancer la fusion entre la Bourgogne et la Franche-Comté. Le cas de Belfort : tiraillé entre deux histoires... Fusion Bourgogne Franche-Comté.

Le cas de Belfort : tiraillé entre deux histoires...

1961 : la Franche-Comté racontée par un décret « portant approbation d’un plan régional de développement » Naissance de la circonscription administrative de Franche-Comté A priori, un décret qui a pour titre « décret portant approbation d’un plan régional de développement et d’aménagement de la Franche-Comté », ce n’est pas très rigolo.

1961 : la Franche-Comté racontée par un décret « portant approbation d’un plan régional de développement »

C’est mésestimer la lecture des grands textes. Car ces 50 pages signées du premier Ministre de l’époque Michel Debré nous racontent pourquoi la Franche-Comté a fait l’objet d’un plan particulier. Marylise Lebranchu à Besançon pour lancer la fusion entre la Bourgogne et la Franche-Comté. NEVERS (58000) - Jean-François Bazin : "La fusion Bourgogne/Franche-Comté serait une erreur" Ancien président du Conseil régional de Bourgogne (1993-1995), ancien premier adjoint au maire de Dijon, désormais écrivain et historien, Jean-François Bazin a rendu publique une tribune dans laquelle il s'oppose à la fusion des régions Bourgogne et Franche-Comté. « Annoncée partout, la fusion Bourgogne-Franche-Comté est une rumeur née des propos des présidents PS de ces régions (Mme Dufay et M.

NEVERS (58000) - Jean-François Bazin : "La fusion Bourgogne/Franche-Comté serait une erreur"

Patriat), ne reposant sur rien. Tous deux le refusaient auparavant. Leurs programmes électoraux n’en parlaient pas. Aucune consultation des assemblées. Le sujet nécessite un vrai débat. Travailler ensemble, bien sûr. 1/ Créer des querelles ridicules entre nos régions, Besançon et Dijon. 2/ Démembrer sans raison la Bourgogne. 3/ Dépenser inutilement argent et énergie pour la seule mise en place de la fusion : 50 millions d’euros au minimum. DIJON (21000) - En s’unissant, Bourgogne et Franche-Comté devraient éviter des doublons coûteux.

S’interroger sur le choix de la future capitale de Bourgogne/Franche-Comté, c’est voir le rapprochement des deux régions « par le petit bout de la lorgnette », commente François Patriat.

DIJON (21000) - En s’unissant, Bourgogne et Franche-Comté devraient éviter des doublons coûteux

Qui glisse quand même, en se gardant de prononcer le nom de Dijon, que « la capitale s’imposera d’elle-même par son attractivité, ses services ». Ce que le président PS de la région Bourgogne juge pour l’instant capital, c’est d’avancer vers l’union des deux régions. Pour quels résultats concrets ? « Lutter plus efficacement contre le cancer », répond François Patriat, en renvoyant au laboratoire d’excellence Lipstic, à Dijon, porté notamment par des fonds des deux collectivités. Ce qu'on pense de cette fusion dans le centre-ville d'Auxerre : Le sénateur de Côte-d’Or cite également des économies d’échelle estimées, « au doigt mouillé, entre 5 et 10 M€ la première année », pour atteindre un total de « 34 M€ en trois ans sur le budget de fonctionnement ».

Bourgogne et Franche-Comté vont bien fusionner. 04/06/2014 | La Gazette de Côte d'Or n° 388 | Par Rédaction Envoyer à un ami Réagir Télécharger le numéro Partager sur Facebook Partager sur Twitter François Hollande a finalement opté pour la création de 14 « super-régions » et non 12 comme cela avait été souvent avancé.

Bourgogne et Franche-Comté vont bien fusionner

En revanche pas de surprise, la Bourgogne et la Franche-Comté vont fusionner. François Hollande a tranché pour un redécoupage du territoire en 14 « super-régions ». Dans une tribune publiée mardi, le chef de l’État explique que la nouvelle carte des régions sera soumise au vote du Parlement, insistant au passage sur la nécessité d’« aller vite car il ne nous est pas permis de tergiverser sur un sujet aussi important pour l’avenir du pays ».

François Hollande a par ailleurs confirmé que « dans ce nouveau contexte, le conseil général devra à terme disparaître. [...] Bourgogne-franche comté : PAROLE DES LECTEURS DU NOUVEL OBS. Bourgogne-franche comté : PAROLE DES LECTEURS DU NOUVEL OBS. Intercommunalités : il faudra redécouper. L’annonce est un peu passée au second plan lundi soir.

Intercommunalités : il faudra redécouper

Mais dans sa tribune, François Hollande n’a pas parlé que de la fusion des régions impliquant le mariage (déjà amorcé) entre la Bourgogne et la Franche-Comté. Le chef de l’État a également prononcé l’arrêt de mort des conseils généraux et l’avènement des intercommunalités. François Hollande souhaite que les départements s’évaporent en 2020. En conséquence, les compétences des conseils généraux devront se répartir entre les grandes régions et les intercommunalités. Mais pour que les communautés de communes aient les épaules suffisamment solides pour gérer davantage de compétences, le président de la République a évoqué un seuil minimum de 20 000 habitants. 26 communautés de communes trop petites Au 1er janvier 2014, la Saône-et-Loire a enfin pu étrenner sa nouvelle carte de l’intercommunalité résultant de plusieurs fusions.

Un découpage à 18 imaginé en 2011 « Reprendre tout à zéro » « C’est irréalisable ! Fusion des régions: le conseil général du Jura, à majorité PS, demande un référendum. Actualités. Bourgogne Franche-Comté, super-région. La France sera redécoupée en 14 régions contre 22 actuellement François Hollande a finalement opté pour la création de 14 « super-régions » et non 12 comme cela avait été souvent avancé.

Bourgogne Franche-Comté, super-région

En revanche pas de surprise, la Bourgogne et la Franche-Comté vont fusionner. François Hollande a tranché pour un redécoupage du territoire en 14 « super-régions ». Dans une tribune publiée mardi le chef de l’État explique que la nouvelle carte des régions sera soumise au vote du Parlement, insistant au passage sur la nécessité d’ « aller vite car il ne nous est pas permis de tergiverser sur un sujet aussi important pour l’avenir du pays » François Hollande a par ailleurs confirmé que « Dans ce nouveau contexte, le conseil général devra à terme disparaître. [...]L ‘objectif doit être une révision constitutionnelle prévoyant la suppression du conseil général en 2020. [...]