Communication insectes. La communication chez les insectes texte. Le rôle des protéines liant les odeurs (OBP) dans la transduction olfactive. Actes Colloques Insectes Sociaux. Phéromones, polymorphisme et reproduction chez les Insectes sociaux. Bulletin de la Société entomologique de France Apis mellifera L C'est chez l'Abeille domestique que nos connaissances sont, d'assez loin, les plus précises.
La reine agit de multiples façons sur les ouvrières de la ruche : attraction et formation d'une «cour », inhibition de la construction de cellules à reine, inhibition des ovaires, etc. Ces diverses actions sont dues avant tout à un ensemble de substances chimiques produites par la reine et désigné globalement par le nom de «substance royale », dont le composé principal, l'acide ceto-9-decene-2-transoïque, a été identifié en 1960 par Barbier et Lederer et par Callow et Johnston. La substance royale est sécrétée principale¬ ment par les glandes mandibulaires, mais d'autres sources paraissent exister, en particulier les glandes tergales (Velthuis 1970). Bourdons L'organisation sociale y est beaucoup plus simple, et les rapports interindividuels beaucoup plus réduits (absence d'échanges trophallactiques). Communication chimique et régulations sociales dans la colonie d’abeilles. Abstract : In the honeybee colony (Apis mellifera L.) studies of the chemical communication are essential to understand social regulations.
In the honey bee colony more than 50 chemical substances with releaser and primer effects have been identified. Despite years of research on this type of communication, significant work remains to be done.In this thesis, the aim is to characterize the dynamics of a major pheromone: ethyl oleate (EO), which optimizes the balance between nurses and foragers in the colony. In addition, we initiated research on the queen and brood chemical communication in which only two pheromones have been identified in the colony.We have demonstrated that EO production by workers varies under different colony environment.
Les activités antennaires au cours des contacts trophallactiques chez la fourmi Camponotus vagus Scop. L'étude des positions et mouvements d'antennes qui accompagnent les transferts de substances d'une ouvrière de Fourmi à l'autre, au cours des contacts trophallactiques, pose le problème de la valeur de signal de ces différents actes.
ChezCamponotus vagus, ces unités comportementales sont organisées de manière séquentielle. Il n'y a pas stéréotypie des séquences; on enregistre une grande variablité, en particulier chez l'ouvrière donneuse. D'autre part, il apparaît des différences dans l'organisation des séquences et leur variabilité, en relation avec la fonction sociale exercée par l'ouvrière (récolteuse ou nourrice). Apidologie antennes. L'univers sonore animal. Au milieu des bois au printemps, ou dans la prairie à midi en été, tout chante, tout stridule.
Cette impression d'un monde sonore saturé est plus nette encore la nuit en forêt tropicale, ou après une pluie autour d'une mare de la savane. Cet univers sonore, constitué de sons et de bruits définis par des caractères de fréquence, de temps et d'occupation spatiale, n'est-il qu'un assemblage quelconque de sons et de bruits ou existe-t-il une organisation du monde sonore animal, une adaptation de la structure des différents signaux? La stridulation de Acromyrmex octospinosus. La stridulation deAcromyrmex octospinosus Reich. est étudiée d'une manière descriptive en deux étapes: La première définit les paramètres et coefficients de forme de l'organe stridulateur (pars stridens) selon les groupes morphologiques.
Une comparaison des données absolues et regressées est faite avecAtta cephalotes d'après les résultats deMarkl (1968). La seconde étape est représentée par l'analyse acoustique du bruit émis. Les cadences, les niveaux sonores, la spectrographie des fréquences et l'oscillographie des émissions sont étudiés selon les groupes. La stridulation deAcromyrmex octospinosus Reich. est étudiée d'une manière descriptive en deux étapes: Actes Colloques Insectes Sociaux. Couleur et mouvement dans la vie d'un insecte. Vision des insectes - partie 3 : recepteurs physiologiques, couleurs et polarisation. Les yeux (la vision), dans leur diversité de forme et de structure, permettent à un organisme, quel qu’il soit (invertébrés et vertébrés), de collecter l’énergie lumineuse (photons), de la convertir en énergie électrique qui sera ensuite transmise au cerveau via des neurones où elle sera analysée et interprétée pour donner naissance à une représentation mentale de l’environnement à l’animal lui permettant de se déplacer, de repérer une proie ou un partenaire sexuel.
Cependant, l’oeil des arthropodes est différent de celui des vertébrés tant au niveau de son anatomie que de son mode de fonctionnement. Cette série de trois articles essaie d’apporter une synthèse générale sur la vision chez les insectes : 1) Anatomie et structure des yeux ; 2) Vision et perception du mouvement ; 3) Physiologie des récepteurs et mécanismes de régulation de la sensibilité à la lumière. I. Transduction de l’énergie lumineuse en énergie électrique II. II.1. Yeux de types superposition Yeux de type apposition III.
Comment les reconnaître ? - Insectes de France. Insects. Insectes.