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Devoir litté jeunesse

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Filles et garçons dans littérature jeunesse, à bas les stéréotypes ? Un souffle de revendications égalitaires entre les sexes émane dans les années 1960, de jeunes femmes dont les mères ont conquis à peine vingt ans plus tôt le droit de vote : elles dénoncent le sort réservé aux femmes et veulent construire une société qui offre à l’homme comme à la femme un statut égal. © Être, 2009 La littérature de jeunesse suit quelques années plus tard ce mouvement, et c’est alors qu’apparaissent les premières héroïnes qui soulèvent la question de l’injustice que les femmes subissent en tant qu’être féminin.

Filles et garçons dans littérature jeunesse, à bas les stéréotypes ?

Le mouvement des femmes a posé le problème de la place de la femme dans le monde économique, social, politique et culturel ; on cherche par conséquent de plus en plus à analyser la position de la petite fille. Figure emblématique de ce questionnement, Julie, [1] en 1976, bouleverse le monde schématique des écrits pour enfants, en évoquant les difficultés identitaires d’une petite fille qui cherche à se libérer du rôle sclérosant dans lequel la société l’enferme. Le choix d'Adélie. Brève présentation par l'éditeur Lyon, 1913.

Le choix d'Adélie

Malgré les préjugés, Adélie, 17 ans, est bien décidée à poursuivre ses études à l’université pour devenir médecin. Lors d’un déjeuner organisé par ses parents, elle rencontre Antonin, qui, comme elle, se destine à des études de médecine. Les deux jeunes gens tombent amoureux l’un de l’autre. Mais leur idylle ne dure pas. L'éditeur : Oskar jeunesse Les éditions Oskar ont créé Oskar Jeunesse en octobre 2005.Au niveau de leur politique éditoriale, ils privilégient des livres à contenu « éducatif » : - "Mes premiers apprentissages", une collection de livres drôles et pédagogiques pour les tous-petits. - Pour les petits (de 6 à 8...

Garçon ou fille. Pourquoi pas moi ? Les Ombres de Ghadamès. Billy Eliott. Rollermania. Maïté coiffure. L'avis de Ricochet Louis Feyrières est en classe de 3ème, mais le collège n’est pas trop sa préoccupation du moment.

Maïté coiffure

Il n’aime pas l’école et s’estime souvent bon à rien. Comment alors pouvoir faire son stage d’entreprise. Ce n’est pas trop son affaire. Par hasard, grâce à sa grand-mère (Bonne-Maman), on lui trouve un stage dans un lieu étonnant pour un adolescent d’aujourd’hui : le salon de coiffure de quartier de Madame Maïtié. L'éditeur : Ecole des Loisirs (L') En marge de la maison d'édition scolaire "L'Ecole", Jean Fabre crée en 1965 les éditions de L'Ecole des Loisirs.

Baby-sitter blues - Marie-Aude Murail. Lors de mon séjour à Paris chez une amie il y a quelques semaines, nous avons fait un tour chez les bouquinistes.

Baby-sitter blues - Marie-Aude Murail

J'en ai profité pour faire quelques achats (vu les prix, je n'allais pas me priver !) Dont ce petit livre de Marie-Aude Murail. J'aurais préféré trouver Oh, boy ! Que j'avais lu et aimé au collège, ou encore Simple que de nombreuses blogueuses ont récemment aimé et chroniqué, mais ils n'y étaient pas. Je suis donc ressortie avec Baby-sitter blues, entre autres choses.

Olympe de Gouges - Catel. Olympe de Gouges coécrit par Catel et Bocquet est un livre que l'on qualifie de roman graphique, c'est-à-dire une bande dessinée généralement longue, sérieuse et ambitieuse, destinée à un lectorat adulte, la BD étant en fait quelque chose de ludique, frivole que l'on réservera aux enfants.

Olympe de Gouges - Catel

Au passage, je signale que ce roman à près de 488 pages et pèse 1 049 grammes (c'est mon amie Lydia qui l'a pesé), donc, il faut être bien calée pour le lire, sinon il s'échappe des mains.Ce que j'en pense : Ce roman graphique est très intéressant car on y trouve une étude très détaillée de la société de la deuxième partie du XVIIIe siècle. Les auteurs s'attardent (un peu trop à mon goût) sur son enfance en province pour démontrer les écarts de la société de l'époque, avant d'entrer dans la vie d'Olympe à Paris. Buffalo Belle. L'avis de Ricochet Très vite, on comprend que « elle » devient « il » et « il » devient « elle ».

Buffalo Belle

Il est question de genre, de liberté, d'envie d'être soi tout simplement. Olivier Douzou inverse les syllabes. Le fait de les avoir mis en gras facilite la lecture de ce texte versifié. Le dessin exécuté au crayon gras noir évoque l'inachevé, une certaine rudesse présente dans le récit, le flou de la situation, les hésitations du personnage qui grandit, à la recherche de son identité. « On m'appelait Annabil Je m'appelais Buffalo Belle » Au-delà de cette quête, on peut aussi y voir une enfant qui joue, aime se raconter des histoires et jouer des personnages, se voir en « Buffalo Bill », façon Belle.

. « Je suis ce que je suis.