Relais seniors : une démarche participative pour le lien social des personnes de plus de 55 ans / Ireps Grand Est, octobre 2021. Un « Village Alzheimer » : pour qui ? Pourquoi ? / The conversation, juin 2021. En France, en 2015, 900 000 personnes étaient atteintes de la maladie d’Alzheimer ou d’une maladie apparentée.
Un chiffre qui serait, selon les estimations, amené à doubler d’ici 2050. C’est dans cette perspective qu’en mars 2020, le premier Village Alzheimer de France a ouvert ses portes à Saint-Paul-lès-Dax dans les Landes. Directement inspiré d’un projet développé à partir des années 1990 aux Pays-Bas, le concept est de concevoir un quartier dédié à l’accueil et à l’hébergement des personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer ou d’une maladie apparentée, en y associant un certain nombre d’équipements publics, de commerces et de services, accessibles aux riverains. L’ouverture du Village landais Alzheimer marque l’aboutissement de plusieurs années de travail initiées en 2013 par le Président du Conseil Départemental des Landes, Henri Emmanuelli. L’émergence d’un projet comme celui du Village est significative à plusieurs égards. La maladie d’Alzheimer et les maladies apparentées. Veille analytique en santé cognitive / INSPQ, juin 2021. Pour ce numéro, l’équipe Vieillissement en santé a surtout repéré des interventions promouvant la participation sociale, notamment par le biais d’un programme de mentorat intergénérationnel ou d’une campagne de communication pour réduire la stigmatisation selon l’âge (âgisme).
L’équipe a également résumé les résultats d’une étude québécoise identifiant et priorisant les besoins des personnes aînées en matière de participation sociale en milieu rural. Enfin, des interventions utilisant les technologies numériques sont abordées : elles peuvent, plus spécialement, être mises en œuvre en respectant les consignes de distanciation physique, tant que celles-ci resteront en vigueur. Participation sociale L’accès au transport et à l’information pourrait favoriser la participation sociale des personnes aînées résidant en milieu rural Contexte Objectifs Qu’est-ce qu’on y apprend? Limites L’étude n’a concerné qu’une seule MRC. Levasseur, M., S. Santini, S., B. Objectif Choi, H. Buyl, R., I. Projet européen Advantage : prévenir la perte d'autonomie chez les personnes âgées / La santé en action, n°449 , sept 2019.
Nutrichic, un projet du CHI de Cornouaille pour améliorer l alimentation en Ehpad. Dans le contexte de l'adaptation du système de santé, le projet NutriChic "vise à améliorer l'expérience alimentaire en Ehpad pour les résidents et les professionnels afin de lutter plus efficacement contre la dénutrition et accroître, par le plaisir alimentaire, le bien-être individuel et collectif".
Il s'agira d'identifier les meilleurs leviers -sociologiques, organisationnels et/ou sensoriels- à activer pour améliorer l'expérience des repas en Ehpad pour les résidents et professionnels, décrit l'établissement dans un dossier de presse. D'une durée de trois ans, le projet rassemble 12 partenaires dont des entreprises et laboratoires académiques, ainsi que la fédération régionale de la Fédération hospitalière de France (FHF).
Il est financé par le conseil régional (320.000 euros dont 96.400 € pour le Chic), le conseil départemental du Finistère (67.300 €) et la communauté d'agglomération Quimper Bretagne Occidentale (53.000 € dont 32.100 € pour le Chic). Economic evaluations of falls prevention programs for older adults: A systematic review. Le baluchonnage, une solution de répit pour les aidants étudiée en France / SilverEco, juin 2018. "Ma Maison A'Venir" : un projet innovant in ReSanté-Vous, mars 2018. Selon un sondage réalisé en 2012 pour l’Observatoire de l’Intérêt Général, 90 % des Français préfèrent adapter leur logement plutôt que d’intégrer une maison de retraite[1].
Ce chiffre sans appel met en évidence la volonté de vieillir chez soi. Aujourd’hui, on estime que 25% des personnes âgées de 80 ans et plus à domicile, souffrent d’une perte d’autonomie modérée et 2,5% d’une dépendance forte[2]. Or, très peu de logements sont adaptés à cette perte d’autonomie (en 2013, l’ANAH les estimait à 6% du parc immobilier[3]) et force est de constater que l’un des principaux motifs d’institutionnalisation de la personne âgée sont les chutes avec conséquences traumatiques, dans lesquelles l’inadaptation du logement est souvent mise en cause. En effet, on estime que 40% des personnes hospitalisées suite à une chute à domicile sont orientées vers une entrée en EHPAD[4].
Évaluation d’impact de l’expérimentation Parcours santé des aînés (Paerpa) Premiers résultats / IRDES, juin 2018. Évaluation qualitative PAERPA. Rapport final / GAND, Sébastien, et al / DREES, juin 2017. Du "baluchonnage" québécois au "relayage" en France : une solution innovante de répit / HUILLIER, Joëlle, mars 2017.