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T2C4 - La combinaison des facteurs de production et l’évolution

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LA REPARTITION DES RICHESSES PARTIE 2. Coût du travail : 8 heures en Bulgarie représentent 1 heure en France - Le Nouvel Entrepreneur. Actualité entreprise La question de la compétitivité est régulièrement abordée en politique, en particulier en cette période d’élections.

Coût du travail : 8 heures en Bulgarie représentent 1 heure en France - Le Nouvel Entrepreneur

Selon une publication d’Eurostat, c’est au Danemark que le travail est le plus cher avec 42 euros par heure, alors que la Bulgarie est en dernière position avec un taux horaire de 4,40 euros. Les coûts horaires de la main-d’œuvre dans l’ensemble de l’économie (hors agriculture et administration publique) ont été estimés en moyenne à 25,40 euros dans l’UE et 29,80 euros dans la zone euro. La France en 5e position Avec 35,6 euros de coût horaire, la France se positionne 5e derrière le Luxembourg (36,6 euros), la Suède (38 euros), la Belgique (39,2 euros) et le Danemark. Hausse du coût du travail De 2015 à 2016, les coûts horaires de la main-d’œuvre ont augmenté de 1,6 % dans l’UE et de 1,4 % dans la zone euro.

La liste des indicateurs alternatifs au PIB adoptée. Le produit intérieur brut (PIB) est depuis longtemps contesté comme instrument de mesure de la richesse.

La liste des indicateurs alternatifs au PIB adoptée

Mais en France, c'est toujours lui qui continue pour l'essentiel de guider les politiques publiques. Jusqu'à présent du moins. Le Parlement a en effet adopté en avril dernier une proposition de loi de la députée EELV Eva Sas, qui prévoit l'obligation d'utiliser des indicateurs alternatifs au PIB dans l'élaboration de la loi de finances. Sans toutefois définir ces indicateurs. C'est donc à ce travail que ce sont attelés ensemble ces derniers mois, France Stratégie et le Conseil économique, social et environnemental. Ils ont finalement retenu dix indicateurs, couvrant les champs économique (taux d'emploi, dette publique et privée…), social (espérance de vie en bonne santé…) et environnemental (recyclage des déchets…). Consommation et épargne. Qu’est-ce que la consommation ?

Consommation et épargne

Les ménages ont essentiellement des consommations finales, qui ont pour seul but de satisfaire directement leurs besoins. Il peut s’agir d’une : consommation marchande : acheter des biensconsommation de bien et de services non marchands : utiliser des biens et services fournis par la collectivitéautoconsommation : consommer des biens dont on est soi-même le producteur Jean Baptiste Say considère la consommation comme une destruction de valeur : après l’achat, la consommation détruit les biens (aliments par exemple).

Même si ces biens avaient une valeur, cette valeur est tout simplement détruite par l’opération de consommation. Evolution de la consommation Les revenus des ménages ont progressivement augmenté au fil des siècles, ce qui a conduit à modifier le mode de consommation. Le mode de consommation a totalement été bouleversé au cours du 20e siècle. Les habitudes de consommation ont donc évolué dans le temps. Qu’est-ce que l’épargne ? Déterminants de l'épargne, consommation, revenus. La consommation Keynésianisme versus monétaristes Keynes montre que le niveau d’emploi est déterminé par de la demande des consommateurs : quand la demande anticipée augmente, les entreprises doivent embaucher davantage pour accroitre leur offre et ainsi faire face à la demande, ce qui a pour effet de faire diminuer le chômage.

Déterminants de l'épargne, consommation, revenus

C’est donc la propension à consommer qui détermine la demande effective et le niveau de l'emploi. Selon l’auteur de la Théorie générale, cette propension à consommer est une fonction croissante du niveau de revenu ; ainsi, plus le revenu est important, plus la propension à consommer s’accroît. Keynes montre ainsi comment s’effectue le partage entre la consommation et l’épargne : si les revenus de l’agent augmentent, il accroît ses dépenses, mais dans une moindre mesure puisque le travailleur aura davantage tendance à épargner ; c’est ce qu’on appelle la propension marginale à consommer.

La stabilité de la consommation, ou l’hypothèse du cycle de vie Les revenus.