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INTEGRATION EUROPEENNE

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Grèce : l'Eurogroupe donne son accord pour la poursuite du programme d'assistance. L'essentiel L'Eurogroupe a validé la liste des réformes présentées dans la nuit de lundi par les autorités grecques.

Grèce : l'Eurogroupe donne son accord pour la poursuite du programme d'assistance

Il appelle toutefois Athènes à élargir cette liste.Le FMI et la BCE ont également donné leur aval à cette feuille de route, tout en émettant quelques réserves.Les ratifications nationales sur la poursuite du programme d'assistance à la Grèce pendant les quatre prochains mois peuvent commencer. Berlin votera vendredi. Les dix-neuf ministres des finances de la zone euro ont donné un accord de principe, mardi 24 février, sur la liste de réformes envoyées par le premier ministre grec, Alexis Tsipras. Celle-ci a été jugée « suffisamment complète pour constituer un point de départ » par le commissaire européen Valdis Dombrovskis. Cette nouvelle étape franchie ne signifie pas pour autant que la partie est gagnée pour Athènes, loin de là. Des votes qui devraient encore faire l'objet de débats musclés. Lire aussi : En Grèce, les compromis avec Bruxelles divisent déjà.

La Finlande perd son triple A, Infos marchés. HELSINKI, 10 octobre (Reuters) - La Finlande est sortie vendredi du petit cercle des pays de la zone euro à bénéficier de la note de crédit maximale auprès des trois principales agences de notation.

La Finlande perd son triple A, Infos marchés

L'agence Standard & Poor's lui a en effet infligé une dégradation, de AAA à AA+, en citant la difficulté du pays à renouer avec la croissance. L'économie finlandaise devrait subir une contraction en 2014, pour la troisième année consécutive. Frappée de plein fouet par la crise de la zone euro et par le déclin de ses entreprises dans le domaine de la téléphonie et du papier, la Finlande subit également l'impact du conflit ukrainien. Des frontières et des liens commerciaux étroits unissent en effet la Finlande et la Russie. "C'est une décision qui ne fait pas plaisir mais ce n'est ni une surprise ni un drame", a réagi le ministre finlandais des Finances, Antti Rinne, dans un communiqué.

(Jussi Rosendahl; Patrick Vignal pour le service français) Denis Clerc » Blog Archive » Il serait imprudent de sortir de l'euro. Dans le numéro de mars d’Alternatives économiques, j’ai publié une note de lecture critique sur le livre que Jacques Sapir vient de publier aux éd. du Seuil, Faut-il sortir de l’euro ?

Denis Clerc » Blog Archive » Il serait imprudent de sortir de l'euro

Le format de ces recensions (1500 signes) est tel que, lorsqu’il s’agit d’un livre aussi important et argumenté, l’auteur de la recension est contraint de condenser ses critiques à un point tel qu’il peut paraître partial ou expéditif. J’aimerais donc revenir sur ce livre, pour tenter de réduire, voire d’éliminer, ce que mon analyse pouvait avoir de caricatural, d’abord dans le résumé des thèses de l’auteur (Partie 1), ensuite dans leur critique (Partie 2). 1. Faut-il sortir de l’euro ? Oui, répond Jacques Sapir. Pour la France, si elle refuse l’impasse de l’austérité, que faire ? 2. Le deuxième problème est moins simple, mais il n’est pas pour autant insoluble. Mais ce qui est carrément irréaliste, c’est le tableau qu’il nous brosse de la sortie de l’euro. Wtr13-2b_f. La BCE invitée à faire baisser l'euro. Zone euro : les juges allemands laissent respirer la BCE.

La Cour constitutionnelle allemande a émis des doutes vendredi sur la légalité du programme de la BCE pour lutter contre la crise de la dette publique qui a failli emporter la zone euro, mais a finalement décidé de laisser la justice européenne trancher sur ce sujet délicat.

Zone euro : les juges allemands laissent respirer la BCE

"De l'avis (de la Cour), d'importantes raisons plaident pour dire que le programme de rachat d'obligations publiques de la BCE outrepasse son mandat en matière de politique monétaire", et notamment l'interdiction qui lui est faite de financer les États, écrit la Cour, qui siège à Karlsruhe (sud-ouest), dans son argumentaire.

Ce programme nommé OMT est destiné à racheter des obligations d'États en difficulté en quantité illimitée sur le marché secondaire, où s'échangent les titres déjà émis, avait été adopté en septembre 2012. "Une bonne nouvelle pour la BCE" La Commission européenne a, ell, salué cette décision, ajoutant avoir toute confiance dans le fait que la BCE "agit en conformité avec la loi européenne".