Deuxieme edition Observatoire du Fabrique en France.pdf (Objet application/pdf) Docx. Why Fair Trade? LONDON – In the United States, businesses and labor unions use “fair trade” laws to construct what economist Joseph Stiglitz calls “barbed-wire barriers to imports.”
These so called “anti-dumping” laws allow a company that suspects a foreign rival of selling a product below cost to request that the government impose special tariffs to protect it from “unfair” competition. Such dark protectionist thoughts are far from the minds of the benevolent organizers of the United Kingdom’s annual “Fairtrade Fortnight,” during which I just bought two bars of fair-trade chocolate and a jar of fair-trade chunky peanut butter. Their worthy aim is to raise the price paid to developing-country farmers for their produce by excluding the inflated profits of the middlemen on whom they depend for getting their goods to distant markets.
Fair-trade products like cocoa, coffee, tea, and bananas do not compete with domestic European production, and therefore do not have a protectionist motive. eRéputation et RP. Tribune de Thierry Wellhoff et Jacky Isabello. Les secteurs public et privé conçoivent-ils les relations publiques de la même façon ?
Face aux bouleversements induits notamment par les réseaux sociaux et les blogs, comment les relations publiques évoluent-elles ? Le secteur public prend-il la mesure de ces évolutions ? Les réponses de Thierry Wellhoff (à droite sur la photo), Président de l’agence Wellcom et de Syntec Conseil en relations publiques et de Jacky Isabello (à gauche sur la photo), Directeur Associé de Wellcom. « Les secteurs public et privé ont des postures différentes mais le complexité du dialogue avec les différents publics tend à les rapprocher » Tout d’abord précisons l’acception de l’expression que nous utilisons désormais pour nommer notre métier, c'est-à-dire les relations publics, c'est-à-dire relations avec les publics. Ce qu’il faut saisir, à notre sens, est que le secteur public s’adresse à des individus dont la situation est duale, parfois schizophrène.
Halte là, tous les professionnels des RP n'en sont pas ! Les nouvelles technologies, et plus particulièrement les médias sociaux, bouleversent tout.
Outre les médias traditionnels, en crise, s'installent de nouveaux canaux de diffusion. Immédiateté de l'accès à l'information, montée en charge des réseaux sociaux, enjeux de e-réputation, l'environnement des agences est en si profonde mutation qu'elles se doivent sans cesse d'acquérir de nouvelles expertises et d'adapter leurs pratiques. Mais toutes les règles du métier devront-elles être reniées pour autant ? Profitant de cette mutation et de la confusion que cela génère, certains opportunistes commercialisent des offres trompeuses. Présentées comme des solutions "low cost" – ce qui n’est pas un problème en soi – ces offres racoleuses percent comme des champignons après la rosée.
Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur les médias sociaux sans jamais oser le demander… 17 février, 2012 0 commentaire L’Agence Wellcom publie le Guide Social Media, le manuel des réseaux sociaux : Rencontre avec les auteurs, William Ory et Léa Hasgeyer. Quel a été l’élément déclencheur qui vous a donné envie d’écrire ce Guide ? Notre projet du Guide Social Media (et du blog associé www.guidesocialmedia.com ) est né en 2009 d’une série de constats autour d’un intérêt très fort mais surtout de la curiosité et de la crainte envers les médias sociaux. Chaque réseau social a-t-il ses particularités ? Bien sûr, les grands réseaux sociaux se distinguent par les usages : Facebook est en passe de devenir le point d’entrée du web, devenant la plateforme d’échanges par excellence, pour la famille, les amis et les collègues, Google+ est peut-être trop dépendant de Google, pas assez ouvert aux autres services web donc reste un réseau très masculin et très orienté sur les thématiques High Tech et actualités digitales.
Quel est le rôle des médias 2.0, réseaux sociaux… sur le métier des RP ? Relations Publiques – Recession proof. A naviguer trop près du Triple A on finit toujours par s’échouer dessus. Et pourtant, sur BFM Business, temple radiophonique de l’information économique et financière, le cataclysme supputé ne semble avoir aucune conséquence sur les indicateurs des marchés financiers.
Comble suprême, jeudi 19 janvier, les adjudications de plusieurs milliards d’euros lancées par l’Agence France Trésor, qui gère la dette et la trésorerie de l’Etat Français, ont été souscrites à moindre taux pour la France que celles précédant l’annonce de Standard & Poor’s ; le spread de taux avec l’Allemagne, c'est-à-dire l’écart entre les niveaux auxquels empruntent les deux voisins s’est même resserré. Mille milliards de mille sabords, mais que se passe-t-il donc ! Tout le monde nous prédit l’arrivée de la grande faucheuse financière et rien ! Va-t-on finir sous peu dans les culs de basses fausses des usuriers de la dette publique, oui ou non ? Pourquoi tant de ramdam politique sur le ton du « A qui la faute» ? La France quitte donc le club des AAA de la zone euro.