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Le cerveau

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Cerveau, apprentissage et enseignement. Il y a quelques années, la pertinence de s’intéresser au cerveau en éducation était plutôt limitée.

Cerveau, apprentissage et enseignement

Intuitivement, les chercheurs, les enseignants et les autres intervenants du milieu de l’éducation se doutaient bien de l’existence d’un lien important et profond entre le cerveau et les apprentissages scolaires. Cependant, ce lien n’était ni clair ni appuyé sur des connaissances scientifiques solides, ce qui rendait les retombées éducatives des recherches sur le cerveau somme toute peu nombreuses et fragiles.

Aujourd’hui, par contre, grâce aux avancées considérables de l’imagerie cérébrale et des neurosciences en général, cette situation a considérablement changé. Dans cet article, nous présentons trois grandes découvertes qui permettent non seulement d’établir des ponts plus solides entre le cerveau et l’éducation, mais aussi d’appuyer l’hypothèse selon laquelle mieux connaître le cerveau des élèves peut nous aider à mieux leur enseigner. Les quatre piliers de l’apprentissage - Stanislas Dehaene.

L’enfant est doté d’intuitions profondes en matière de repérage sensoriel du nombre.

Les quatre piliers de l’apprentissage - Stanislas Dehaene

Avant tout apprentissage formel de la numération, il évalue et anticipe les quantités. Apprendre à compter puis à calculer équivaudrait à tout simplement tirer parti de ces circuits préexistants, et, grâce à leur plasticité, à les recycler. L’apprentissage formel de l’arithmétique se « greffe » sur le « sens du nombre » présent chez l’enfant, et sollicite la même zone cérébrale. Neurosciences: que se passe-t-il quand on se souvient ? - 31 août 2014. Tokyo (AFP) - Les émotions associées à des souvenirs peuvent être réécrites, permettant d'adoucir des événéments douloureux du passé et à l'inverse d'assombrir des moments heureux, suggère une étude menée sur des souris au Japon et aux Etats-Unis et publiée mercredi dans la revue scientifique Nature.

Neurosciences: que se passe-t-il quand on se souvient ? - 31 août 2014

"Cette propriété (de renversement) de la mémoire est utilisée cliniquement pour traiter" des maladies mentales, "cependant les mécanismes neuronaux et les circuits du cerveau qui autorisent ce changement de registre émotionnel demeurent largement méconnus", soulignent les chercheurs en préambule. L'objet de l'étude est de décrypter ces procédés sous-jacents, ouvrant la voie à de nouvelles pistes pour soigner des pathologies comme la dépression ou les troubles de stress post-traumatique. Elle "valide aussi le succès de la psychothérapie actuelle", explique à l'AFP le directeur de recherche Susumu Tonegawa. A la découverte du Cerveau. Comment le cerveau s’adapte à toutes les situations?

02.06.2014 - Communiqué Neurosciences, sciences cognitives, neurologie, psychiatrie © CC BY-SA 2.0 by ZeroOne.

Comment le cerveau s’adapte à toutes les situations?

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Brain Games

Paramètres des cookies Les cookies sont de petits fichiers texte qui sont automatiquement stockés sur votre ordinateur dès que vous surfez sur un site. Verra-t-on notre cerveau fonctionner en direct ? - Sciences. Brain Games. Comment fonctionnent nos neurones? - Sciences. Le cerveau vu grâce à l'IRM de diffuson DR © Radio France Le cerveau est, sans conteste, l’organe le plus fascinant du corps humain.

Comment fonctionnent nos neurones? - Sciences

Au cours des dernières décennies, les chercheurs ont commencé à percer ses secrets les plus intimes. L’un des derniers en date est celui qui fait la Une du magazine Science et Vie du mois d’octobre. Nos cellules nerveuses, les neurones, seraient capables de modifier leur propre génome ! Elles s’affranchiraient ainsi de la loi qui régit pourtant toutes les cellules du corps humain. Notre cerveau est neurosocial! Voici le trosième article sur les richesses incommensurables de notre cerveau!

Notre cerveau est neurosocial!

L’article s’inspire du livre Votre cerveau n’a pas fini de vous étonner, une œuvre présentée par Patrice Van Eersel, rédacteur en chef du magazine Clés. M. Van Eersel interviewe dans son livre cinq chercheurs. L’article présent fait suite à l’entretien avec Boris Cyrulnik, éthologue, et Pierre Bustany, neuropharmacologue qui travaille avec les nouvelles techniques d’imagerie cérébrale. Un cerveau seul, même sain, ne fonctionne pas. Exploration du cerveau. Le cerveau humain est constitué d'environ 100 milliards de neurones capables d'établir chacun jusqu'à 10.000 connexions.

Exploration du cerveau

Le nombre de connexions potentielles est donc astronomique: 1 million de milliards (10 puissance 15). Le cerveau compte également des cellules gliales, en nombre 10 à 50 fois plus important que les neurones. Longtemps, on a cru qu'elles ne jouaient qu'un role subalterne en facilitant les échanges entre les neurones. Mais on a découvert récemment que ces cellules gliales établissent elles aussi des connexions, à la fois entre elles et avec les neurones.

Leur rôle exact est encore méconnu mais on sait que le cerveau d'Einstein contenait un nombre très important de ces cellules gliales. Cyrulnik: la résilience. Connecté à vie : notre cerveau, le meilleur des réseaux (1/3) - Thema - Museum. © Inserm, P.

Connecté à vie : notre cerveau, le meilleur des réseaux (1/3) - Thema - Museum

Dournaud - Neurone de l'hippocampe avec ses très nombreux prolongements (axone et dendrites) Carte mentale de notre cerveau. Spaun, un cerveau artificiel pour mieux comprendre le cerveau humain. Notre cerveau garde en lui de nombreux secrets sur son fonctionnement.

Spaun, un cerveau artificiel pour mieux comprendre le cerveau humain

Des modèles artificiels du cerveau en fonctionnement, comme Spaun, nous aideront peut-être à en saisir un certain nombre. © por adrines, arteyfotografia.com Spaun, un cerveau artificiel pour mieux comprendre le cerveau humain - 3 Photos. Avec Internet et les écrans, mon cerveau a-t-il muté ? - L'actu Médias / Net. Lecture en diagonale, perte de concentration... le Net et les technologies numériques bousculent nos façons de penser. Faut-il s'en inquiéter ? Pas forcément. On vous explique pourquoi. Sur le mur d'une galerie d'art de Toronto, ce slogan : « Mon cerveau d'avant Internet me manque » (1).

5 principes issus des neurosciences pour favoriser l'apprentissage en formation. Quels sont, à votre avis, les avantages et inconvénients des pédagogies actives, ludiques et participatives ? Si les entreprises semblent conscientes de la nécessité d’amorcer un virage pédagogique dans leurs formations, elles sont parfois réticentes à l’idée de passer à l’action : est-ce vraiment utile et pertinent ? De mon point de vue, la réponse est indéniablement : OUI ! Et les recherches scientifiques menées ces dernières années vont clairement dans ce sens.

Suite à la présentation que j’ai eu l’occasion de réaliser au forum, je vous invite donc à découvrir ci-dessous 5 principes essentiels issus des recherches en neurosciences pour mieux former et apprendre : Le cerveau artificiel qui imite les capacités et les défauts du cerveau humain. Une équipe de chercheurs de l’Université de Waterloo (Canada) a construit la simulation la plus complexe d’un cerveau qui fonctionne. Le but est d’aider les scientifiques à comprendre comment l’activité du cerveau donne lieu à la diversité de comportement présentée par les animaux, y compris les humains. Le modèle est appelé Spaun (Semantic Pointer Architecture Unified Network). Il se compose de 2,5 millions de neurones simulés.

Le modèle tient compte des détails biologiques de chaque neurone, y compris qu’elles sont les neurotransmetteurs utilisés, la façon dont sont générés les voltages dans la cellule et la façon dont elles communiquent entre elles. Spaun utilise ce réseau de neurones pour traiter des images afin de contrôler un bras robotisé qui dessine les réponses à partir d’exercices de perception, de cognition et de motricité. Selon le professeur Chris Eliasmith, directeur du Centre for Theoretical Neuroscience à Waterloo : Le cerveau catégorise les choses que nous voyons. Le cerveau a toujours été une machinerie complexe. Depuis que l'Homme s'intéresse à son corps, il est au centre de bien des interrogations. Encore aujourd'hui subsistent un grand nombre de questions. La mémoire, par exemple, a encore moult secrets à révéler. Des chercheurs viennent de trouver de nombreuses réponses.

The Brain CONNECT Project. La plasticité cérébrale - Philippe Lambert, article Psychologie. Longtemps, les scientifiques ont cru que le cerveau, une fois mature, se caractérisait par la stabilité de ses connexions, jugées immuables. Depuis une trentaine d'années, cette vision de la structure et du fonctionnement cérébral a volé en éclats. Grâce à la plasticité cérébrale, le cerveau modifie l'organisation de ses réseaux de neurones en fonction des expériences vécues par l'organisme. Le cerveau est « informable » et déformable. Ainsi, s'il était le réceptacle de souvenirs figés qui remonteraient à la surface après avoir été extraits de la « boîte » où ils dormaient, comment, par exemple, reconnaîtrions-nous une personne que nous n'avons plus côtoyée depuis des années ? Sans un cerveau « plastique », à même de remodeler ses connexions en fonction de facteurs environnementaux et contextuels, de « remettre le passé au goût du jour », ce serait impossible.

Darwinisme neuronal. Le cerveau aux commandes de notre santé. Et si un jour nous étions capables d'agir sur le fonctionnement de notre cerveau afin d'augmenter notre mémoire, notre concentration ou encore la perception de nos sens ? Invité dans une émission de radio, Denis Le Bihan, directeur de Neurospin, présente les dernières expériences menées à l'aide de la neuro-imagerie, démontrant les capacités extraordinaires de notre cerveau sur notre santé. Lors de l’émission Science Publique du 12 octobre 2012, que j’ai animée sur France Culture, il est arrivé ce qui se produit parfois lors d’une émission de radio. L’un des invités, Denis Le Bihan, directeur de Neurospin, a relaté des expériences qui ont été menées par différents laboratoires et dont les résultats ont été publiés dans des revues scientifiques. Et sa description s’est révélée tout bonnement sidérante.

Elle est arrivée à un moment de l’émission où étaient évoquées les limites des thérapies actuelles. La douleur disparaît Cela s’appelle le biofeedback par IRM. Un divan en forme de miroir. Sciences biologiques - Parutions. Les fonctions executives. Stress, peurs et traumatismes : la plasticité du cerveau serait capable de s’adapter et nous protéger. NEUROSCIENCES. Bienvenue à Neuromatiq. L'étonnante plasticité du cerveau humain. Tous les mois dans Le Figaro , des membres de l'Académie des sciences répondent aux grandes questions de l'actualité scientifique. Pierre-Marie Lledo, neurobiologiste au CNRS et à l'Institut Pasteur vous répond. Avec ses 86 milliards de cellules nerveuses et ses millions de milliards de connexions, le cerveau de l'homme moderne est une merveille de complexité qui n'a pourtant rien d'immuable et de figé comme le sont les composés d'un ordinateur.

Si connexions, mémoire et langage il y a, ceux-ci sont faits de chair vive: matière changeante construite pour le changement et qui n'existe elle-même que par le changement. Cela veut dire que cet organe incarne un devenir: il confère la faculté d'accomplir demain des opérations que nous sommes incapables de réaliser aujourd'hui. La première singularité concerne la lente croissance de notre cerveau qui nécessite plusieurs décennies pour s'accomplir. Programmés pour apprendre. LE CERVEAU À TOUS LES NIVEAUX!