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Système nerveux

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SaJBUOJi nCb57UF. Le cerveau à tous les niveaux. L’image de la semaine : «Les premières observations de neurones» Retour sur les observations capitales réalisées par Santiago Ramón y Cajal, prix Nobel de physiologie ou médecine en 1906 avec Camillo Golgi en récompense de leurs travaux sur la structure du système nerveux.

L’image de la semaine : «Les premières observations de neurones»

Une nouvelle année commence et nous nous replongeons avec plaisir dans les premières observations des cellules de notre système nerveux. Ces premières observations ont été réalisées par le père des neurosciences modernes : Santiago Ramón y Cajal. C’est un histologiste et neuroscientifique espagnol. En 1906, il obtient le prix Nobel de physiologie ou médecine avec Camillo Golgi pour leurs travaux sur la structure du système nerveux. La coloration de Golgi utilise une solution d’argent qui ne colore qu’une cellule parmi une centaine ce qui permet de l’isoler visuellement. Illustration de S. Les cellules pyramidales forment une catégorie de neurones ainsi nommées en fonction de la morphologie triangulaire de leur corps cellulaire. Scientists grow 'mini-brain on the move' that can contract muscle. Scientists have grown a miniature brain in a dish with a spinal cord and muscles attached, an advance that promises to accelerate the study of conditions such as motor neurone disease.

Scientists grow 'mini-brain on the move' that can contract muscle

The lentil-sized grey blob of human brain cells were seen to spontaneously send out tendril-like connections to link up with the spinal cord and muscle tissue, which was taken from a mouse. Human brain size gene triggers bigger brain in monkeys. The expansion of the human brain during evolution, specifically of the neocortex, is linked to our cognitive abilities such as reasoning and language.

Human brain size gene triggers bigger brain in monkeys

A certain gene called ARHGAP11B that is only found in humans triggers brain stem cells to form more stem cells, a prerequisite for a bigger brain. Past studies have shown that ARHGAP11B, when expressed in mice and ferrets to unphysiologically high levels, causes an expanded neocortex, but its relevance for primate evolution has been unclear.

Researchers at the Max Planck Institute of Molecular Cell Biology and Genetics (MPI-CBG) in Dresden together with colleagues at the Central Institute for Experimental Animals (CIEA) in Kawasaki and the Keio University in Tokyo, both located in Japan, show now that this human-specific gene, when expressed to physiological levels, causes an enlarged neocortex in the common marmoset, a New World monkey. La neurogenèse adulte chez les Mammifères. Alors que l’on pensait la structure du cerveau fixe, la mise en évidence récente d’une production de nouvelles cellules dans le cerveau adulte a ouvert un tout nouveau champ d’investigation dans l’étude de la plasticité neuronale du cerveau adulte.

La neurogenèse adulte chez les Mammifères

Même si l’on connaît aujourd’hui mieux cette neurogenèse adulte, elle reste encore l’objet de nombreuses questions concernant son fonctionnement, sa régulation, ses fonctions mais aussi son éventuelle implication dans les maladies neurodégénératives. Actualités scientifiques Prépas : L'évolution de l'activité métabolique cérébrale chez les Hominidés. Thèmes : Evolution de la lignée humaine, Cerveau La volume du cerveau est le paramètre le plus souvent mis en avant concernant les capacités cognitives des Hominidés.

Actualités scientifiques Prépas : L'évolution de l'activité métabolique cérébrale chez les Hominidés

Des chercheurs ont proposé dans un récent article de Proceedings of Royal Society d'attacher plus d'attention à l'activité métabolique du cerveau qui dépend essentiellement de l'activité synaptique et donc qui est un indicateur sans doute plus pertinent pour modéliser les capacités cognitives d'espèces fossiles. Avoir le rythme dans la moelle ! A l'inverse de l'adage "qui se ressemblent s'assemblent", les opposés s'attirent comme deux aimants pour n’en faire qu’un.

Avoir le rythme dans la moelle !

Les chercheurs viennent de démontrer l’existence au sein de la moelle épinière, berceau du rythme locomoteur, d’un duo de conductances que tout oppose et reste pourtant indissociable dans la fonction locomotrice. Le rythme de la marche est généré par des neurones spinaux dont la particularité est d’osciller de façon autonome. Ainsi, ces cellules dites pacemakers passent tour à tour d’un état activé (dépolarisé) à un état de repos, à l’image du métronome oscillant entre deux positions diamétralement opposées. Les chercheurs viennent de découvrir que cet état dit « bistable » résulte de l’activation alternée d’une conductance sodique persistante (INap), qui dépolarise le neurone, et d’une conductance potassique persistante (IM) qui repolarise celui-ci. Une approche pharmacologique et l’invalidation d’un gène, ont permis d’identifier la nature du canal qui génère IM.

L’image de la semaine : «Les premières observations de neurones» Le syndrome des mouvements en miroir : un gène impliqué. Une étude collaborative, coordonnée par Emmanuel Flamand-Roze de l’ICM et Isabelle Dusart de l’IBPS, élucide le rôle du gène DCC, notamment impliqué dans le syndrome des mouvements en miroir congénitaux, et dans la mise en place des voies motrices au cours du développement.

Le syndrome des mouvements en miroir : un gène impliqué

Chez l’homme, le système moteur a une organisation croisée : le cerveau gauche commande les mouvements effectués par le côté droit et réciproquement. Accueil — Site des ressources d'ACCES pour enseigner la Science de la Vie et de la Terre. LesNeurotransmetteurs. Dissection du cerveau de mouton. Bases biologiques du plaisir 2. Sciences biologiques - Parutions. Comment les différentes régions de notre cerveau ont-elles évoluées au cours du temps ?

Sciences biologiques - Parutions

Pour la première fois, une étude conduite par Michel Thiebaut de Schotten à l’Institut du cerveau et de la moelle épinière, montre que les aires du cerveau les plus variables anatomiquement sont celles qui se sont développées le plus récemment dans l’évolution. Inversement, plus les structures du cerveau sont anciennes, plus elles sont stables.

Ainsi l’évolution de notre cerveau fonctionne comme les strates géologiques qui se figent avec le temps. Cette étude a été publiée le 13 octobre 2017 dans la revue Cerebral Cortex. Grâce à l’imagerie cérébrale, des chercheurs de l’Institut du cerveau et de la moelle épinière, du Friedman Brain Institute à New-York et du King’s College à Londres, ont exploré la variabilité, intra-espèce et inter-espèces, des cerveaux humains et simiens. - video - Dailymotion.