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Histoire des pays

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Histoire de l'Italie. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Histoire de l'Italie

Par l'histoire de l'Italie, on entend l'étude des faits et conditions qui ont conduit à la constitution d'un État unitaire italien, fruit ultime d'un processus évolutif pluriséculaire qui remonte, au moins en germe, bien avant le XIXe siècle. Pour ce qui concerne l'histoire de la péninsule italienne, en tant que cadre géographique dans lequel s'est développée et a muri une identité culturelle, plus ou moins marquée, on parle de manière plus appropriée d'histoire italique. Peuples italiques[modifier | modifier le code] Les sources historiques les plus certaines sur la période archaïque précédant la fondation de Rome sont celles relatives à la Grande-Grèce, qui traite des établissements grecs dans le sud de la péninsule italienne entre les VIIIe siècle av. J. Histoire des États-Unis. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Histoire des États-Unis

Formation du territoire américain (1810-1920). En vert, les territoires américains ; en orange les États fédérés de l'Union Des origines à la fin de la guerre de Sept Ans[modifier | modifier le code] La période précolombienne[modifier | modifier le code] Histoire de l'Europe. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Histoire de l'Europe

L’histoire de l'Europe, et surtout de l’Europe méridionale, est une des parties les mieux documentées, étudiées et connues de l’histoire mondiale, pour quatre raisons : la géologie fait affleurer des roches en de nombreux endroits, ce qui a permis très tôt les constructions en pierre ;les climats permettent la bonne conservation de nombreux sites archéologiques ;l’écriture s’y est tôt imposée et de nombreux documents écrits se sont conservés ;les Européens ont eu tôt le souci de transcrire leurs histoires (Homère, Hérodote, Strabon...). Toutefois, elle n’est qu’une partie de l’histoire mondiale : les préhistoriens, les anthropologues et les historiens tels Henry de Lumley, Claude Lévi-Strauss ou Georges Duby mettent en garde contre la « tentation nombriliste » qui « prend l’abondance documentaire pour de la supériorité »[1].

L’histoire européenne, ses biais et ses nouvelles sources[modifier | modifier le code]