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Choix consomation

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Choix_cons. Choix de consommation des ménages en présence de plusieurs décideurs. Author Info Anyck DauphinAbdel-Rahmen El LahgaBernard FortinGuy Lacroix Abstract Récemment, un nouveau cadre théorique d'analyse s'est développé dans le but d'analyser les comportements des ménages avec deux conjoints. Cette approche, qualifiée de modèle collectif, suppose que chaque conjoint a des préférences individuelles et que les choix du ménage sont Pareto-optimaux. Toutefois les études empiriques réalisées jusqu'à maintenant sur les modèles collectifs ont porté essentiellement sur des ménages à deux décideurs et ignorent le comportement des ménages qui en comptent potentiellement un plus grand nombre (e.g., couples vivant avec des enfants adultes ou avec des personnes âgées dans les pays développés, familles élargies dans les pays en développement).

Download Info If you experience problems downloading a file, check if you have the proper application to view it first. Bibliographic Info Related research Other versions of this item: References Citations Lists Statistics Corrections. Consommation responsable. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La consommation responsable ou Consommation soutenable est un comportement qui intègre le fait que les ressources sont limitées, et correspond à un engagement civique actif en vue de la qualité de vie personnelle et collective. Préalable sur la consommation[modifier | modifier le code] La consommation est l'affaire de tous, et pour s'en convaincre, il n'est qu'à retenir que les taxes à la consommation (TVA en France, TPS au Canada, ...) que nous payons tous représente une part considérable de budget de l'État puisque cet impôt sur la consommation représente environ 30 % des recettes du budget général de l'État et représente pour les ménages environ 7 % des revenus (chiffre moyen, variable en fonction des revenus)[1].

On comprend immédiatement la profusion d'offre politique visant à développer, relancer, stimuler la consommation. La consommation est un outil dont nous disposons pour revendiquer une société durable[modifier | modifier le code] CONSOMMATION • Quelque chose de pourri au royaume de l'abondance. La société de consommation, c'est le choix, donc la liberté, donc le bonheur ? En réalité, estime une sociologue slovène dans un livre récent, ce sentiment d'être parfaitement maître de nos décisions et de nos vies a un revers angoissant.

Et tue l'action collective. Aux noix ? Aux pommes ? Aux baies des bois ? Croquant ? Vous avez besoin d’un téléphone portable ? Le psychologue américain Barry Schwartz s’est amusé à compter, dans un seul magasin d’électronique, le nombre d’installations stéréo différentes compatibles avec les appareils présents. Chacun maître de sa vie et chacun pour soi Un peu de choix, c’est bien, mais l’excès de choix est notre “fléau”. Plus encore, encouragé à “devenir lui-même” par les innombrables avocats du développement personnel, il ne cesse de travailler à sa propre amélioration. C'est pourquoi le jour où il tombe malade, le jour où il est licencié, il ne peut s’en prendre qu’à lui-même : au lieu d’être en colère, il se sent honteux. Note : Consommation responsable. Tous nos choix de consommation ont un impact sur l'environnement et sur la société.

Consommer de façon responsable, se définir comme un « consomm’acteur », c’est assumer pleinement ce pouvoir que chacun de nous a de façonner le monde à l'image des choix qu'il pose au quotidien. La consommation responsable est une implication citoyenne et démocratique. Elle influence les comportements des fabricants, des distributeurs et des détaillants, et pousse les décideurs à adopter des politiques et des règlements en faveur de l'environnement et des droits des citoyens. Critères pour guider les choix de consommation Consommer n'est pas une fin, mais un moyen de combler un besoin. Des règles toutes simples mais qui, multipliées des milliers et des millions de fois, ont un impact.

Consommer, c'est choisir. Publication(s): Vous souhaitez mieux comprendre l’impact de vos achats vestimentaires et connaître les alternatives qui s’offrent à vous? En résumé: Consommation : les Français commencent à faire des choix. La consommation des ménages a reculé de 0,4% en juin, malgré le début des soldes. Elle stagne sur le 2e trimestre. Les français n'ont pas le cœur à se ruer dans les magasins. Inquiets de leur pouvoir d'achat et constatant que la hausse des prix de l'essence grève une partie de plus en plus importante de leur budget, ils ont réduit de 0,4 % leur consommation en produits manufacturés en juin, selon les chiffres publiés hier par l'Insee. Et ce, malgré le début des soldes à la fin du mois. Le mois dernier, les achats de voitures ont reculé de 3,8 %, les dépenses pour l'équipement du logement ont progressé de 0,8 %, celle de vêtements et chaussures de 0,6 %.

Un chiffre décevant pour une période de promotions. Arbitrages dans les dépenses Sur l'ensemble du deuxième trimestre, les dépenses des ménages ont ainsi stagné, après la toute petite hausse de 0,1 % au 1er trimestre. Bref, les Français commencent à faire des arbitrages dans leurs dépenses. Consommation | Choix Responsable. Impacts des politiques des prix sur les choix de consommation des populations à faibles revenus. Une approche expérimentale | OPNALIM.

Peut-on remédier aux problèmes de santé liés à l’obésité et à la surcharge pondérale en mettant en oeuvre des politiques de prix des aliments ? La recherche présentée ici s’interroge sur les effets d’une politique de taxation-subvention des aliments en fonction de leur qualité nutritionnelle. Les investigations reposent sur des expériences menées auprès de femmes de milieu défavorisé pour lesquelles ces problèmes sont exacerbés. Les résultats montrent que des politiques de prix, telle que la subvention des fruits et légumes et la taxe sur les produits gras et sucrés, sont efficaces dans la mesur où elles permettent une amélioration du régime alimentaire. Cependant, elles conduisent à renforcer les inégalités sociales. Lire le document. Hausse des prix alimentaires: vers de nouveaux choix de consommation. Les Français, déjà contraints à faire des choix face à la hausse de leurs dépenses courantes, devront de nouveau adapter cette année leur consommation à l'augmentation prévue des produits alimentaires.

"Ce ne sont pas tout à fait les mêmes hausses que la dernière fois, mais les consommateurs vont se débrouiller pour manger autrement et ne pas dépenser plus", prévoit Pascale Hébel, directrice du département consommation à l'organisme de recherche Crédoc. Les consommateurs vont "changer leur régime alimentaire pour arriver à ne pas augmenter leur chariot moyen", estime-t-elle.

Ils ne se restreindront pas nécessairement sur les articles qui afficheront les plus fortes hausses, car il s'agit de produits de base comme le café, les farines et les pâtes, mais bouderont plutôt d'autres produits plus onéreux. "Ils vont peut-être consommer des conserves au lieu de produits frais, manger plus d'oeufs, qui coûtent moins cher que la viande", explique-t-elle. Et vous croyez avoir le choix : LA CONSOMMATION A EN MOURIR ! - Cinquiemevitesse sur LePost.fr (19:24)

Publié parCinquiemevitesse post non vérifié par la rédaction 26/05/2011 à 18h33 - mis à jour le 26/05/2011 à 19h24 | vues | réactions Consommateurs, êtes-vous vraiment certains d'avoir le pouvoir de choisir ce que vous consommez ? Le monde de la consommation et du marketing publicitaire font tout pour nous proposer ce qui correspond le plus à nos tendances, à nos goûts, à nos envies. Mais que nenni, ils sont en vérité ceux qui provoquent nos besoins, nos envies etc, etc… Croire qu'on a le choix est un leurre… Le choix entre une Renault et une BM, le choix entre le shampoing Dove ou Nivéa?

A vrai dire on a surtout le choix de consommer selon nos revenus. Parce qu'un consommateur, c'est aussi un contribuable. Et un contribuable c'est un concitoyen. Et un concitoyen, c'est un con… TOUT COURT! Car il croit avoir également le loisir de choisir un parti politique, un candidat, il croit que grâce au vote il a le choix, la liberté… Ce système nous met la poudre aux yeux chaque jour qui passe. Éclairez vos choix de consommation | LE GOUT DE LA VERITE. Certains vous diront que manger bio n’est pas encore à la portée de tous. Il est vrai que le bio est en moyenne 30% plus cher que l’alimentation considérée comme « traditionnelle ».

Ce que l’on ne vous dit pas, c’est que cette différence de prix ne vient pas du mode de production en lui-même mais du système de subventions mis en place par le gouvernement et l’Union Européenne. En effet, les producteurs bio ne bénéficient pas des mêmes aides de la Politique Agricole Commune et paient très cher leur label AB. Les prix affichés dans votre supermarché ne correspondent absolument pas à leur coût réel.

Tout d’abord, les productions dites « d’agriculture conventionnelle » subsistent grâce aux subventions, de l’argent public qui vient tout droit de nos impôts ! Lorsque vous faites vos courses, pensez à tous ces facteurs indirects qui doivent influencer vos choix de consommation. Au quotidien, vos actes d’achat peuvent faire évoluer les choses. Alors, convaincus ? L’irrationalité de nos choix de consommation | Ce billet est le troisième de ma série sur le livre de Robert H. Frank, La course au luxe. L’économie de la cupidité et la psychologie du bonheur. Après avoir abordé L’économie des gagnants et Le bien-être subjectif, je poursuis avec la section qui analyse l’irrationalité de nos choix de consommation.

Le bien-être, l’adaptation et le niveau de revenu On a vu dans les billets précédents que, passé un certain niveau, l’augmentation du revenu moyen n’apporte pas vraiment plus de satisfaction (ou de bien-être ou de bonheur…). Mais est-il possible qu’un revenu plus élevé puisse apporter plus de satisfaction si on le dépensait à autre chose? L’auteur le pense et se demande pourquoi on ne le fait pas. Pour illustrer son propos, l’auteur présente deux univers parallèles où les gens ressentent le même niveau de bonheur, même si le revenu médian du deuxième est deux fois plus élevé que celui du premier. L’irrationalité de nos choix de consommation - Les conséquences de l’étalement urbain Et alors… Dossier1_062012.vp. Persée. Critères pour un choix de consommation – citoyen, responsable, information, changer, mode de consommation, concepts, durable, soutenable, éco-consommation, informations, produits, services VitalBonus.

Tout Savoir en SES 2de. De quoi dépendent nos choix de consommation ? • La consommation permet aux différents agents économiques (ménages, mais aussi entreprises ou administrations) de satisfaire un certain nombre de besoins. Elle dépend d’abord du revenu des consommateurs et du prix des biens ou services proposés à la consommation. • Mais si ce sont deux critères essentiels, ils ne sont pas seuls : – des facteurs sociaux ou démographiques déterminent également nos comportements de consommation.

Ainsi, les normes liées au milieu social, à la famille, participent à la détermination des comportements d’achats (priorités dans les dépenses, par exemple) ; – de même, l’âge, le sexe, la catégorie socioprofessionnelle, le type d’études permettent de décrire et d’expliquer nombre de comportements de consommation. Par exemple, à revenu égal, la consommation des ménages n’est pas la même entre un jeune célibataire de moins de 30 ans et une personne de plus de 60 ans. La consommation est un acte social.

Lancement de Noteo, outil d’aide aux choix de consommation. Déjà 45.000 produits dans la base de données Une association nantaise, l’Institut Noteo, vient de lancer un service de notation des produits de consommation courante, jugés sur leurs aspects sanitaire, environnemental, social et budgétaire, accessible gratuitement en ligne. Hygiène et beauté, entretien, alimentation et boissons non alcoolisées: ce sont 45.000 produits que l’équipe de Noteo a analysés pendant 5 ans. Leur modèle: l’étiquette Energie, qui «a entraîné un mouvement massif vers le haut, du moment que les consommateurs ont eu l’information», rappelle Baptiste Marty, président-fondateur de l’association.

Disposant d’une application mobile (Androïd et iPhone) et d’un site internet ( Noteo est un outil d’utilisation simple et de présentation très claire, à consulter à domicile ou lors des courses. Pour tout produit, le consommateur se voit proposer des alternatives, également avec leurs notes globales et détaillées.