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Les comportements addictifs lies a l'usage du numérique

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Les comportements addictifs liés à l'usage du numérique.

Les comportements additifs

Les addictions comportementales. Depuis 20 ans, l'approche des addictions avec ou sans drogues se fait de façon globale.Il existe des similitudes neurobiologiques et psychopathologiques et surtout comportementales entre les addictions avec produit et les addictions comportementales : addiction aux jeux de hasard et d'argent ou jeu pathologique, addiction aux jeux vidéo, achats compulsifs, addictions alimentaires, dépendance à l'activité physique, dépendances sexuelles et affectives, dépendances sectaires...

La définition Dans un article paru en 1990, le psychiatre Aviel Goodman proposait comme définition de l'addiction : « un processus par lequel un comportement, qui peut fonctionner à la foi pour produire du plaisir et pour soulager un malaise intérieur, est utilisé sous un mode caractérisé par l'échec répété dans le contrôle de ce comportement et la persistance de ce comportement en dépit des conséquences négatives significatives ». Les critères des addictions comportementales On peut y ajouter 9 critères secondaires : La cyberdépendance: quand Internet prend les commandes | Centre d'aide aux étudiants.

Lundi, 16h30: Mathieu est devant son ordinateur. Il joue depuis dimanche après-midi à son jeu en ligne préféré. Il n’a ni déjeuné ni dîné et il est en train de manquer son cours. Ses notes ont beaucoup diminué dernièrement et ses colocataires ont remarqué qu’il ne sort presque plus de sa chambre. Lorsqu’il le fait, il est maussade, irritable, fait ce qu’il a à faire et se hâte d’y retourner. Hier soir, sa copine Sophie l’a invité à une fête, mais il a décliné l’invitation en prétextant qu’il avait un travail important à remettre aujourd’hui. Elle et lui se voient de moins en moins ces temps-ci et ils se disputent souvent au sujet du manque de disponibilité de Mathieu. Nathalie habite avec son copain Frédéric depuis 1 an environ, mais elle est insatisfaite de leur relation.

Les exemples ci-dessus illustrent comment l’utilisation problématique d’Internet et des nouvelles technologies peut être la cause de difficultés pour plusieurs, que ce soit au plan personnel ou au plan interpersonnel. Cyberdependance.ca – Quand l'utilisation d'Internet et des technolologies devient un problème. Note sur les contenus de reference. Serge Tisseron. Posté par Serge TISSERON le 7 avril 2014. La revue Canard PC a consacré récemment un numéro à la question de l’addiction aux jeux vidéo, bien évidemment titré « Tous addicts ? ». Mais qu’est-ce qui a bien pu justifier le lancement d’un tel sujet à un moment où pratiquement l’ensemble de la communauté internationale est en train de renoncer à définir les pathologies liées à l’usage excessif des jeux vidéo en termes d’addiction, notamment chez l’enfant et l’adolescent ?

Est-ce parce que l’utilisation du mot est devenu un argument marketing pour des campagnes qui prétendent vendre des jeux en mettant en avant leur caractère « addictogène » ? En tous cas, à ce jour, aucune classification internationale ne retient l’existence d’une « addiction » aux jeux vidéo : ni le DSM de l’American Psychiatric Association (APA), ni la classification internationale des maladies mentales de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS).

Les addictions sans substances Addiction ou toxicité ? La course à l’e-influence, une addiction socialement acceptable ? – The brandnewsblog l Le blog des marques et du branding. #Gloups. S’il est des articles qu’on lit d’un trait, la gorge un peu serrée et en ravalant sa salive à la fin, celui d’Isabelle Bouttier¹, publié récemment par l’excellente revue Tank, en fait incontestablement partie. C’est que la fondatrice de Web Image&Sens, qui fut sémiologue et coach dans une vie antérieure, n’y va pas par quatre chemins pour décrire les ressorts psychologiques et autres traits qui caractérisent les socionautes influents, ainsi que la course à l’e-influence ! Alors évidemment, quand il se trouve qu’on est soi-même blogueur et twitto assidu, comme le personnage fictif autour duquel l’auteure a construit son article (un certain « Paul »²), difficile de ne pas se sentir visé par cette description sans concession de l’e-influence et par son portrait au vitriol de ces e-influenceurs autoproclamés dont les réseaux regorgent.

Alors, aliénation ou pas ? Quelle seraient, si tant est que l’on puisse parler d’addiction, les signes avant-coureurs de la dépendance ? WordPress: Note sur les sources informelles.