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Psychologie

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Vanity. In conventional parlance, vanity is the excessive belief in one's own abilities or attractiveness to others.

Vanity

Prior to the 14th century it did not have such narcissistic undertones, and merely meant futility.[1] The related term vainglory is now often seen as an archaic synonym for vanity, but originally meant boasting in vain, i.e. unjustified boasting;[2] although glory is now seen as having an exclusively positive meaning, the Latin term gloria (from which it derives) roughly means boasting, and was often used as a negative criticism.[3] In religion and philosophy[edit] In this painting Daydreams by Thomas Couture, the vice of vanity is shown through a boy blowing bubbles.[5] The Walters Art Museum.

In many religions vanity, in its modern sense, is considered a form of self-idolatry, in which one likens their self to the greatness of God for the sake of their own image, and thereby becomes separated and perhaps in time divorced from the Divine grace of God. Symbolism of vanity[edit] Résilience (psychologie) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Résilience (psychologie)

Arbre qui pourrait être perçu comme un symbole de résilience : sa cime a été coupée, et néanmoins il vit et se déploie Du verbe latin resilio, ire, littéralement « sauter en arrière », d'où « rebondir, résister » (au choc, à la déformation). Les premières publications dans le domaine de la psychologie datent de 1939-1945. Werner et Smith, deux psychologues scolaires américaines à Hawaï, travaillent avec des enfants à risque psychopathologique, condamnés à présenter des troubles. À l'occasion d'un suivi effectué pendant trente ans, elles notent qu'un certain nombre d'entre eux « s'en sortent » grâce à des qualités individuelles ou des opportunités de l’environnement[réf. nécessaire]. La notion de résilience s'oppose parfois à la notion de « coping » (Paulhan & al., 1995) (en anglais to cope = se débrouiller, s'en sortir).

La résilience serait le résultat de multiples processus qui viennent interrompre des trajectoires négatives. Mémétique. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Mémétique

La mémétique utilise le concept de mème, pour étudier les évolutions de la culture avec une approche Darwinienne étendue. Si la génétique se base sur le concept de gène, pour étudier la nature, la mémétique se base sur le concept de mème, pour étudier la culture. On y étudie le comportement des codes et schémas informationnels appelés mèmes, dans leurs milieux physico-chimiques et socio-culturels : l’homme, l’animal, la machine (tout support mémoriel).

Le mème peut se définir comme un élément d'une culture pouvant être considéré comme transmis par des moyens non génétiques, en particulier par l'imitation[1]. Elle associe les sciences de autour de l'étude de l'évolution des phénomènes culturels dans le temps et l'espace physico-social, dans une approche culturo-centrée. Origine[modifier | modifier le code] Le mot mémétique a été formé dans les années 1980 à partir du terme mème. L'approche d'Aaron Lynch est un exemple[2]. Certains[Qui ?]