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Le travail

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Robotique, travail, revenu de base : comment Benoît Hamon réconcilie modernité et social - Politique. Benoît Hamon était ce jeudi l'invité de l'Emission Politique de France 2.

Robotique, travail, revenu de base : comment Benoît Hamon réconcilie modernité et social - Politique

L'occasion pour lui de montrer ses forces et ses faiblesses mais surtout d'engager un débat de fond sur le travail. Mêlant réflexion philosophique et sociale, Hamon fait le portrait d'un monde libéré du travail, mais juste. Une idée d'avenir ? Nous sommes en mars 2016 lorsque nous interrogeons Benoît Hamon sur la Loi Travail. Avant la débâcle et le 49.3, le débat semble encore possible et Numerama souhaitait alors donner la parole à celui qui tentait d’accompagner par la loi un droit à la déconnexion sérieux et réaliste. Le député de Trappes et ancien Ministre de l’Éducation est alors connu pour être souvent du côté des frondeurs et porte dès le printemps un discours très critique envers la Loi Travail.

Aujourd’hui, Benoît Hamon revient dans la lumière à l’occasion de la primaire de la Belle Alliance Populaire. Le Fillon de la gauche, discret, sérieux et finalement gagnant M. Le retour du bon rocardien Lire. Après la fin du travail. Les Allemands rêvent des 35 heures. Alors qu'en France, les partisans du retour à une semaine de travail de 39 heures citent souvent l'Allemagne en exemple, et que François Fillon voudrait l'appliquer aux fonctionnaires s'il est élu président en 2017, les travailleurs allemands, eux, ne rêvent que d'une chose: travailler moins.

Les Allemands rêvent des 35 heures

Selon la législation allemande actuelle, une journée de travail ne doit en principe pas excéder huit heures. Un employé à temps plein outre-Rhin travaille donc 40 heures par semaine en moyenne. Or, d'après un sondage réalisé par l'institut d'études d'opinion Forsa pour la fondation allemande Körber-Stiftung auprès de 1.701 citoyens allemands, ces derniers souhaiteraient travailler en moyenne six heures et 18 minutes de moins par semaine.

Les employés interrogés travaillant en moyenne 37,6 heures par semaine, cela signifierait donc une semaine de travail à 31,3 heures. La mauvaise image du temps partiel. Boulots de merde : « On revient à une économie de type féodale, une économie de la domesticité » - Basta ! Basta !

Boulots de merde : « On revient à une économie de type féodale, une économie de la domesticité » - Basta !

: Le titre de votre livre, Boulots de merde, se réfère au texte de l’anthropologue David Graeber sur les « bullshit jobs » [1]. Il y décrit les métiers absurdes qu’induit le capitalisme financier, tels que ceux exercés par les avocats d’affaire, lesquels s’ennuient prodigieusement au travail. Mais pour vous, les bullshit jobs ne concernent pas que les cols blancs, loin s’en faut. Pourquoi ? Julien Brygo et Olivier Cyran [2] : Nous avons été séduits par cette idée de David Graeber selon laquelle, dans le capitalisme financier, des millions d’individus sont employés à ne rien faire d’utile, comme effectivement les avocats d’affaire : ils sont bien payés et très reconnus socialement, mais ils s’ennuient tellement au travail qu’ils passent leur temps à télécharger des séries ou à réactualiser leur page Facebook.

Entre 1995 et 2010, dans le monde, le nombre de travailleuses domestiques a grimpé de plus de 60 %. 52 millions de femmes exercent ces « métiers ». The Shame of Work - New Rambler Review. By JOHN DANAHER Review of The Refusal of Work: The Theory and Practice of Resistance to Work, by David Frayne London: Zed Books, 2015 David Gelb’s 2013 documentary Jiro Dreams of Sushi is an unusual film.

The Shame of Work - New Rambler Review

It is a vivid, memorable and beautifully-filmed portrait of Jiro Ono, the indomitable and indefatigable owner and head chef at the tiny, 10-seat Sukiyabashi Jiro sushi restaurant nestled in a Tokyo subway station. Although small and unassuming in size, the restaurant is world-renowned. I have watched the film twice and had very different reactions each time. Then I watched it for a second time. The movie thus seemed to exist in a superposition of interpretive states, collapsing into one depending on the ideological lens through which it was viewed. The book is very much of two halves. Frayne starts by introducing the reader to the anti-work literature. These authors share a general outlook on work. But what exactly do these authors mean by ‘work’? You’re not regarded.