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L'Histoire

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Bibliothèque virtuelle Sources historiques de première et de seconde main. Organisation des sources historiques Lorsque l’on parle de source historique, il s'agit d'un document ou artefact que l’on utilise pour étudier l’histoire. On retrouve divers types de documents historiques : Les documents archéologiques (armes, outils, bijoux, ossements, vaisselle, etc.)Les documents écrits (journaux, livres, inscription, édit, etc.)Les documents iconographiques (gravures, statuts, portraits, dessins, caricatures, etc.)Les documents audiovisuels (enregistrement d'une entrevue sur cassette, reportage, documentaire, etc.) Bien qu'il existe plusieurs types de documents, on considère les sources écrites comme étant les plus révélatrices du passé. Afin de délimiter l'Histoire de la Préhistoire, on se base par convention sur l'invention de l'écriture qui représente le début de l'Histoire.

Les documents et les objets conservés depuis l’invention de l’écriture sont très nombreux. Source de première main Source de seconde main Voici quelques sources de seconde main : Première main :

Archéologie

Périodes de l'Histoire. Esclavage et traite des noirs. L'Histoire (vue générale) Versailles. Votes. Patria: la France ancienne et moderne, morale et matérielle, collection... Histoire de la justice, des crimes et des peines. Jeunes Parisiennes parties pour la Nouvelle-France au XVIIe siècle - Société d'histoire des Filles du Roy (SHFR) Maud Sirois-Belle Affichages : 22476 Jeunes Parisiennes parties pour la Nouvelle-France au XVIIe siècle (récits de vie) par Maud SIROIS-BELLE Il y eut peu de départs de jeunes femmes originaires de Paris vers la Nouvelle-France de 1608 à 1663.

Dès 1667, Colbert mit en place un recrutement organisé de filles à marier, surtout après l’établissement dans la vallée du Saint-Laurent d’officiers et de nombreux soldats en fin de contrat. On les appela « Filles du Roy ». Comme l’a dit l’une d’elles qui fit récit de son départ vers la Nouvelle-France, Marie-Claude CHAMOIS : « … au commencement du mois de may 1670 ayant été nommée avec plusieurs autres filles de l’hospital pour aller en Canada par ordre du Roy… », le sort de ces orphelines parisiennes a été scellé par une volonté royale. Sur les quatre-vingt-deux femmes reparties, vingt-huit étaient célibataires. Etait-ce encore l’effet de ce mécontentement ? Les célibataires ne furent pas les seules à rentrer au pays. Filles du Roi/essais. BDIC - Bibliothèque de documentation internle contemporaine.