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Politikah

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Mylondo: Une société démocratique doit éradiquer la pauvreté. Pourquoi ne pas profiter des fêtes de fin d’année pour faire découvrir le revenu de base à vos proches ? Une version enrichie d’ Un revenu pour tous ! De Baptiste Mylondo, vient d’être publiée aux éditions Utopia . Dans Un revenu sans condition , l’auteur réaffirme l’ancrage à gauche du revenu de base qu’il défend, il en précise la philosophie et revient sur les questions de montant et de financement. Un cadeau à la fois utile et abordable par les temps qui courent Ce dernier livre est en fait une nouvelle édition, plus complète d’un livre que vous avez déjà publié sur le sujet.

Qu’apporte en plus cette “version enrichie” ? Seule une petite partie de l’édition initiale est reprise dans cette nouvelle édition. Plusieurs points me semblaient mériter des approfondissements ou des développements. Comment la situation a-t-elle évolué depuis la parution de la première version ? Depuis la publication de la première édition, en 2010, une élection présidentielle est passée.

Crédit photo. “Islamophobie”: une invention française | Islamophobie. Selon certains intellectuels médiatiques parisiens, “islamophobie” est un terme à bannir absolument du vocabulaire français. Un des principaux arguments mobilisés pour justifier ce bannissement symbolique réside dans l’affirmation selon laquelle le terme a été forgé par les “intégristes iraniens” dans les années 1970 soit pour disqualifier les femmes refusant de porter le tchador, soit pour empêcher toute forme de critique de la religion musulmane: « Le mot “islamophobie” a une histoire, qu’il vaut mieux connaître avant de l’utiliser à la légère.

Il a été utilisé en 1979, par les mollahs iraniens qui souhaitaient faire passer les femmes qui refusaient de porter le voile pour de “mauvaises musulmanes” en les accusant d’être “islamophobes”. (…) En réalité, loin de désigner un quelconque racisme, le mot islamophobie est clairement pensé pour disqualifier ceux qui résistent aux intégristes : à commencer par les féministes et les musulmans libéraux. » Qu’en est-il de l’arabe? États-Unis - La démocratie basée sur l’argent. MONDE : Christine de Pisan. Je me merveille trop fort de l’opinion d’aucuns hommes qu’ils ne vouldroient point que leurs filles, femmes, ou parentes apprentissent sciences, et que leur meurs en empireroient.

Par ce, peux tu bien voir que toutes opinions d’hommes ne sont pas fondées sur raison, et que ceux-là ont tort; car il ne doit mie estre présumé que de sçavoir les sciences moralles et qui apprennent les vertus, les meurs doivent en empirer; mais n’est point de doubte qu’ils en amendent et anoblissent.Comme doncques est-il à penser que qui suit bonnes leçons et doctrines, en doit empirer? Cette chose n’est ni à dire, ni à soustenir. Je ne dye mie que bon fust qu’aucune femme estudiast en sciences de sortilèges ni en celles qui sont deffendues; car l’Eglise saincte ne les a pas ôtées pour néant du commun usaige; mais que les femmes empirent de sçavoir le bien, ce n’est pas à croire.

N’estoit point de cette opinion Quintus Ortensius, qui estoit à Rome grand rhétoricien et souverain diseur. Priorité à l'ordre et obsession sécuritaire : les causes perdues des socialistes. Parlez-vous le néo-facho ? Antiracisme Idéologie cauchemardesque qui a pris le pouvoir en France dans les années 1980. «Communisme du XXIème siècle» selon Alain Finkielkraut, «branche terroriste » du nihilisme et avatar du « Démon» pour Richard Millet, l’antiracisme prône «une société sans discrimination ni frontière» (« Valeurs actuelles »), horizon monstrueux qui fait froid dans le dos.

«A la maladie nazie et à la névrose communiste a succédé le conditionnement antiraciste.» (Millet toujours) Quiconque ne s’y soumet pas est lynché (voir Lynchage), et/ou devient célèbre. Autre Espèce en voie de disparition, puisque l’antiracisme*, dans son refus de la frontière, désire «l’avènement du Même*». Civilité Valeur fondatrice d’un parti comme l’In-nocence*, au même titre que «le civisme», «la civilisation», «l’urbanité» et le «respect de la parole». Contre-colonisation Curés Décivilisation Déculturation (Grande -) Précédant la décivilisation* d’un tome, la Déculturation est aussi «Grande» que le remplacement.

Dissidents Langue. Recherche « bobos » désespérément… É ric Agrikoliansky, maître de conférences en science politique à l'Université Paris-Dauphine, membre de l'IRISSO, analyse la catégorie « bobos ». Il décrypte les errements scientifiques et les usages politiques d'une catégorie dont les impensés trahissent une perception biaisée du social et du politique. Inventée par un journaliste américain, David Brooks (1), la catégorie de « bourgeois bohèmes », que résume la contraction « bo-bo-s », connaît en France depuis une dizaine d’années un large succès. Intégrée au langage courant, elle semble en passe d’entrer au panthéon des expressions politiques légitimes pour désigner le monde social. Elle constituerait même, selon Le Figaro (2), une source d’inspiration pour la campagne de N.

Sarkozy permettant de théoriser la coupure entre les « gagnants de la mondialisation » (bourgeois et « bobos ») et « les perdants en voie de décrochage » que le candidat sortant tente justement de mobiliser. Que peut-on conclure de ces résultats ?  La sociologie de Paris - Entretien avec Monique et Michel Pinçon-Charlot. Extrait La gentrification de Paris et l’émergence des "bobos" Les périphériques vous parlent : Dans votre ouvrage paru il y a quelques années, intitulé Sociologie de Paris, vous évoquiez la notion de gentrification pour qualifier les évolutions sociologiques plus ou moins récentes de la capitale et que semblent symboliser les bobos, à la fois comme catégorie sociologique et microcosme parisien et aux contours cependant bien flous. Qu’entendez-vous par ce terme de gentrification alors que celui d’embourgeoisement s’imposerait avec plus d’évidence au regard de la flamblée des prix de l’immobilier à laquelle nous assistons depuis plusieurs années dans la capitale ?

Monique et Michel Pinçon-Charlot : Il nous est apparu que le terme d’embourgeoisement n’était guère satisfaisant pour désigner l’arrivée de classes moyennes et supérieures dans des quartiers de Paris qui furent jadis populaires. Qui sont les bobos ? Ils se promènent en couple le long du canal Saint-Martin avec une poussette à trois roues, en parlant de leur dernier voyage en Croatie. Chez eux, un loft sur cour dans une ancienne manufacture, les meubles patinés chinés en brocante côtoient les fauteuils design. Les enfants ont des jouets éducatifs en bois et des doudous équitables. Ils vont au marché bio. Les bobos, on en connaît non ? Vous en êtes peut-être un. Le débat sur leurs attributs prend souvent de la place dans vos commentaires, donnant lieu à des affrontements qui se terminent en invectives : c’est toi le bobo, d’abord. Sans prétendre à l’exhaustivité, nous avons eu envie de revenir sur cette expression et la catégorie sociale présumée qu’elle désigne, les bourgeois-bohêmes.

Un sorte de bourgeois high-tech L’apparition du bobo date de 2000, dans un livre du journaliste américain David Brooks. Boboïsation et gentrification La notion ne fait toutefois pas l’unanimité chez les sociologues.

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Emploi & Management. Marxisme, références bibliographiques. Marxisme, références bibliographiques. Crowdsourcing. Todorov et les ennemis intimes de la démocratie : Affaires stratégiques - Vimperator. Big Brother Awards - Vimperator. Les gagnants Big Brother Awards 12la police de la Westkust La Ligue des droits de l’Homme et la Liga voor Mensenrechten ont organisé, le jeudi 26 janvier 2012, aux Halles de Schaerbeek, la seconde édition des Big Brother Award. Durant cette cérémonie informative et ludique, plusieurs prix ont été remis - Les prix du jury - Le Winston Award (prix positif récompensant une personne ou une organisation qui s’engage pour la protection du droit au respect de la vie privée des citoyens). - Le Prix du public (il pouvait voter sur ce site) Nous avons le plaisir de vous présenter les lauréats de cette édition 2012.

Prix du jury Le jury a remis un Award à 3 acteurs, répartis en 3 catégories, afin de pointer les questions et problèmes que posent leur (in)action en matière respect de la vie privée. Dans la catégorie Entreprises, la carte MoBIB de la STIB remporte un Award pour les questions en matière de sécurité des données personnelles et d’anonymat que pose la carte MoBIB. Prix du Public Winston Award.