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Comment Pixmania optimise ses investissements publicitaires digitaux. Le site d'e-commerce cherche à affiner la prévision de ses résultats publicitaires Search, Social et Display. Il vient pour cela de mettre en place Adobe Media Optimizer. En difficulté depuis plusieurs mois, Pixmania a été amené à se recentrer sur son activité cœur de métier d'e-commerçant et s'est d'ailleurs séparé en février dernier de ses magasins physiques (lire l'article : Pixmania quitte douze pays et stoppe toute diversification).

Pour affiner ses prévisions de résultats publicitaires et, in fine, accroître le ROI de ses campagnes en ligne dans les domaines du Search, du Social et du Display, le site a ainsi été amené à massivement investir (en deçà du million d'euros cependant) dans une solution marketing. En 2012, Pixmania lance un appel d'offres auprès de plusieurs éditeurs : Marin Software, Kenshoo, Google DoubleClick et Adobe. Les meilleures sources statistiques du marketing mobile. Se lancer dans le marketing mobile exige de s’appuyer non pas sur des convictions personnelles mais plutôt sur des études chiffrées permettant de vraiment comprendre l’écosystème mobile et surtout de rentabiliser ses investissements.

De nombreuses études et sources d’informations existent. Je vous propose de découvrir une sélection à travers ce billet. Disponible en 23 langues, Google met à disposition en ligne les résultats d’une enquête effectuée régulièrement depuis 2011. La version française est accessible à cette adresse : Cette source propose le niveau d’adoption et d’utilisation des smartphones dans 40 pays du monde. Il est possible de créer des graphiques personnalisés afin de mieux guider sa stratégie mobile. Le premier critère à sélectionner est le ou les pays. Par ailleurs, Google propose l’ensemble des données par pays grâce à des rapports téléchargeables en version pdf. DisplayAdvertisingEcoSystemMap_nov11-1.png (1199×847) Retargeting : quoi de neuf chez Criteo ?

Lors du Salon eMarketing qui s’est tenu à la Porte Maillot la semaine dernière Criteo était sur le devant de la scène. Lors d’une conférence dédiée au retargeting, Grégory Gazagne, son Directeur pour le marché européen a parlé Big Data et s’est prêté à quelques confidences sur ce qui se passe à l’intérieur de sa boîte noire. La société fondée par jean Baptiste Rudelle au milieu des années 2000 s’appuie sur un algorithme prédictif. Criteo enregistre un maximum d’informations sur le comportement de l’internaute aussi bien sur un site marchand qu’en dehors.

Les données sont stockées dans sept data centers en Europe, en Asie et aux Etats-Unis. Julien Simon, qui gère l’infrastructure, explique que Criteo s’appuie sur une cinquantaine d’experts en business intelligence. Pour son produit de bannière personnalisée, Criteo s’appuie sur plus de 300 templates. Les nouveautés publicitaires de Facebook pour se monétiser en 2013. Cet article a été publié il y a 1 an 3 mois 24 jours, il est possible qu’il ne soit plus à jour. Les informations proposées sont donc peut-être expirées. 2012 a marqué pour Facebook une étape décisive : son entrée en bourse (capitalisation à $100 milliards) et l’agressivité progressive de sa stratégie de monétisation, car tous les investissements liés à Facebook nécessitent une rentabilité. Petit récapitulatif de toutes les nouvelles offres publicitaires de Facebook, et de ce qui va se généraliser cette année. Comme Peter Deng, directeur produits de Facebook, l’annonçait lors de #LeWeb, la priorité est au mobile, et toutes les nouvelles fonctionnalités sont d’abord développées pour le mobile, avant d’être élargies à toutes les plateformes.

On a donc des publicités directement dans le News Feed mobile : des contenus sponsorisés, des mises en avant de pages Facebook à liker, et des applications à télécharger. Aucun espace n’est pas commercial chez Facebook. Facebook publie ses résultats 2012, les investisseurs sont contents, quid des annonceurs ? Cette semaine nous assistons à la publication des résultats financiers des sociétés côtés au Nasdaq. Les performances des grands acteurs du web sont passées au peigne fin, les chiffres analysés dans les moindres détails.

Cette année Facebook est de la partie et vient de publier ses chiffres pour l’année 2012 : Facebook Reports Fourth Quarter and Full Year 2012 Results. Autant le dire tout de suite : ces chiffres sont très impressionnants et démontrent un niveau d’activité jamais atteint, il convient néanmoins de les remettre en perspective dans un contexte incertain. Le bilan est donc mitigé et les marchés financiers ne s’y trompent pas, car le cours de l’action est en léger repli au moment où j’écris ces lignes. Une activité au plus haut en progression constante Si l’on regarde les chiffres présentés dans la nuit, 2012 a été une année faste pour Facebook. Une très bonne rentabilité, mais qui cache des faiblesses Concernant les résultats financiers : Le modèle de vente au CPM freine-t-il le développement des ad exchanges ?

Malgré la complexité de son mécanisme d’enchères, acheteurs et vendeurs continuent d’investir dans le RTB. La tendance ne va pas ralentir demain, selon les experts. Néanmoins, une question se pose : le modèle d’achat et de vente via RTB est-il mauvais ? Pour Konrad Feldman, le CEO de Quantcast, une solution d’analytique, la réponse est oui. Tout le monde sait que le modèle au CPM est tout autant imparfait qu’il est populaire au sein du secteur. « Aujourd’hui, il empêche les professionnels de la publicité en ligne de profiter pleinement du potentiel apporté par le real time bidding » affirme-t-il dans les colonnes de notre confrère AdAge. En effet, le RTB permet de valoriser chaque impression de façon unique et non pas par paquet de 1000. Or toutes les impressions sont loin d’être égales entre elles. Des tout petits détails comme le moment dans la journée influencent l’efficacité d’un message publicitaire. Comme souvent, la réponse se situe un peu entre les deux.