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Transport

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Les transports publics, toujours plus chers, toujours moins rentables. « Le ratio recettes /dépenses ne cesse de se dégrader ». C’est un cri d’alarme lancé ce mercredi 9 octobre, lors d’une conférence de presse, par les acteurs du transport public, SNCF, RATP, Keolis ou Transdev, qui gèrent les réseaux locaux ou régionaux (à lire dans Ville, rail et transport). Selon l’Union des transports publics (UTP), qui réunit les professionnels du secteur, « la demande de transport croît plus vite que les recettes ». Le fameux ratio est passé de 39% en 2002 à 31,5% en 2012, alors qu’en Allemagne, qui fait toujours figure de référence, en France, quand on parle efficacité, le même ratio est passé de 41,9% à 49,1% pendant la même période. Disette. Les trois sources de financement qui permettent aux bus, métros et tramways de circuler se tarissent peu à peu, détaille l’UTP. 1/ Le « versement transport », cet impôt assis sur la masse salariale et versé par les employeurs au motif que les transports publics permettent aux salariés d’aller au travail, n’augmente plus.

Comment nous transporterons-nous en 2025 ? Le \ A quoi ressemblera la France des transports et de la mobilité dans une douzaine d'années ? Lors du séminaire gouvernemental qui s'est déroulé fin août, le ministre délégué aux Transports Frédéric Cuvillier a présenté sa copie. Un document de sept pages dans lequel les nouvelles formes de mobilité comme le covoiturage, l'autopartage, l'autocar et la voiture intelligente trouvent toute leur place. A l’avenir, la mobilité des personnes continuera d’augmenter, mais à un rythme moindre que lors des précédentes décennies, prévoit le ministère des Transports.

Le trafic de voyageurs devrait progresser de 1,7% par an d’ici à 2030., dans une France beaucoup moins centralisée autour de Paris et où les besoins de déplacements entre grandes métropoles et au sein de métropoles seront plus importants. -> Lire : "L'avion pour financer le train CDG Express" En province, presque toutes les métropoles seront connectées à Paris en moins de 3h30. Davantage d'autocars Financer le TER avec le livret A. La première remontée mécan... "Mobilité partagée et mobilité du futur"

Transport en commun

Etude exploratoire sur les perceptions du temps et les activités dans les transports en commun. A quoi le temps passé dans les transports (1h30 par jour en moyenne pour les personnes qui travaillent, 30 minutes pour les autres) est-il occupé ? Comment est-il vécu par les usagers et les habitants (temps utile ? Temps perdu ? Temps contraint ?...) ? Etude qualitative sur le temps passé dans les transports en commun 2ème étude quantitative sur le temps passé dans les transports en commun Dans le cas particulier des transports en commun, comment ce temps pourrait-il être davantage valorisé, ou mieux utilisé, dans la perspective d’améliorer le bien-être des habitants, mais aussi de renforcer l’attractivité du transport collectif par rapport au mode voiture ?

Transports publics urbains : quatre scénarios pour un financement durable. Développement durable. Territoires périurbains et ruraux : comment freiner la dépendance à la voiture ? Le transport durable, nouvelle tendance en immobilier | L'informateur Immobilier Commercial. Auto électrique et transport collectif doivent faire partie des plans Par Mathieu-Robert Sauvé Comment se déplacera-t-on à Montréal en 2050? Certainement de moins en moins seul au volant de notre auto à essence, croit l’urbaniste Gérard Beaudet, qui dirige l’Observatoire sur la mobilité durable de l’Université de Montréal.

L’utilisation solo des autos personnelles sera trop coûteuse pour une bonne partie de la classe moyenne. « Les grands gisements de pétrole seront épuisés. Selon l’expert, la ville de Montréal du milieu du siècle sera quadrillée de rues piétonnières et de voies cyclables, et on multipliera les véhicules à usage collectif de toutes sortes pour se déplacer de l’est vers l’ouest et du nord au sud. Le mode de transport le plus adapté au prochain siècle pourrait être la voiture électrique. Avec des bornes de recharge de 400 V, on fait le « plein » en 30 minutes.

. « L’électricité comme carburant pour les autos, ce n’est pas le futur, on est déjà rendus là », affirme-t-il.

Metro

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