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Orientation

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Determinantsdelareussite. The Trouble with Boys: Social Influences and the Gender Gap in Disruptive Behavior. NBER Working Paper No. 17541Issued in October 2011NBER Program(s): CH ED LS This paper explores the importance of the home and school environments in explaining the gender gap in disruptive behavior.

The Trouble with Boys: Social Influences and the Gender Gap in Disruptive Behavior

We document large differences in the gender gap across key features of the home environment – boys do especially poorly in broken families. In contrast, we find little impact of the early school environment on non-cognitive gaps. Differences in endowments explain a small part of boys’ non-cognitive deficit in single-mother families. More importantly, non-cognitive returns to parental inputs differ markedly by gender. You may purchase this paper on-line in .pdf format from SSRN.com ($5) for electronic delivery. Acknowledgments Machine-readable bibliographic record - MARC, RIS, BibTeX Published: Marianne Bertrand & Jessica Pan, 2013. Users who downloaded this paper also downloaded these:

"Les notes conservent toujours un caractère approximatif" Dans un chat sur LeMonde.fr, Philippe Meirieu, pédagogue et professeur des universités à Lyon-II, explique pourquoi il plaide pour "une pédagogie de la réussite" plutôt que pour "une pédagogie de la sanction".

"Les notes conservent toujours un caractère approximatif"

Marcos kilakos : Pourquoi avez-vous refusé de signer la pétition contre les notes à l'école primaire ? Philippe Meirieu : Je n'ai pas souhaité signer cette pétition dans la mesure où, si elle me paraît dénoncer les effets ravageurs de la note et de l'utilisation des notes dans le système scolaire français, elle ne me paraît pas insister suffisamment sur la nécessité d'une évaluation positive, constructive, qui aide les élèves à progresser.

Autant je suis critique sur l'utilisation des notes, autant je crois absolument indispensable d'élaborer et de mettre en œuvre une évaluation rigoureuse et exigeante. Par ailleurs, je ne pense pas que les notes, à elles seules, puissent être considérées comme responsables de l'ensemble de l'échec scolaire. « L’obsession évaluative », une maladie française. Le débat récent sur le dépistage précoce des élèves en difficulté l'a rappelé, s’il est un culte auquel se voue l’Éducation nationale, c’est bien celui de l’évaluation.

« L’obsession évaluative », une maladie française

On ne peut pas être élève sans subir à coups de contrôles inopinés et d’interrogations souvent surprises ce que d’aucuns appellent « l’obsession évaluative ». Et comme cela ne suffisait pas, le ministère a instauré des bilans nationaux organisés chaque année en CE1 et CM2. Moulés dans le même système, les parents s’inquiètent eux‐mêmes dès que leur progéniture ne donne pas ses notes : pour les petits Français, le « Tu as eu de bonnes notes aujourd’hui ? » tient souvent lieu de « Bonsoir mon chéri »… Tout cela crée un stress permanent et une relation de méfiance réciproque entre des profs payés pour être soupçonneux et des élèves qui voient parfois dans la triche le seul moyen de passer entre les mailles du filet. Notes au primaire : Qu'en est-il chez nos voisins ? Nathalie Mons Maître de conférences en sociologie à l’Université de Paris-Est-Marne-la-Vallée et chercheur au LATTS, est spécialisée dans l’analyse internationale des politiques éducatives, Elle a notamment participé en 2008 à un rapport « Responsabilités et autonomie des enseignants », pour la Commission européenne (réseau Eurydice) qui analysait les pratiques d’évaluation des enseignants.

Suite à la pétition de l’AFEV, elle analyse ici les pratiques françaises d’évaluation continue à la lumière des expériences étrangères et le débat à l’étranger sur l’évaluation numérique. Que pensez-vous des pratiques de notation en France comparativement à ce qui se pratique dans les pays de l’OCDE ? Le blog de Michel Lussault » Blog Archive » Evaluer? Chiche! Un récent appel à supprimer les notes à l’école élémentaires, lancé à l’initiative de l’AFEV le 22 septembre, à l’issue de la 3ème journée du refus de l’échec scolaire, mérite qu’on s’y attarde quelque peu, ne serait-ce que pour dépasser les réactions à l’emporte-pièce qu’il a suscité.

Le blog de Michel Lussault » Blog Archive » Evaluer? Chiche!

Cet appel, je l’ai signé, avec un certain nombre de mes collègues. Il faut que j’explique la motivation de cette signature, alors que je suis assez souvent rétif à une telle pratique de pétition que je considère en général comme assez vaine. Mais là, tout en restant sans grande illusion sur l’impact de cette démarche, à la fois le pétitionnaire et le thème m’ont paru en valoir la peine, impliquer l’universitaire que je suis et rentrer dans le cadre de ce blog. M’associer à l’appel est d’abord une manière pour moi de saluer l’AFEV et son travail. Interrogeons le diagnostic de Jean-Robert Pitte. Dans un précédent post je me suis interrogé sur le livre de Jean-Robert Pitte : « Orientation pour tous, Bien se former et s’épanouir dans son métier » (François Bourin éditeur, 2011), et en particulier sur le rapport entre le diagnostic qu’il posait et le remède proposé.

Interrogeons le diagnostic de Jean-Robert Pitte

Avant de passer du diagnostic au remède, il serait peut-être utile de s’interroger sur le système de causalités qui produit l’état diagnostiqué. Et ce système de causalité, c’est très largement notre système scolaire Si les jeunes français et les adultes sont ainsi que le constate Jean-Robert Pitte, c’est qu’ils sont le produit d’un système éducatif. Lors de la dernière publication de l’enquête PISA, je rappelais sur ce blog la manière dont elle fut reçu en France dans une série de posts ouverte par « PISA : la claque pour la France ? » . Ainsi toute « production scolaire », une réponse orale, un devoir, une attitude, sont notées et serviront à évaluer l’élève. Notation et orientation se tiennent la main.