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Coopération et transition

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Liens faibles et diplomatie quotidienne. Le professeur Richard Sennett, reconnu autant en Europe qu’aux États-Unis d’Amérique pour son questionnement sociologique et philosophique, poursuit dans Ensemble sa recherche du bien vivre ensemble.

Liens faibles et diplomatie quotidienne

Ce livre apporte une pierre de plus à son œuvre généreuse, mais la laisse inachevée. Ensemble est le second tome de la trilogie Homo Faber, qui développe les relations entre le travail, la coopération et le milieu urbain. Le premier tome, Ce que sait la main, rappelait la satisfaction simple mais profonde du travail bien fait. Cette fois, Sennett revient sur la plaisante nécessité de vivre avec autrui. On attend avec impatience le dernier tome qui devrait nous entretenir de la bonne construction des villes, en insistant sur la nécessité d’un urbanisme moins figé et plus « informel ». L’économie circulaire en faveur du développement territorial et de la coopération internationale (16.12.13) - France-Diplomatie-Ministère des Affaires étrangères.

Internet : outil de collaboration ou de domination. Il y a un an, l’enquête Ipsos « France 2013 : les nouvelles fractures » faisait l’effet d’un coup de tonnerre médiatique, soulignant combien la crise avait exacerbé la tentation du repli national et le rejet du politique.

Internet : outil de collaboration ou de domination

Le Monde titrait sur « les crispations alarmantes de la société française ». « Le poujadisme s’est enraciné en France », estimait-elle. L’idéologie anti-autoritaire des années 60-70 a reflué de manière spectaculaire. 87 % des Français estiment qu’on a besoin d’un vrai chef en France pour remettre de l’ordre et 86 % (toute tendance politique confondue) estiment que l’autorité est une valeur qui est souvent trop critiquée. Et la nouvelle édition que vient de relayer Ipsos ne fait que renforcer cette tendance. Certes, ce sondage, encore plus que d’autres, est à prendre avec beaucoup de précautions, tant il semble chercher à faire démonstration. Notre besoin d’autorité est impossible à rassasier Pourquoi les gens éprouvent-ils un tel besoin d’autorité ? Hubert Guillaud. Débat autour de la Transition. Avec : Alice Cutler, membre du collectif Trapese, groupe d'éducation populaire basé en Angleterre, co-auteure avec Paul Chatterton de "Un écologisme apolitique ?

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Coopérer : un remède à la crise ? - Idées

Richard Sennett enseigne la sociologie à la New York University et à la London School of Economics. Il a notamment publié Ce que sait la main. La culture de l'artisanat, est paru en 2010 aux éditions Albin Michel. Entretien par Caroline Broué, avec Antoine Mercier et en compagnie d'Eric Fassin. Richard Sennett CB © Radio France Richard SENNETT : « Ce qui m’intéresse, c’est de comprendre comment on fait les choses. » « La coopération ce n’est pas que du verbal, c’est physique. . « La coopération c’est un savoir-faire, il n’y a rien de naturel. David Bollier : « Les communs nous aident à sortir du carcan de l’économie néolibérale, à travers des alternatives concrètes » Qu’il s’agisse d’écologie, de défense des services publics, de culture, de science ou de technologie, les biens communs – ou, plus simplement, les « communs » - ont pour principal attrait de dessiner une alternative pratique aux logiques de commerce et de contrôle, mettant l’accent sur la coopération et le partage, et redonnant du pouvoir et de l’autonomie aux simples citoyens.

David Bollier : « Les communs nous aident à sortir du carcan de l’économie néolibérale, à travers des alternatives concrètes »

D’un autre côté, la notion de « biens communs » est invoquée à propos de choses extrêmement différentes entre elles, depuis la préservation des traditions indigènes jusqu’à Linux et Wikipédia, en passant par la gestion collective des ressources naturelles, les services et infrastructures publics, les coopératives et l’économie solidaire, les jardins partagés et les AMAP… Difficile parfois de trouver un fil conducteur. Dans son nouvel ouvrage, David Bollier entend expliquer ce qui rapproche les pratiques et les initiatives disparates que l’on regroupe aujourd’hui sous le terme de « communs ».