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Les glaneuses

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Analyse Du Tableau Réaliste "Les Glaneuses" De Millet - Compte Rendu - Helene29. Les Glaneuses est un tableau qui a été peint par Jean-François Millet en 1857 et présenté la même année au Salon.

Analyse Du Tableau Réaliste "Les Glaneuses" De Millet - Compte Rendu - Helene29

C’est une peinture à l’huile, peinte sur toile, elle a pour dimension 83.5 cm x 110 cm. Elle est exposée au musée d’Orsay, à Paris. Il aura fallu 10 ans à Millet pour confectionner son tableau. C’est un tableau réaliste qui représente une vieille paysanne et deux plus jeunes, ces femmes sont pauvres car elles sont obligées de glaner des épis de blés pour se nourrir ; elles illustrent donc la misère des populations rurales du XIXème siècle. Les personnages présents sur ce tableau ne sont pas nombreux, cependant, à l’arrière-plan on y voit une charrette pleine de récolte, on peut donc imaginer qu’autour d’autres personnes sont présentes.

Lire la dissertation complète Citer cette dissertation (2012, 02). Millet Des Glaneuses, Informations. "Les Glaneuses" de Millet : Informations sur la tableau. Dans cette représentation de la vie rurale du XIXe siècle, on trouve trois femmes de la classe paysanne qui rassemblent les restes de blé oubliés par les moissonneurs juste après la moisson.

"Les Glaneuses" de Millet : Informations sur la tableau

Cette pratique, qui n'existe plus de nos jours, était entreprise par les plus pauvres dûment autorisés par les propriétaires fonciers. Dans le tableau, les femmes se courbent, et scrutent nerveusement le sol à la recherche de blé. Chaque femme est courbée différemment, représentant les 3 phases nécessaires de ce dur labeur : se pencher, ramasser les épis, puis, se redresser avant de se courber encore.

Elles apparaissent cependant dignes, actrices d'une tâche rurale nécessaire pour pouvoir nourrir sa famille. Leur pauvreté et leur austérité contrastent avec l'abondance de la moisson et les grosses mottes de foin que l'on aperçoit au fond du tableau. La différence d'ambiance entre le premier et l'arrière-plan est encore renforcée par le changement brusque d'échelle entre ces deux plans. Des glaneuses, Informations. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Rappel des glaneuses, Jules Breton, 1859 Jean-François Millet, Des glaneuses (eau-forte), après 1857 Des glaneuses (souvent nommé Les Glaneuses) est un tableau de Jean-François Millet, peint en 1857 et présenté la même année au « Salon ».

Description[modifier | modifier le code] Comme pour son tableau Moissonneurs (1852), Millet a pu en observant les paysannes de Chailly, d'un passage de la Bible, mettant en scène Boaz et Ruth, le premier autorisant la seconde à glaner dans son champ, puis à partager le repas des travailleurs. Ce tableau s'inscrit dans une série de peintures de Millet illustrant la vie paysanne[2]. Acheté pour 2000 francs par M. Les Critiques de 1857 == Pour les critiques de droite, ces femmes sont le symbole d'une révolution populaire menaçante, quand les journaux de gauche y voient le peuple rural appauvri par le Second Empire. Notes et références[modifier | modifier le code] Sources[modifier | modifier le code] Fiche histoire des arts. Jean-François Millet. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Jean-François Millet

Pour les articles homonymes, voir Millet. Jean-François Millet Jean-François Millet par Nadar. Œuvres réputées Jean-François Millet ( - ) est un artiste-peintre réaliste, pastelliste, graveur et dessinateur français du XIXe siècle, l’un des fondateurs de l’école de Barbizon. Il fut influencé par Courbet. Biographie[modifier | modifier le code] Jean-François Millet est le fils de Jean Louis Nicolas Millet et de Aimée Henriette Adélaide Henry, il est né à Gruchy, hameau de Gréville, dans le pays de la Hague.

Il travaille dans la ferme familiale jusqu'à l'âge de 20 ans, puis, doué en dessin, il est envoyé à Cherbourg par son père, grâce à des relations dans la bourgeoisie locale, pour apprendre le métier de peintre auprès de Paul Dumouchel et de Théophile Langlois de Chèvreville[3]. Le conseil municipal de Cherbourg et le conseil général de la Manche lui octroient ensuite une pension pour qu'il puisse continuer son apprentissage à Paris.