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Opération Scorpion. CONFERENCE REGIONALE DES ELUS DE LONGUEUIL | L'agglomération de Longueuil se distingue lors des prix Égalité 2012! Le projet Mobilis lauréat des prix Coup de cœur et Prévention de la violence LONGUEUIL, QC, le 5 mars 2012 /CNW Telbec/ - Le projet Mobilis qui allie le Service de police de l'agglomération de Longueuil, le Centre jeunesse de la Montérégie, le Forum jeunesse, la Conférence régionale des élus de l'agglomération de Longueuil et le ministère des Affaires municipales, des Régions et de l'Occupation du territoire, s'est vu décerner deux prix dans le cadre du Prix égalité qui récompense des projets réalisés par des organismes publics, parapublics, privés ou communautaires favorisant l'égalité entre les femmes et les hommes au Québec.

Cette distinction, remise par le gouvernement du Québec, vise à encourager les organisations qui contribuent à faire avancer l'égalité entre les femmes et les hommes dans leur secteur d'activité. « Mobilis est une grande réussite pour le Centre jeunesse et pour ses partenaires. Renseignements : Des pratiques de plus en plus extrêmes. Au jour le jour, les prostituées de Québec font face à des clients de plus en plus exigeants.

Aussi sur Canoe.ca «Les filles sont tellement gelées qu'elles acceptent de se faire fourrer pour 10 $. Ça n'a pas d'allure», s'insurge Louise, qui n'exerce plus le métier depuis mai et qui oeuvre actuellement comme bénévole auprès du Projet intervention prostitution Québec (PIPQ). Ayant commencé à «vendre (son) cul» en 1992, la quadragénaire peut témoigner de l'évolution de sa clientèle. Nathalie (prénom fictif), prostituée depuis 2003, en a long à dire à propos de ces «demandes spéciales». La zoophilie fait également partie des fantasmes de certains. Même si la prostitution est légale au Canada, l'exercice de ce métier conduit dans la plupart des cas à l'illégalité. Fugues : comprendre d’abord pour mieux réagir.

Fugues : comprendre d’abord pour mieux réagir À la suite de la série de fugues d’adolescentes hébergées au Centre jeunesse de Laval, l’organisme Dans la rue, qui œuvre auprès des jeunes fugueurs depuis 27 ans, souhaite apporter sa contribution pour intervenir face à ce phénomène. Une recherche amorcée par Dans la rue en 2008 (Rejoindre les mineurs en fugue – Une responsabilité commune en protection de l’enfance), menée auprès de plus de 90 acteurs – parents, jeunes, policiers, intervenants communautaires, centres jeunesse – a permis d’établir un consensus à l’effet que la fugue n’est pas un «délit», mais bien un moyen d‘expression des jeunes, dont il faut assurer la sécurité à l’aide de la protection de la jeunesse, sans toutefois brimer leur développement.

Assurer la sécurité des jeunes fugueurs, ou à risque de fuguer, ne peut se faire en enfermant systématiquement les jeunes placés en centre jeunesse, comme le souhaitent certains parents. Pour rétablir des relations avec l’Iran. Jenny, prostituée à 12 ans. Serge Labrosse Le Journal de Montréal Dernière mise à jour: 17-02-2010 | 04h00 Il n'aura suffi que de quelques mois à un gang de rue du nord de Montréal, pour «récupérer» et amener une fillette de 12 ans à se droguer et à se prostituer.

Aussi sur Canoe.ca C'est l'histoire de Jenny - nom fictif - et de son dérapage dans un monde sordide : Une histoire que Le Journal a fait authentifier. Ni sa mère, ni la Direction de la protection de la jeunesse (DPJ), ni le centre d'accueil n'ont pu stopper le train en marche, du jour où, il y a deux ans, l'enfant a dû abandonner l'école élémentaire spécialisée - où elle n'avait atteint qu'un niveau de grade quatre - pour être plongée dans l'immensité d'une polyvalente.

Vulnérable «Depuis des années, ma fille souffre d'un trouble de l'attention, d'hyperactivité et de compulsivité (TDAH)», dit la mère. «Mais j'ai dû l'envoyer à Louis-Joseph Papineau, une polyvalente autour de laquelle rôde le gang des Bleus -les Crips.» Drogue et gangs de rue. La Rive-Sud n'est pas à l'abri. Elles ont 14 ou 15 ans. Elles ont décidé de fuir le domicile familial. En fugue, elles errent dans les métros, les centres commerciaux ou dans la rue. Elles n'ont souvent nulle part où aller. C'est là qu'il intervient.

Remarquant ces adolescentes qui traînent dans le métro, il vient à leur rencontre, il est gentil. On a souvent l'impression que ces histoires ne se déroulent que dans les grands centres urbains, comme Montréal. Comment en arrivent-elles là? «Le gang bang sert à désensibiliser la fille. «La prostitution juvénile de la Rive-Sud n'est pas différente de celle de Montréal. Les nouveaux visages de la prostitution infantile.

Pour financer ses études, Emma s'interroge : vaut-il mieux travailler comme serveuse au McDo pendant un mois ou passer un week-end à se prostituer ? Cette adolescente sexuellement libérée fait le calcul : au bout du compte, le gain est le même. Sa dignité en prendra-t-elle un coup ? Elle n'y pense même pas. Ce concept vieillot détone dans le contexte de sexualisation débridée chevillée à l'impératif de jouissance. Sa liberté ? De la précarité au recrutement La prostitution des enfants a un bel avenir devant elle, voyant même rajeunir sa population au fil des ans. La pauvreté, c'est bien le coeur du problème, a confirmé le lieutenant-colonel Éric Panloup qui a fait part de sa longue expérience de terrain en Europe du Sud-Est.

Résultat : la pauvreté des uns fait le lucre des autres. Le tourisme sexuel en ligne de mire des associations L'exploitation sexuelle des enfants se nourrit aussi du "tourisme sexuel" qui connaît un essor géographique considérable. Ma belle princesse d’amour. Avec les cas de fugues d’adolescentes qui se multiplient dans les médias, la discussion s’entame sur ce qui peut être fait pour éviter que des filles soient enrôlées dans ce qui a toutes les allures d’un système de trafic humain.

Un vérificateur qu’on dit indépendant se penchera sur le cas du Centre jeunesse de Laval; on se demande comment enseigner aux filles à ne pas tomber dans le panneau des gangs de rue; et, signe que les idées féministes font leur chemin, on se demande aussi comment enseigner aux gars à ne pas devenir des exploiteurs. Dans tous les milieux, les parents de jeunes filles sont inquiets. Que faire pour les protéger de cet enfer, à part les combler d’amour? Mais pour y arriver, sommes-nous vraiment prêts à remettre en question la façon dont nous prenons collectivement soin des filles, depuis les perspectives que nous leur offrons jusqu’aux histoires qui fondent leur conception du monde?

Mineures sollicitées dès 8 ou 9 ans. Pas de réseau de prostitution au Centre jeunesse de Laval, affirme Martin Coiteux. Prostitution juvénile: la ville de Québec, un modèle à suivre? QUÉBEC - Des mesures préventives mises en place dans la ville de Québec par une centaine d'intervenants des CLSC, du Service de police, des écoles et des centres jeunesse ont permis de réduire le nombre de fugues et de jeunes filles victimes d'exploitation sexuelle, ce qui pourrait être un modèle pour Montréal et Laval.

C'est la médiatisation de la vague de fugues du Centre jeunesse de Laval au cours des derniers jours qui a permis de relancer la nécessité d'accroître la mobilisation en matière de lutte contre la prostitution juvénile. En décembre 2002, à Québec, une quinzaine de proxénètes et environ 70 jeunes filles membres d'un important réseau de prostitution sont arrêtés dans le cadre de l'opération «Scorpion». Depuis, la mise en place d'une série de mesures efficaces par diverses instances oeuvrant auprès des jeunes s'est soldée par une diminution drastique du nombre de victimes tombées sous l'emprise des proxénètes.

Aussi sur Canoe.ca. Prostitution juvénile : les jeunes filles de milieux riches autant à risque. Les adolescentes des milieux riches risquent autant de sombrer dans l’enfer de la prostitution aux mains de gangs de rue que les jeunes filles des quartiers défavorisés. C’est du moins l’opinion de Michel Dorais et Patrice Corriveau, deux des chercheurs canadiens ayant le plus étudié le phénomène, qui s’exprimaient vendredi dans le cadre du Congrès santé mentale 2009 à Gatineau. Selon eux, la population à risque n’existe tout simplement pas lorsqu’on parle de prostitution juvénile. Leur expérience démontre que des filles de tous les milieux et de toutes les origines peuvent s’y retrouver prises au piège. Michel Dorais s’appuie particulièrement sur le cas de la centaine de jeunes filles qui se prostituaient sous le joug du Wolfpack, le tristement célèbre gang de rue de la ville de Québec, et qui ont été rescapées dans le cadre du projet Scorpion au début des années 2000. Sur l'heure du dîner « Les parents étaient catastrophés.

. « Les filles ne sont ni naïves, ni niaiseuses, insiste M Dorais. Prostitution juvénile : une lutte difficile pour la police. Oups! Une erreur est survenue nous empêchant d`afficher le contenu demandé. Cliquez ici pour obtenir la dernière version plugiciel Flash. La lutte contre la prostitution juvénile est encore plus compliquée, explique Rebecca Martel Le problème de la prostitution juvénile prend de l'ampleur dans les provinces maritimes. De jeunes filles se prostituent, parfois dès l'âge de 13 ans. Une mère d'Halifax, appelée Karen pour protéger son identité et celle de sa fille, est tombée sur des images de sa fille à moitié nue quand elle fouillait dans les petites annonces en ligne.

La prostitution de sa fille de moins de 16 ans a presque détruit sa famille. Dans sa détresse, Karen a mené sa propre enquête. Le maire d'Halifax, Mike Savage, en a discuté avec les policiers. À Halifax, une quarantaine d'adolescentes d'Halifax vendent leur corps sur des sites web. Une douzaine de clients qui avaient recours aux services de prostitués mineurs ont été arrêtés, rapporte le maire Mike Savage. Prostitution juvénile - Une traite qui ne profite pas aux jeunes filles. Pascale Philibert n’aime pas parler de prostitution juvénile. Elle préfère parler de traite humaine. Parce que pour elle, contrairement aux idées reçues, ce n’est pas vraiment la drogue ni même l’argent qui attirent les jeunes filles dans ce domaine, mais bien la carence affective et un important besoin de protection.

En fait, dit-elle, les mineures qui se trouvent prises dans le cercle de la prostitution ne touchent souvent même pas vraiment d’argent pour leurs services. « J’ai déjà vu une jeune escorte de 14 ans, boulevard René-Lévesque à Montréal, mendier pour manger. Travailleuse sociale, Pascale Philibert mène depuis 2008 le projet Mobilis, du Centre jeunesse de la Montérégie, en collaboration avec le service de police de Longueuil. Dans la majorité des cas, les jeunes filles chercheront dans un gang un milieu de vie et une protection qui leur font cruellement défaut. . « Parfois, ce sont les filles elles-mêmes qui les abordent. Manipulation. Saskatoon s'attaque à la prostitution juvénile. Saskatoon (archives) Le conseil municipal de Saskatoon a adopté lundi soir un règlement qui prévoit que dès cet été, les personnes qui offrent des services pour adultes devront se doter d'un permis et pouvoir prouver que leurs employés sont majeurs. La police de Saskatoon se réjouit de l'adoption du règlement puisqu'elle voulait, depuis plusieurs mois, lancer une initiative pour protéger les travailleurs du sexe, en particulier ceux qui sont mineurs.

Elle croit que ce règlement lui permettra de mieux encadrer ceux qui offrent des faveurs sexuelles sur Internet, dans les salons de massage ou par l'entremise d'un service de prostitution. Le chef de police de Saskatoon, Clive Weighill, affirme que les policiers vont se rendre aux salons de massage pour s'assurer que tous les employés sont âgés d'au moins 18 ans. Saskatoon n'est pas la première ville à adopter ce genre de règlement. Décision contestée. Société: Jenny, prostituée à 12 ans. Une mère en Nouvelle-Écosse dénonce la prostitution juvénile. Le reportage de Rebecca Martel Une mère en Nouvelle-Écosse mène une croisade contre la prostitution juvénile après avoir découvert que sa fille offrait son corps pour de l'argent par l'entremise d'un site Internet de petites annonces. « Je me suis sentie comme si je mourais », explique la dame.

Elle est identifiée par le faux prénom de Karen, afin de protéger l'identité des membres de sa famille. Une enquête de CBC conclut que le problème de la prostitution juvénile s'aggrave. Les services policiers constatent que de plus en plus de filles, parfois à peine âgées de 13 ans, sont ainsi exploitées. « Karen » a été bouleversée d'apprendre que sa fille se prostitue Photo : CBC Karen a découvert des images suggestives de sa fille sur Internet il y a un an. Selon Karen, au moins une quarantaine de jeunes filles sont dans cette situation dans la région d'Halifax. Elle a consacré des mois d'efforts à aider sa fille à quitter le milieu de la prostitution.