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Cyber-pédagogie gouvernementale : toujours au ras des pâquerettes. Quand le secrétariat d’Etat auprès du Ministère des Solidarités et de la cohésion sociale chargé de la famille fait de la cyber-prévention s’associe à l’association e-enfance, on a droit à une bonne tranche de rigolade… jaune la rigolade. Disons le clairement et sans langue de bois, l’Etat français raconte de belles inepties (oui j’avoue, j’avais envie d’écrire « conneries ») : sur la protection du patrimoine informationnel, sur le peer to peer, sur la sécurité des échanges… sous prétexte de faire de l’accessible pour les familles,le Ministère des Solidarités et de la cohésion sociale chargé de la famille s’adonne tout bonnement à une sorte de propagande anti-internet frisant l’insulte à l’intelligence de ses lecteurs.

L’objet du crime, le voici, il s’agit du site info-familles.netecoute.fr. S’en suit un interlude publicitaire pour les solutions propriétaires antivirales Avast et Nod32. Je vous disais que ce site recensait un tas d’absurdités ? Allez en voici une autre pour la route. Wikipédia hors-la-loi : comment montrer l'architecture en France | Hotel Wikipedia. Le logo de Wikipédia et ses différentes versions (Wikipédia) Si vous avez le temps, pensez à jeter un coup d’œil aux articles de la Wikipédia francophone sur le Viaduc de Millau ou la Tour Montparnasse. D’ici un mois, ils perdront peut-être un de leurs attributs essentiels : leurs illustrations. Leur présence (ou absence) reste suspendue au résultat d’un référendum wikipédien (dans le jargon local, on appelle ça une Prise de décision).

L’enjeu de ce référendum : savoir si Wikipédia.fr restera hors-la-loi. La liberté de panorama Car Wikipédia.fr est hors-la-loi. La position de la France sur le sujet n’est pas ordinaire. C’est ce qui se produit en France. Plus étrangement encore, le Choix du chaos soulignait que la Tour Eiffel est publique le jour, mais privée la nuit. Francophone n’est pas français On peut certes arguer que la Wikipédia francophone n’étant pas la Wikipédia française et que, de plus, ses serveurs étant situés aux Etats-Unis, elle n’a pas à suivre la loi française. Oups La #SACEM va faire saisir mes meubles ! #P2P #warez #torrent | TorrentNews. Mise à jour sur les dons, la suite et mon aventure depuis le début c’est ici : Le week end dernier on sonne à la porte. « bonjour, voilà c’est pour vous!

« oups :/ La sacem m’envoie donc les huissiers pour réclamer son dû suite à son écrasante victoire (à 2 reprises) devant les tribunaux. En plus on peut remarquer qu’il y a déjà plus de 500 euros d’intérêts, sans compter le présent acte (je l’admets parfaitement photocopié) d’une valeur de plus de 200 euros! Mais bon c’est vrai que quand on est à -19000, on n’est plus à 1000 euros près. Mais pourquoi moi, qu’ai-je fait pour mériter ça? Heureusement le coûteux acte est livré avec une copie du jugement, et me permet de relire les raisons de ma condamnation et de me rappeller que (selon le juge) j’étais une sorte de » parrain des wareziens ». 2 jours plus tard… Je reçois une lettre m’expliquant qu’on veut s’en prendre…à mes meubles! Merci à Numérama et PCinpact d’avoir relayé l’info.

Un réseau satellitaire de hackers pour lutter contre la censure. Crédit D.R. L'opposition au projet de loi américain Stop Online Piracy Act (SOPA), qui selon certains, menace la liberté en ligne, prend une nouvelle tournure avec un projet de satellites indépendants des gouvernements. Des pirates auraient l'intention de se battre contre la censure sur Internet en mettant en orbite leurs propres satellites de communication et en développant un maillage de stations au sol pour les suivre et communiquer avec eux. L'information est tombée alors que le secteur des technologies marque son opposition au projet de loi SOPA (Stop Online Piracy Act). Selon BBC News, le projet « Hackerspace Global Grid » de mise en orbite d'un premier satellite a été récemment présenté au Chaos Communication Congress qui s'est tenu la semaine dernière à Berlin.

Des solutions pour pallier au manque de budget L'espace n'est pas à l'abri des gouvernements Mais le projet n'est pas sans contraintes. Déjà 28 sites miroirs après le blocage de Copwatch. VLC 2.1.1 intègre des codecs HEVC et VP9 L’éditeur VLC vient de lancer une mise à jour de son lecteur multimédia sous Windows, Linux et OS X. boostée en version 2.1.1, la mouture... RogueKiller Roguekiller, est un logiciel qui permet d’analyser le registre pour rechercher des clés infectieuses, sans les supprimer. Il s’occupe de la gestion des rogues qui...

Microsoft Security Essentials (MSE) pour Wind... C’est un logiciel gratuit qui possède toutes les solutions de sécurité utiles pour la lutte contre les malwares, les virus, les logiciels malveillants. WebGL : Firefox 27 sera doté d’un éditeur... Après Google, qui a pensé aux développeurs, avec la version 31 de Chrome, Mozilla s’apprête à intégrer un éditeur qui autorisera la programmation en direct...

Stellar Phoenix Photo Recovery 5 pour Mac C’est un logiciel, performant qui permet de récupérer différents fichiers de photos, des vidéos, des sons perdus lors d’une suppression accidentelle, occasionnée par une corruption,... Surfer sans entraves. Comprendre et contourner la censure sur Internet (infographie) Berlin veut se doter d'un wifi gratuit. Le maire de Berlin a annoncé aujourd'hui vouloir mettre en place un réseau wifi gratuit dans la capitale allemande, ressuscitant un projet qui avait échoué par le passé.

Dans son discours de politique générale pour la prochaine législature, le maire social-démocrate (SPD) de la capitale allemande, Klaus Wowereit, a affirmé devant le parlement régional: «nous allons développer le haut-débit et mettre en place un réseau wifi gratuit, car mettre en place les infrastructures d'une métropole à l'âge digital, c'est aussi garantir un accès rapide à internet.» «C'est un besoin de l'économie et c'est notre responsabilité sociale d'empêcher la fracture numérique» , a expliqué le maire, réélu en septembre à la tête de Berlin et qui a passé un accord de coalition avec la CDU, le parti d'Angela Merkel, pour gouverner la ville-Etat. (source AFP) Lire les réactions à cet article.

Pirate Sourcil, censure, suite. PirateBay va aider les artistes à se faire connaitre ! The Promo Bay. Hollywood et les principaux labels musicaux décrivent souvent The Pirate Bay comme un paradis du piratage qui ruine leurs entreprises. De l’autre côté, cependant, il y a beaucoup d’artistes qui ne souhaitent rien de plus que de figurer en bonne place sur TPB. Pour ce dernier groupe L’équipe de The Pirate Bay vient de sortir une nouvelle plate-forme où les artistes peuvent voir gratuitement leur contenu promu sur la homepage du site.

Pour beaucoup d’artistes indépendants, la non-visibilité est un problème bien plus grave que le piratage, mais c’est un problème que The Pirate Bay espère résoudre. Aujourd’hui, le plus grand site de torrent sur Internet a déployé une plate-forme de promotion de nouveaux cinéastes, musiciens, écrivains … Pour les aider à atteindre une audience de plusieurs dizaines de millions de personnes, The Pirate Bay propose aux artistes un premier spot publicitaire sur la homepage du site, en remplaçant son logo et en redirigeant vers le site des artistes. Bauwens : « Le peer-to-peer est le socialisme du XXIe siècle » | Greensiders. Le « peer-to-peer », souvent abrégé P2P, permet par exemple d’échanger des fichiers musicaux ou des films sur Internet.

Napster, eDonkey, eMule, Kazaa ou encore plus récemment Spotify... sont des systèmes P2P. Or, ce mode de fonctionnement imprègne peu à peu nos modes de pensée, au point d’incarner, pour certains, un puissant levier pour changer le monde. C’est en tout cas la thèse soutenue par Michel Bauwens, l’un des théoriciens les plus reconnus des systèmes pair-à-pair, à l’origine de la Fondation pour les alternatives peer-to-peer.

Antonin Leonard et moi-même l’avons rencontré dans une brasserie parisienne en décembre 2011 afin de mieux comprendre sa vision des choses. Une thèse qui permettrait en effet d’apporter des solutions viables pour garantir l’avenir de nos sociétés. Greensiders : Comment tombe-t-on dans la marmite du peer-to-peer ? Le concept est un peu abscons au premier abord... pouvez-vous nous le définir simplement ? Et le P2P, c’est ça : contribuer au bien commun. Rupert Murdoch, patron de News Corp, qualifie Google de "chef des pirates" du Web. Piratage vs Antipiratage.