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Onfray

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Misères (et grandeur) de la philosophie, par Michel Onfray (Le M. Après ce qu’on appelle désormais l’effondrement des grands discours – christianisme, freudisme, marxisme, structuralisme – et nonobstant sa prétendue mort, jamais la philosophie ne s’est aussi bien portée. Et, en même temps, jamais elle ne fut aussi mal... Bien, car, sans discontinuer, on attend d’elle du sens, des réponses à des questions éthiques et politiques, donc existentielles : comment penser, vivre et agir sans repères transcendants dans un monde soumis aux seules lois du marché ?

Mal, parce que, face à cette demande généralisée, l’offre permet aux médiocres, aux marchands, aux cyniques, aux opportunistes, de fourguer une série de marchandises de contrebande. Premier temps : misères de la philosophie. Dans l’Antiquité, la chose est simple : le philosophe vit en philosophe. Le christianisme officiel modifie la définition pour des siècles. Taille de l’article complet : 4 269 mots. Vous êtes abonné(e) ? Connectez-vous pour accéder en ligne aux articles du journal. Page sensibilite. Page onfray colloque. Chroniques de Michel Onfray, philosophe, écrivain. Michel Onfray - Une playlist. Alexandre Jollien.