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Multicanal & GSS

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Les meilleurs sites E-Commerce ! La clé de succès d’un site E-commerce c’est d’avoir un parcours E-commerce fluide. IVentures Consulting a réalisé le classement des sites E-commerce selon le parcours d’achat qu’emprunte les utilisateurs. On notera dans les Champions la SNCF avec le nouveau site voyage-sncf ou encore La Redoute. Dans les derniers se trouvent trois site de réservations de séjours de vacances : Nouvelles Frontières, Promovacances et Pierre et Vacances. Avant l’achat : L’infographie relève que 65% des marques font du SEM. Les réseaux sociaux les plus utilisés restent Facebook, Twitter et Youtube. Malgré le boume du M-commerce moins de 40% des sites E-commerces proposent une application. Pendant l’achat : Un bon point pour le E-commerce, 63 % des marques sondées offre un dialogue de vente en moins de 4 clics. Après l’achat : Il existe des services d’annulation de commande jusqu’au dernier de jour de réservation pour 61 % des sites visités. ROI et consommateur multicanal : mesure de l'expérience client | Conseils et pratiques | Selligent.

La semaine dernière, j'ai écrit un article faisant référence au « Multichannel Customer Experience Report » d'Econsultancy. Dans ce billet je parlais des défis et de l'importance d'une expérience client cross-canal cohérente à une époque où les consommateurs utilisent différents canaux pour communiquer, collecter de l'information, etc. Dans notre jargon marketing, nous utilisons le terme de client multicanal ou omnicanal. Et l'acquisition d'une « vision unique » de ce client est stratégique. Dans ce billet, j'aimerais parler d'un autre thème important qui est abordé dans le rapport : comment mesurer l'expérience client ? La question de la mesure de l'expérience client est essentielle car la cohérence de cette expérience est la base réelle et même la force centrifuge qui entraîne, entre autres, la conversion, la fidélité, la gestion de leads, la réputation de la marque et la confiance.

Elle est au cœur du marketing cross-canal. Il est important d'utiliser tous ces moyens. Internet sur le marché des Biens d’Equipement de la Maison : GfK prévoit une part de marché valeur record de 17,1 % au dernier trimestre 2012. Communiqué de presse Paris, le 15 Novembre 2012 Marché du E-commerce 2012 pour les biens d’équipement de la Maison et Culturels GfK, institut d’études marketing, présente pour la Fevad (Fédération du e-commerce et de la vente à distance) un bilan du E-commerce en France à fin septembre 2012 sur les Biens d’Equipement de la Maison et Culturels.

Selon l’institut d’études, le E-commerce poursuit ses gains de compétitivité sur les magasins physiques vendeurs de biens d’Equipement de la Maison et de Biens culturels , dans un contexte de consommation plus tendu. Internet sur le marché des Biens d’Equipement de la Maison: GfK prévoit une part de marché valeur record de 17,1 % au dernier trimestre 2012 A fin septembre 2012, les ventes de Biens d’Equipement de la Maison sur Internet (gros et petit électroménager, télécom, électronique grand public, photo, micro-informatique) ont dépassé les 2,3 milliards d’Euros avec une croissance toujours largement positive de +7%.

Toujours plus de numérique… Les consommateurs pour une expérience d’achat plus originale en magasin. Les Français poussent les distributeurs à différencier davantage leurs offres physiques et en ligne. Alors que les distributeurs « traditionnels » cherchent le moyen de résister aux prix parfois plus compétitifs et à l’importance de l’offre des e-commerçants, les consommateurs les encouragent à recourir à une stratégie cross-canal assumée et à mieux tenir compte des spécificités de chaque réseau. 80 % des Français interrogés par l’Ifop pour le compte de l’Atelier BNP Paribas* se déclarent favorables à ce que leurs enseignes préférées adoptent des stratégies différentes entre leurs magasins et leur site de vente en ligne.

Qu’il s’agisse de promotions ou de mode de livraisons spécifiques à chaque canal, ce chiffre illustre la capacité des consommateurs à intégrer les différentes activités d’une même enseigne, et donc la possibilité d’y retrouver des offres n’étant pas forcément synchronisées entre elles. Une demande affirmée de conseil en magasin Téléchargez l’étude. En difficulté, Pixmania ferme ses magasins en France. Les dix magasins français du groupe d'e-commerce ont mis la clé sous la porte samedi et un plan social est engagé concernant les 150 salariés. Lyon République, magasin fermé. Rennes, magasin fermé. Lille, magasin fermé… Le bandeau défile sans relâche sur le site Internet de Pixmania. Les dix magasins français du groupe d'e-commerce ont mis la clé sous la porte samedi. Un plan social a été engagé pour les 150 employés concernés. «Les marchés difficiles dans lesquels nous évoluons nous ont obligés à revoir nos ambitions, et nous avons décidé de fermer nos magasins afin d'investir davantage sur notre site», indique Phil Brabeck, le patron de Pixmania.

Après Virgin, Game, Surcouf, la série noire se poursuit pour la distribution spécialisée. » En l'absence de repreneur, Surcouf mis en liquidation » Dixons devient l'unique actionnaire de Pixmania »Le nouveau pari des fondateurs de Pixmania. Le commerce spécialisé peine à affronter le showrooming. Jonglant allègrement entre les canaux, les consommateurs obligent les distributeurs spécialisés à faire évoluer leur modèle. Sous l’effet de conditions météorologiques défavorables, le commerce spécialisé a enregistré un repli de ses ventes de 5 % en février 2013, par rapport au même mois de l’année précédente. La fédération pour l’urbanisme et le développement du commerce spécialisé Procos met également en avant « l’atonie de la consommation » pour expliquer cette chute, ainsi que le poids croissant d’Internet.

Malgré deux semaines de soldes sur ce mois, la distribution physique a donc souffert. Elle doit également faire face à l’essor du « showrooming », qui consiste à repérer un article donné en magasin, avec les avantages du commerce traditionnel (la possibilité de voir réellement le produit, de l’essayer, d’être conseillé…) puis à l’acheter en ligne.

Des consommateurs déjà informés. Électroménager 2012, les chiffres et analyses du Gifam | Bien choisir mon electromenager.com. Avec un chiffre d’affaires de 7,6 milliards d’euros, le marché de l’électroménager a traversé l’année 2012 en résistant à la crise. Sa progression est de 0,4 % via notamment le dynamisme du petit électroménager et de l’encastrable. À chaque début d’année, le Gifam* organise une conférence de presse durant laquelle sont présentés les chiffres et résultats détaillés du marché de l’électroménager en France de l’année précédente. Voici les principaux éléments de cette enquête sur l’électroménager en 2012. L’électroménager a progressé de 0,4 % en 2012 En 2012, il s’est vendu en France 14,5 millions de gros appareils électroménagers (froid, cuisson et lavage, réunis sous l’acronyme Gem) : soit près de 40 000 pièces vendues par jour en moyenne, et 42,4 millions de petits appareils électroménagers (cafetière, aspirateur, brosse à dents électrique…, réunis sous l’acronyme Pem) : soit plus de 116 000 pièces vendues par jour en moyenne, Le verre à moitié vide… … ou le verre à moitié plein À noter :

Ilot de stabilité en 2012, le marché de l'électroménager démarre mal 2013. L'électroménager résiste encore et toujours... - Gros éléctroménager. "Pas si mal", c'est ainsi que Gérard Salommez, président du Gifam et du groupe Seb France qualifie le cru 2012 du secteur de l'électroménager. "Dans un environnement difficile et une consommation atone, l'activité de notre secteur s'affiche en stabilité en 2012 et montre une bonne résistance depuis 2009.

Le marché reste porté par l'innovation, en gros comme en petit électroménager. " Le blanc dopé par l'encastrable Avec une hausse de ses ventes en volume de 0,6% (à 14,5 millions d'appareils écoulés en 2012), le gros électroménager profite de la hausse des ventes d'appareils encastrables (+2,7% en volume), un véritable vivier de croissance pour le secteur : "par rapport aux autres pays européens, la France est encore très en retard en matière d'équipement de produits encastrables : pour 2013, on estime que l'encastrable représentera 33% des ventes de blanc dans l'Hexagone et 50% en 2018", souligne Jean-Jacques Blanc, vice-président du Gifam et président de Whirlpool France.

Baromètre trimestriel de l’audience du e-commerce en France. E-commerce : comment les maisons de luxe réussissent-elles leur virage digital ? La question des rapports entre le luxe et le digital se pose depuis les origines de leur union et cette liaison est apparue comme dangereuse aux yeux de beaucoup. Pourtant, les grandes maisons se sont bien développées sur la sphère internet. Il est vrai que les maisons de luxe ont abordé le terrain du e-commerce avec une prudence certaine. Hésitantes au départ, elles ont souvent reproduit les pratiques des marques non premium sans faire preuve de réelle inventivité.

Dès lors, l'usage qu'elles en ont fait n'a pas été à la hauteur des standards d'excellence qu'elles avait elles mêmes édicté, poussant la sagesse jusqu'à rester assez loin des best practices des ténors du secteur e-business... La conception de la boutique digitale conçue comme une expérience «luxe» peine aujourd'hui encore à éclore. Où se situe donc le problème ? La difficulté réside d'une part dans l'extrême ritualisation de l'acte de vente dans le luxe. . - La révolution social-média. Social commerce : est-ce l’avenir du e-commerce ? | Culture cross media | Culturecrossmedia est votre blog dédié au cross média : articles, vidéos, chiffres clés au sujet des campagne de communication cross media mais également toutes les nouvelles tendan.

Les statistiques ont parlé, le chiffre d’affaires généré par le social commerce devrait atteindre plus de 30 milliards de dollars d’ici 2015, de quoi s’intéresser de près à cette nouvelle façon de consommer. Pour mieux comprendre l’intérêt de ce levier, Culture Cross Media a décidé de décrypter pour vous les nombreuses facettes qui composent ce nouveau territoire de vente. Aujourd’hui, la communauté influence la consommation online Le commerce en ligne se veut maintenant social, les annonceurs vont devoir s’adapter. Le social commerce va devenir pour eux un levier indispensable d’influence sur l’acte d’achat des consommateurs. Plusieurs aspects définissent le social commerce : Vendre directement ses produits par l’intermédiaire des réseaux sociaux (F-Boutiques, Tweet shop, …)S’adapter aux avis des internautes et faire vivre une expérience différente aux consommateurs.

Le commerce social : un territoire à fort potentiel ! Passez du simple Like au Want ! Pixmania veut ouvrir une centaine de magasins. L'e-commerçant, spécialisé dans les produits techniques, veut réaliser la moitié de ses ventes dans ses boutiques d'ici à 5 ans. Fnac, Darty et Conforama ont leurs sites Internet depuis quelques années, rien d'étonnant à ce que Pixmania, Grosbill et autres Cdiscount ouvrent à leur tour des magasins. C'est en tout cas l'opinion de Jean-Émile Rosenblum, vice-président de Pixmania, qui estime être le seul à avoir «industrialisé» ce processus. «En moyenne 80 % des produits commercialisés sur Pixmania.com sont encore achetés en magasin.

Pourquoi n'adresser qu'un cinquième du marché, qui plus est la part la plus disputée?» , argumente-t-il. Depuis bientôt un an, l'e-commerçant inaugure environ un point de vente par mois: après Marseille, Ivry-sur-Seine et Boulogne, le réseau a été récemment étendu à Lille, Lyon et Rosny-sous-Bois. Nice suivra fin juin et une boutique à Paris devrait également être ornée du logo Pixmania.com avant la fin de l'année. En centre-ville. La Fnac : un modèle bientôt épuisé. E-commerce et croissance en berne pénalisent Darty. Les ventes du groupe ont chuté de 10 % dans l'Hexagone sur les quatre premiers mois de l'année.

La dégradation du pouvoir d'achat des Français est désormais visible dans les chiffres de ventes des distributeurs spécialisés dans l'électroménager. Darty, numéro un du secteur en France, vient ainsi d'annoncer une chute de 10 % de ses ventes à surface égale sur les quatre premiers mois de l'année. Le groupe qui avait jusqu'à présent mieux résisté que ses concurrents est à son tour rattrapé par la diminution des dépenses des ménages français, dans un contexte d'austérité, de hausse du chômage et de faible croissance des salaires. Le groupe a surtout souffert d'une chute de 30 % des ventes de téléviseurs qui s'explique par une comparaison avec un premier trimestre 2011 encore marqué par des ventes records liées au passage à la TNT. Format de magasins hérité des années 1960 Darty est parvenu à maintenir sa part de marché autour de 13 % en France, mais celle-ci ne progresse plus. Les distributeurs rattrapent leur retard de l'e-commerce.

Les chaînes de magasins proposent de plus en plus le retrait des commandes en ligne. Ce service gratuit permet d'économiser les frais de livraison et de simuler les achats d'impulsion. Distributeurs classiques versus e-commerçants, deuxième round. Ces dernières années, les premiers n'ont cessé de perdre des clients au profit des seconds. Plus besoin de faire la queue sur grosbill.com ou sarenza.com, qui proposent des prix bien plus bas grâce à des coûts fixes moins importants que la Fnac ou Minelli. Vous utilisez un bloqueur de publicité Pour poursuivre la lecture de nos articles, nous vous proposons deux solutions : Tout Le Figaro en illimité Le journal en numérique dès 22h Le site Premium, sans publicité L’information sur tous les écrans 1 MOIS D’ESSAI GRATUIT Mais Darty, Leroy Merlin, Decathlon et d'autres n'ont pas dit leur dernier mot. Réserver sa robe en ligne Les prix au cœur de la stratégie du multicanal Ce dogme risque toutefois d'être battu en brèche.

Darty prend des parts de marché grâce à internet. L'enseigne a pu endiguer la chute de ses ventes, grâce au fort développement de darty.com, qui représente déjà 12 % de son chiffre d'affaires. Darty semble avoir trouvé la parade. En France, l'enseigne a «de nouveau enregistré une performance commerciale supérieure au marché», explique sa maison-mère britannique Kesa.

Autrement dit Darty a pris des parts de marché à ses concurrents. Et ce grâce au fort développement des ventes sur darty.com, qui progressent de 18 %. «Cette croissance est rentable», souligne Thierry Falque-Pierrotin, directeur général de Kesa. «Le début de l'année a été difficile», reconnaît Thierry Falque-Pierrotin. Le distributeur espère continuer à tirer son épingle du jeu en perfectionnant son modèle. « Nous sommes des spécialistes et améliorerons encore la vente assistée en magasin et les autres services. Darty fait le ménage pour restaurer la confiance. Alors que le groupe a lancé une alerte sur ses résultats, les têtes valsent chez Darty. Moins d'un an après son arrivée au poste de directeur général pour la France, Bruno Crémel s'en ira fin mai. Son départ fait suite à celui de Thierry Falque-Pierrotin, le directeur général du distributeur d' électrodomestique, parti fin décembre, et qui sera remplacé en mai par Régis Schultz, jusqu'alors patron de But.

Une refonte totale de l'exécutif après la nomination début août 2012 d'Alan Parker comme nouveau président du groupe coté à Londres. Les mauvais résultats de l'enseigne avaient provoqué la colère d'Erik Knight, l'investisseur activiste américain, premier actionnaire avec son fonds Knight Vinke. Ils ne sont pas meilleurs aujourd'hui: lors du premier semestre 2012-2013, le groupe a affiché ses premières pertes opérationnelles. Et dans l'Hexagone, qui représente plus des deux tiers des ventes, le chiffre d'affaires recule de 3,9 %. Recentrage géographique Entrée de gamme développée. [Infographie] L'influence du Digital sur le Parcours Client. Click and collect : l'approche Web-to-store des Galeries Lafayette. Le « click and collect » : un enjeu pour les annonceurs en 2013 | Culture cross media | Culturecrossmedia est votre blog dédié au cross média : articles, vidéos, chiffres clés au sujet des campagne de communication cross media mais également toutes les no.

Pourquoi 2013 sera l'année du Web-to-store - Transformation Digitale. Les dispositifs web2store à chaque étape du parcours client. Selon une étude mondiale conduite par Capgemini Consulting et le "MIT Center for Digital Business", seul un tiers des entreprises réussissent leur "transformation numérique" Etude Capgemini Consulting / MIT Center for Digital Business Un tiers des entreprises réussissent leur transformation numérique.

Muscler sa stratégie digitale est payant.