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L'entreprise

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Les jeunes Français sont plus heureux au travail en 2013, même s'ils sont sous pression. Une récente étude menée par l'institut Regus, réalisée dans 90 pays et sur 26.000 personnes révèle que 58% des baby boomers français apprécient leur travail (en baisse par rapport à l'an dernier), alors que 70% des jeunes actifs sondés (génération Y) se disent satisfaits (en hausse par rapport à 2012). Cela alors même que près des deux tiers des participants français à l'enquête estiment travailler plus qu'en 2012. Autant dire que le fait de travailler plus ne les empêche pas d'être plus heureux au travail. Ces chiffres peuvent paraître étonnants au vu de la situation économique et sociale en France qui ne fait que s'aggraver trimestre après trimestre ; avec un taux de chômage très élevé chez les jeunes actifs, atteignant aujourd'hui 26.5% des actifs de moins de 25 ans.

La dégradation du rapport vie privée / vie professionnelle Les BRICS champions du bonheur au travail. Xavier Niel répond à ses détracteurs. En pleine forme ! Quand on lui demande s'il a encore envie d'en découdre, Xavier Niel répond du tac au tac : "Plus que jamais ! " au cours d'une interview exclusive que Le Point publie le 6 septembre dans son édition papier. Le créateur de Free, qui a lancé son offre mobile le 10 janvier, estime qu'il peut aller bien plus loin. "Chaque foyer français a déjà économisé 7 euros de pouvoir d'achat par mois, ce qui équivaut à 84 euros par an. Défendre de l'immatériel nuit à l'innovation Au cours de cet échange, Xavier Niel donne le nombre d'emplois créés à ce jour par Free Mobile. "Vos concurrents ne vous surprennent jamais ? " Autre sujet d'actualité, la fusion entre le CSA et l'Arcep, le régulateur des télécoms, de plus en plus dans l'air du temps.

Le papier a encore de l'avenir Au quotidien, Xavier Niel est-il un geek ? De manière plus légère, Xavier Niel donne son avis sur La théorie de l'information, le roman d'Aurélien Bellanger et dont le héros est fortement inspiré de Xavier Niel. Comment se prémunir des interruptions ? Cela peut être dû à un visiteur inattendu, un appel téléphonique, un email ou à quelque chose qui pose problème… En ajoutant qu’il faut quelques minutes pour retrouver sa concentration et se replonger dans son travail, on commence à percevoir la situation réelle : sur une période de 13 minutes, l’employé passe 5 minutes sur une activité inattendue et souvent non rentable, ce qui représente 40% de son temps.

On comprend mieux pourquoi certaines personnes avancent si vite, pendant que d’autres subissent ces aléas. Simplement en gérant son temps et en limitant les interruptions, on peut économiser jusqu’à 40% de notre productivité. C’est énorme ! Sur une base de 40 heures par semaine, cela donne 752 heures par an, ou encore 94 jours de travail ! Bon, vous n’êtes pas forcément cadre, ou sujet à autant d’interruptions. Mais dites-vous qu’en appliquant juste quelques principes de gestion du temps, vous pouvez presque jusqu’à doubler votre efficacité. 3 moyens de limiter les interruptions 1. 2. 3. Casse-pieds et mieux payés. Les chieurs et les insupportables sont mieux payés que les autres. Vous avez cru le constater au boulot ; aujourd’hui, la recherche en apporte les preuves. Pour démontrer cette conjecture, trois universitaires américains ont mené quatre études aux méthodologies différentes, sur des échantillons de plusieurs centaines de personnes.

Le compte rendu de leurs travaux occupe presque 70 pages dans un numéro à paraître du Journal of Personality and Social Psychology (1). Si la prose est absconse, les conclusions sont claires. Un : être agréable, aimable, courtois, prévenant, altruiste est, pour un homme, désavantageux en terme de rémunération. Deux : pour une femme, cela n’a pratiquement aucun effet (lire ci-contre). Trois : un homme, qu’il soit agréable ou désagréable, a de bonnes chances d’être mieux payé qu’une femme, qu’elle soit agréable ou qu’elle ne le soit pas. Arbitrage. Tests.

Cette pénalisation des types sympas étant scientifiquement constatée, que fait-on maintenant ? « Pour une contre-culture du management » XEnvoyer cet article par e-mail « Pour une contre-culture du management » Nouveau ! Pas le temps de lire cet article ? Classez le dans vos favoris en cliquant sur l’étoile. Vous pourrez le lire ultérieurement (ordinateur, tablette, mobile) en cliquant sur « votre compte » Fermer Management Pour le sociologue Christian Morel, éviter les décisions absurdes qui menacent les grandes organisations est possible.

Docteur en sciences politiques, ce sociologue traque les erreurs de décision aux conséquences dévastatrices et se penche avec une passion d’entomologiste sur les grandes catastrophes ou accidents. Dont il renouvelle quelques credos qui font la part si belle à l’autorité hiérarchique. Bref, le dessein est gigantesque : il s’agit ni plus ni moins d’élever singulièrement le niveau de fiabilité d’une société menacée de tant de risques. “Le plan d’envol d’un porte-avions est un lieu d’une très grande complexité technologique qui, du fait de la situation, présente énormément de risques. Des coachs pendant les journées de recrutement à la Société générale. C’est la deuxième fois que la Société générale met en place une opération « Push my career ».

Il s’agit de journées de recrutements destinés à pourvoir des postes de conseillers d’accueil en agence ou de télé-conseillers en centre de relation clients. Ces postes sont destinés à des jeunes de bac à bac + 2, titulaires d’un BTS ou d’un DUT. Le matin, les candidats effectuent des tests écrits. Les meilleurs d’entre eux passeront l’après-midi un entretien avec un responsable RH et un autre avec des opérationnels de la banque. Le soir même, les meilleurs candidats signeront une promesse de poste récapitulant les fonctions qu’ils effectueront et le lieu d’affectation.

Cette année, des coachs indépendants sont là pour donner des conseils aux candidats au cours de cette journée. La journée de recrutement réunissait sept coachs. La Société générale prévoit le recrutement de 2.500 CDI en 2012, du fait de nombreux départs à la retraite. 50 % de ces recrutements seront des jeunes diplômés. Le stress au travail dans les TPE et PME. Absentéisme : le coût caché du mal-être au travail - Conditions de travail - Ressources humaines.

Etude Kelformation / IFOP Bien-être au travail : des salariés plutôt heureux mais des entreprises peu investies. Kelformation, 1er moteur de recherche de formation sur Internet, révèle les résultats de son étude concernant la perception des salariés sur le bien-être au travail. Cette enquête, réalisée par l’IFOP, dresse 3 principaux enseignements : - Le bien-être au travail est prédominant mais varie très largement selon l’âge, le niveau d’étude, le secteur d’activité et le statut du salarié ; - Les personnes en situation de mal-être en entreprise se tournent peu vers leurs interlocuteurs professionnels en mesure de les aider ; - Le sentiment de bien-être résulte de la combinaison de plusieurs facteurs, dont notamment la reconnaissance de la part des supérieurs, le salaire et la charge de travail. Nadèje Fonrojet, Directrice de Kelformation, indique : « Si le sentiment de bien-être au travail et de prise en compte de cette dimension par l’entreprise reste majoritaire, on constate des jugements peu affirmés et très hétérogènes.

Les salariés se sentent-ils bien dans leur entreprise ? Méthodologie. Manage or Lead? Do Both.

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