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Michorhyzes

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Mieux comprendre les mycorhizes en bonsaï - Par Pascal37. Après réflexion sur la présence de mycélium dans les pots, je me demandais ; sachant que presque la moitié des "champignons" que l’on ramasse dans les bois, sont dits mycorhiziens (ectomycorhizes), et qu’une autre partie concerne les "saprophytes" ou plutôt "saprotrophes"(donc non-mycorhiziens)...et que tout les deux développent du mycélium...je me demandais, donc, si nous n’étions pas en présence de ces derniers dans nos pots, plus que du premier...en absence de carpophores visibles pour identification. ..le vent ramenant des spores dans nos pots...et nos engrais et matières organiques contenus dans le substrat constituant un terrain favorable aux saprotrophes (ceux la même qui participent à la "destruction" de la matière organique et sans association avec les racines de nos arbres) Ce n’est pas parce que l’on a du mycélium dans nos pots, que l’on a des mycorhizes (symbiose avec l’arbre) !

Mieux comprendre les mycorhizes en bonsaï - Par Pascal37

Mycélium indeterminé - Photo Kronos Champignons non mycorhiziens : Alberto Bago - Micorrizas. Una raíz extendida.

Généralitées

Présentation "MYCOR ® UNE MEILLEURE NUTRITION POUR UNE MEILLEURE PROTECTION La protection biologique intégrée avec : Présente IF TECH IF TECH – 8 rue Le Nôtre – 49066." Produits. Le plus célèbre champignon symbiotique livre ses secrets. L’association symbiotique entre les racines des plantes et des champignons est une règle quasi-générale ; elle est indispensable à l’établissement et à la pérennité des écosystèmes naturels, de même qu’à leur productivité.

Le plus célèbre champignon symbiotique livre ses secrets

A quoi sert une symbiose ? A l'extérieur de la racine, les filaments mycéliens du champignon symbiotique explorent le sol et y exploitent les ressources minérales solubles pour le compte de la plante. En échange de ces éléments, la plante alimente son partenaire symbiotique en sucres simples, tels que le glucose, afin de pourvoir à ses besoins énergétiques. Dans la racine, les filaments mycéliens pénètrent dans les cellules de l’hôte pour y former une structure membranaire extrêmement digitée, l’arbuscule. Ce dernier est un site d’échanges intenses entre les deux partenaires : sucre contre phosphore.