background preloader

Enjeux éco

Facebook Twitter

Impression à la demande : pourquoi le numérique sera l’avenir du livre papier. Le numérique provoquera-t-il la disparition du livre imprimé ? Les leaders du commerce en ligne causeront-ils la fermeture de tous les libraires de quartier ? Le monde de l’édition et celui de la distribution ont longtemps tenté d’apporter des réponses rassurantes et optimistes à ces deux questions... Contre toute attente, les nouvelles technologies sont en passe de bouleverser cette évolution qui paraissait déjà naturelle. En effet, l’impression à la demande semble en mesure de réconcilier le monde du digital avec celui du papier. Une imprimante d’un nouveau genre nommée « Espresso Book machine » annonce clairement la couleur et promet de pouvoir imprimer un livre aussi rapidement et simplement que de préparer votre café ristretto.

Le procédé est assez simple. Avec l’impression à la demande, un livre produit est un livre vendu De nombreuses applications peuvent d’ores-et-déjà être imaginées. Inventer un nouveau mode financement pour le modèle « je produis ce que je vends » Marché de l'édition numérique — Enseigner avec le numérique.

Le KENJI, collectif des éditeurs numériques jeunesse indépendants Collectif, constitué aujourd’hui de 5 membres créateurs à savoir E-Toiles éditions, Goodbye Paper, l’Apprimerie, La Souris Qui Raconte et Webdokid, il a «pour vocation de rassembler des acteurs du secteur de l’édition numérique jeunesse afin de mieux appréhender un marché complexe.» Actualitté, le 25/11/2013 Livre numériques : offensive des auteurs allemands et français «Une "stratégie de développement de la culture européenne du livre" pour faire face à la concurrence du marché numérique, c'est la demande faite par les auteurs français et allemands à leurs gouvernements respectifs.»

L'Express, le 23/10/2013 Une "stratégie de développement de la culture européenne du livre" pour faire face à la concurrence du marché numérique, c'est la demande faite par les auteurs français et allemands à leurs gouvernements respectifs. Rapport 2013 sur le marché mondial du livre numérique ENSSIB, le 08/10/2013 LeMonde.fr, le 09/10/2013.

E-Book : Etat des lieux du marché. L’IDATE vient de publier l’étude « E-Book ». L'étude propose un état des lieux exhaustif (e-reader, mobile, tablette, PC) du marché de l'E-Book, avec notamment les chiffres clés 2008-2014. Elle cartographie la nouvelle chaîne de valeur numérique, identifie les stratégies d'acteurs au travers d'une vingtaine d'études de cas, détaille les modèles économiques et analyse les enjeux technologiques clés (formats, métadonnées, DRM, écrans). «Tous les genres littéraires ont désormais entamé leur migration vers le numérique. Les contenus professionnels, scientifiques et techniques ont ouvert la voie, suivis par la littérature générale et plus tardivement par les genres contenant une iconographie importante notamment autour des nouveaux terminaux (bande dessinée, littérature jeunesse, livres d'art, manuels de cuisine, etc.) », commente Marc Leiba, consultant sénior à l’IDATE. « Néanmoins, l'adoption des œuvres au format numérique ne se produit pas à la même vitesse selon les genres.

Les nouveaux enjeux du secteur de l’édition face au numérique. Evolution ou révolution ? | Jouve. Avis d’expert : Benoît Drigny – Directeur des Services Éditoriaux – Groupe Jouve La révolution numérique touche aujourd’hui tous les secteurs de l’économie et transforme en profondeur le secteur traditionnel de l’édition. Entre papier et numérique, les éditeurs doivent faire face à de nombreux enjeux : optimisation des cycles de production, diversité des formats d’entrée et de sortie, enrichissement et développement de l’interactivité.

Tout au long de la chaîne de valeur, de nouvelles compétences sont requises et de nouveaux métiers voient progressivement le jour. Un marché qui reste en devenir Si le revenu net des éditeurs français est en léger repli depuis quelques années, on constate parallèlement une évolution importante du taux d’équipement des tablettes ou liseuses. Le Livre, une gamme de produits « vivants » ? Vers de nouveaux usages pour de nouveaux lecteurs Pour répondre à ces nouveaux modèles de consommation, l’éditeur doit donc repenser son offre. Panorama du marché du livre papier et numérique en Europe. En fin d’année, la Fédération des Éditeurs Européens (FEE) a présenté un bilan de l’année 2014, en termes de chiffre d’affaires, pour l’édition de livres. La FEE est une fédération qui représente les intérêts de 28 associations nationales, ses membres génèrent environ 80 % du chiffre d’affaires et de la production, en Europe.Le chiffre d’affaires net des ventes de livres est de 22 milliards € pour l’année 2014.

Il est en baisse si on le compare à 2013 CA de 22,3 milliards €.Selon les estimations de la fédération, la valeur totale du marché européen du livre est estimée entre 36 et 38 milliards €. 545.000 nouveaux titres ont été édités en 2014 (-2,5 % versus 2013). Autre chiffre intéressant, les éditeurs européens ont un catalogue de 16,9 millions de titres, dont 3 millions au format numérique et emploient 125.000 personnes contre 130.000 en 2013.Enfin, la FEE remarque qu’entre 2013 et 2014, les ventes d’ebooks ne cessent de croitre. Quelques chiffres sur les ebooks aux USA et l’autoédition. L’autoédition n’est pas à négliger, d’épiphénomène, ce segment prend de plus en plus de place dans le marché du livre en général et du numérique en particulier. Selon Nielsen la part de l’autoédition serait de 18 % aux USA. Ces chiffres ne prennent en compte que les livres avec des Numéros ISBN, donc, on peut supposer que cette part est plus importante encore.Selon le cabinet d’analyses le segment des livres autoédités aurait augmenté de 4 point entre Q1 2014 et Q1 2015, passant de 14% à 18%.Toujours selon Nielsen, les Big 5 (les cinq plus gros éditeurs américains) auraient vu une augmentation des ventes de 28% à 37% sur la même période.

Les plus petits éditeurs quant à eux constatent une chute de 58% à 45%.Par ailleurs, parmi les chiffres intéressants de cette étude, 60% des lecteurs déclarent préférer la version ebook quand elle coûte au moins 4$ de moins que la version papier. Découvrez notre rubrique dédiée à l’AutoéditionConsultez notre Section Etudes et statistiques. Les ventes d'ebooks en forte baisse aux États-Unis. Les livres numériques se sont moins bien vendus aux États-Unis en 2015 qu’en 2014, si l’on se réfère au dernier rapport publié par l’Association of American Publishers (AAP).

Les ventes ont ainsi baissé de 11 % sur l’année, selon l’association. Une baisse que l’AAP explique par le manque de gros best-sellers, comme Harry Potter ou Hunger Games. La hausse du prix des livres numériques serait également en cause. Le secteur du livre numérique pour enfants est le plus touché avec une diminution des ventes de 44,5 %. Les ventes ebooks pour adultes baissent, quant à elles, de 4,5 % Cependant, l’association, qui regroupe les éditeurs historiques, ne prend pas en compte les ventes liées à l’auto-édition, un marché difficilement calculable - aucune donnée fiable n’étant disponible.

Selon la société Vearsa, les chiffres de l’AAP ne seraient ainsi pas représentatifs du marché dans son ensemble. Les ventes papier progressent. Chiffres clés 2014-2015. Le revenu net global des éditeurs baisse de 1,3% à 2 652 millions d’euros Pour la quatrième année consécutive, le revenu net des éditeurs baisse en 2014 et passe de 2 687 millions d’euros en 2013 à 2 652 millions d’euros, soit une baisse de 1,3%. La baisse, moins marquée qu’en 2013, est atténuée par les cessions de droits qui progressent de 5,5%. Cette forte hausse des cessions de droits démontre l’importance de ces revenus complémentaires pour les éditeurs dans un marché où la vente de livres est en baisse.

Les droits d’auteurs portés en charge progressent de 2,7% à 438 millions et pèsent de plus en plus lourd dans le compte de résultat des maisons : 10,3% du CAPPHT et 16,5% du CA net. La vente de livres, qui représente 94,9% des revenus nets des éditeurs, a diminué de 1,7% à 2 517 millions d’euros et le nombre d’exemplaires vendus a baissé de 1,2% à 422 millions d’unités. Le constat est là. Cette année a été marquée par des succès ne relevant pas des segments de littérature. « A terme, 15 % des ventes de littérature seront numériques »

Pour défendre le droit d'auteur, il n'a pas hésité à s'opposer aux géants américains, comme Amazon et Google, ainsi qu'à la Commission européenne. « Le Parisien Economie » l'a rencontré. Quelle est l'histoire d'Hachette Livre qui vient de quitter Paris pour Vanves (Hauts-de Seine) ? Créé en 1826 par Louis Hachette, un enseignant contrarié, Hachette Livre est l'un des plus anciens groupes d 'édition au monde, qui s'est d'abord développé autour du livre et des fournitures scolaires. Précurseur, il a fait le pari de la diffusion de masse en lançant les bibliothèques de gare, ancêtres des boutiques Relay qui appartiennent toujours au groupe Lagardère. Le groupe a ensuite traversé le XX e siècle en rachetant de nombreuses maisons d'éditions -- Grasset, Fayard, Stock, Calmann Levy -- avant d'être racheté dans les années 1980 par Jean-Luc Lagardère.

En 2003, Arnaud Lagardère vous confie les clés d'Hachette Livre. Que pèse votre groupe aujourd'hui ? Chacune fonctionne donc de façon autonome ?