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Projets de bibliothèques numériques

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La numérisation des collections de la Bibliothèque royale de Belgique. À la Bibliothèque royale de Belgique, le travail de numérisation n’est pas une nouveauté puisque le processus a été enclenché il y a déjà près de 10 ans.

La numérisation des collections de la Bibliothèque royale de Belgique

La presse quotidienne Ce sont les journaux qui ont eu l’honneur d’être numérisés en premier lieu. En effet, ces matériaux, ô combien fragiles, constituaient pourtant des sources majeures pour les historiens, les journalistes et tout citoyen curieux. Considérés comme des mines d’or d’informations à sauvegarder et à diffuser, ces 70 titres parus entre 1830 et 1950 ont donc été numérisés, océrisés et enrichis de métadonnées entre 2005 et 2012. Cela signifie que l’on ne s’est pas contenté de numériser les documents sous la forme de photocopies numériques mais que l’on a créé des documents qui permettaient d’automatiser la recherche dans le texte. Projet Gutenberg. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Projet Gutenberg

Information générale[modifier | modifier le code] Le slogan du projet, « brisons les barrières de l'ignorance et de l'illettrisme », a été choisi parce que le projet espère continuer l'œuvre de répandre le lettrisme et le goût pour l'héritage littéraire, ce que commença à faire la bibliothèque publique au début du XXe siècle. La plupart des parutions du projet Gutenberg sont en anglais.

Mais il y en a maintenant un nombre significatif[1] en français[2], allemand, néerlandais, chinois, portugais, espagnol, italien, finnois, et plus de 40 autres langues. Tous les textes du projet Gutenberg peuvent être acquis et redistribués par les lecteurs sans aucuns frais. Manuel de constitution de bibliothèques numériques. Www.bnf.fr/documents/biblio_manuel_constitution_numeriques.pdf. La Bibliothèque électronique du Québec.

Innover ou anticiper. En participant à la création de l’Office international de bibliographie (OIB) en 1895, Paul Otlet désire avant tout marquer de son empreinte le fonctionnement des bibliothèques, et ériger la bibliographie au rang de science. Il ignore alors que cette démarche fortement influencée par le positivisme ambiant l’entraînera vers des horizons et des applications très variés comme les sciences de l’information et de la communication, la documentation, la pédagogie ou encore l’édition.

L’accès aux connaissances, ses différents supports, alors en pleine effervescence, réorientent sa réflexion et les missions de l’OIB. Les bibliothèques se cachent pour mourir. • Il a été demandé à chaque auteur de rassembler dans sa contribution l’ensemble des arguments à charge ou à décharge sur le sujet considéré.

Les bibliothèques se cachent pour mourir

En l’occurrence, il convient de lire ce texte en regard de : « Au loin s’en vont les bibliothèques », «À quoi sert une bibliothèque quand l’information est partout ? 1 », interroge André-Pierre Syren, président de l’ADBGV 2, dans un article du Monde. Dans un contexte où les bibliothèques déploient beaucoup d’énergie pour définir leur place dans un monde en constante évolution, la question peut paraître provocante. De fait, les bibliothécaires sont les derniers à croire au futur de leurs institutions. La bibliothèque va-t-elle progressivement disparaître ? Tant qu’il y aura des collections, il y aura des bibliothèques. Au loin s’en vont les bibliothèques. • Il a été demandé à chaque auteur de rassembler dans sa contribution l’ensemble des arguments à charge ou à décharge sur le sujet considéré.

Au loin s’en vont les bibliothèques

En l’occurrence, il convient de lire ce texte en regard de : « Les bibliothèques se cachent pour mourir », La question de la fin des bibliothèques est à la fois relativement ancienne 1 et récurrente dans le monde professionnel, toute nouvelle avancée technologique charriant son lot d’appréhensions 2. Mais aujourd’hui, c’est avec encore plus d’acuité qu’elle se pose : à l’heure d’internet, peut-on envisager sérieusement de vivre sans bibliothèque ? Bibliothèque minimale ou bibliothèque augmentée? Concevons-nous des bibliothèques qui répondent aux besoins actuels et futurs ?

Bibliothèque minimale ou bibliothèque augmentée?

Le travail mené par l’agence ABCD 1 (en programmation ou en évaluation) nous oblige tous les jours à nous intéresser à la définition de la bibliothèque, à la stabilité du modèle mais aussi aux forces de déséquilibre qui mettent à mal les modèles que nous sentions il y a encore quelques années comme très solidement pérennes. Or, nous observons avec les professionnels qui gèrent et animent ces lieux – et ce n’est pas la première fois que nous mentionnons ce constat dans les colonnes de cette revue 2 – que de nombreux détournements d’usage que l’on voit apparaître dans les équipements du livre sont comme les signes répétés qu’un écart se creuse entre la conception initiale qui en est donnée et la pratique qui en est faite.

Ce qui revient à se poser la question : concevons-nous véritablement les bibliothèques qui répondent aux besoins actuels et futurs ? Pourquoi ? Mais ces méthodes nous laissent insatisfait. Bibliothèque numérique. Belgica - Bibliothèque numérique de la Bibliothèque royale de Belgique : accueil.

Du nouveau sur Belgica Plusieurs documents des Imprimés anciens et précieux sont sur Belgica depuis peu, intégralement numérisés.

Belgica - Bibliothèque numérique de la Bibliothèque royale de Belgique : accueil

Tout d’abord, deux rarissimes livres du XVIe siècle imprimés à Anvers en 1579 et 1590 : une traduction française de Tiel Uilenspiegel, de 1579, et une histoire de saint Georges en néerlandais, de 1590. Ce sont les seuls exemplaires connus de ces deux éditions anversoises. En outre, sept livres de botanique ont été numérisés intégralement : un herbier du XVe siècle imprimé à Louvain en 1486, celui de Leonhard Fuchs, qui un des plus beaux traités de botanique du XVIe siècle, les herbiers d’Otto Brunfels, et les travaux novateurs de Rembert Dodoens et Carolus Clusius, deux naturalistes des anciens Pays-Bas.

Plusieurs millions de documents à portée de main. Session 6 : La documentation électronique , impacts et conséquences économiques. Session 6, samedi 22 mai 2010 : la documentation électronique : impacts et conséquences économiques Modéraeur : Julien Roche, SCD Lille 1 Prise de note : Joëlle Muller Jean-François Cavanagh : Reed Elsevier J’ai raté cet intervenant François Gèze : éd La Découverte Présente rapidement son offre électronique Présente les évolutions de l’offre électronique : Elargir l’offre (actuellement chercheur) à d’autres publics.

Session 6 : La documentation électronique , impacts et conséquences économiques

Demande BNF pour Gallica. Les bibliothèques, un marché en mutation : le point de vue des prestataires informatiques. Atelier 8 – La dématérialisation des documents sonores : quels coûts, quels services ?