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Google Capital M6 reportage complet. [Les conditions de travail chez Google], vidéo [Les conditions de travail chez Google], vidéo Economie et société Vie économique - Archives vidéos Economie et société Vie économique. 11 qualités que Google recherche chez ses candidats. Avez-vous le profil idéal pour être engagé dans cette société qui offre des conditions de travail rêvées à ses employés ? Google reçoit entre 2,5 et 3,5 millions de candidatures par an. L'entreprise ne recrute que 4 000 personnes environ. Laszlo Bock, vice-président chargé des RH, dirige cette procédure hyper sélective. Dans des interviews au New York Times, à The Economist et à des étudiants sur Google+, le patron du recrutement révèle comment le géant de la recherche en ligne évalue ses candidats. Nous avons passé au crible ces entretiens et avons découvert les caractéristiques les plus surprenantes.

Google ne recherche pas des experts "Nous préférons employer des gens intelligents et curieux, plutôt que des personnes très expérimentées dans un domaine ou un autre", déclare-t-il, tout en faisant remarquer que les individus qui ont de fortes capacités d'apprentissage parviennent généralement à trouver des réponses aux questions insolites. Google recherche des gens qui ont du cran. Pour motiver ses salariés, Google mise sur l'interaction et l'autonomisation. Chez la firme de Mountain View, motiver ses collaborateurs passe par deux choses : la possibilité de prendre du temps pour travailler sur un projet personnel, et la gratification des personnes qui aident leurs pairs.

Pour favoriser l'engagement de ses salariés, Google a décidé de leur laisser plus de temps libre, tout en les incitant à communiquer entre eux. Les managers de la firme de Mountain View sont partis du principe suivant: au cours de la réalisation de leur travail, ingénieurs comme développeurs acquièrent de nombreuses compétences, qu'ils peuvent souhaiter mettre en œuvre dans un cadre plus personnel.

C'est pourquoi ils ont lancé en 2006 une initiative permettant aux employés de diviser leur temps de travail en deux parties. Soit un temps de travail effectif (80%) et un considéré comme du temps libre (20%). Utiliser les interactions entre employés comme assurance d'un travail effectif Récompenser chaque acte d'entraide publiquement afin de pousser à celle-ci. Travailler chez Google, un job pas si fun. De jolies couleurs vives, des baby-foot, des hamacs et un toboggan pour se rendre à la cantine, où la nourriture est gratuite.

Les bureaux de Google sont souvent comparés à un paradis pour ses employés. Le géant du web serait même "le meilleur employeur du monde" selon Fortune (en anglais). "On est payé pour s'amuser ! " s'extasie un employé du bureau parisien dans une vidéo de promotion qui respire la joie de vivre. Pourtant, cet enthousiasme contraste avec les récits d'anciens salariés de Google sur le réseau social Quora, repris par Business Insider (en anglais). Des employés surqualifiés La publicité faite autour des conditions de travail offertes aux employés de Google, notamment le niveau de salaire, a permis au groupe d'attirer les meilleurs candidats. Une ambiance de travail pas si amicale Chez Google, où le niveau des managers est décrit comme "médiocre", les ingénieurs, eux, seraient arrogants, d'après d'anciens employés.

Des conditions de travail pas si parfaites. Travailler chez Google. Google une entreprise attentive au bien-être de ses salariés ! Certaines entreprises l’ont compris depuis longtemps : prendre soin de ses employés, c’est payant. Google une entreprise attentive au bonheur de ses salariés et à leur créativité ! Rien de mieux pour augmenter la productivité d’une entreprise, réduire l’absentéisme et les accidents de travail. Un travailleur est motivé et productif… lorsqu’il est heureux. Beaucoup de salariés font le même constat : « Nous ne sommes pas souvent félicités lorsque nous faisons du bon travail, mais nous sommes immédiatement réprimandés lorsque nous faisons des erreurs ».

Le besoin de reconnaissance est l’un des facteurs déterminants du mieux-vivre en entreprise. Le salarié obtient un sentiment de fierté, de dignité et d’appartenance… Le travail doit être stimulant, et l’environnement de travail doit favoriser cette stimulation. Un travailleur heureux, mission impossible ? Rien n’est impossible et parfois il suffit de peu pour avoir des personnes heureuses à leur travail.

Boissons en libre service chez Google. Ces entreprises qui chouchoutent leurs salariés. Microsoft, Accenture, Total et d'autres rivalisent d'originalité pour accroître le confort au travail de leurs salariés. Objectif: motiver leurs troupes et valoriser leur marque employeur. Les bureaux de Google France.Crédits photo : Jean-Christophe MARMARA/Le Figaro Dans le hall, une 2CV rouge trône sur une moquette bleue. Derrière, un espace cuisine à l'ambiance familiale.

Bien loin d'impersonnel «open space», Google France a joué la carte du bien être en dévoilant, début décembre, le nouveau cadre de travail de ses 350 salariés. Comme Google, les entreprises qui investissent pour le confort au travail de leurs salariés sont de plus en plus nombreuses. Une piscine chez Total L'espace pwCool de PricewaterhouseCoopers. Dans le cadre de son projet «Moving forward» («Allons de l'avant»), la succursale française d'Accenture a par exemple installé des cocons design pour les conciliabules de ses employés, et un «happenspace» où se déroulent spectacles, concerts ou projections. Une révolution du management : le modèle Google - Les bonnes feuilles. Les psychologues qui s'intéressent au comportement des salariés distinguent les motivations externes ou extrinsèques (on fait des efforts pour obtenir une meilleure rémunération, une récompense…) et les motivations internes ou intrinsèques (c'est la satisfaction d'avoir accompli correctement sa tâche, d'avoir réussi un exploit particulier qui amène à faire des efforts…).

Google ne néglige pas plus que d'autres les motivations externes, il n'hésite pas à verser des salaires élevés comme en témoignent les voitures de luxe qui encombrent son parking, mais il fait une large confiance à la motivation intrinsèque. Ce faisant, il suit des exemples célèbres, dont celui de Bill Gates qui disait au début de sa carrière : "Aucun grand programmeur ne peut s'asseoir à sa table et se dire : "Je vais me faire du fric" ou "Je vais en vendre des centaines de milliers". Tout simplement parce que ce genre de réflexion ne vous aide pas à résoudre les problèmes. "