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Un peu d'économie

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Pourquoi les produits dérivés menacent de griller votre carte bleue. Un produit dérivé, c’est quoi ? Ce n’est pas un titre boursier classique comme une action ou une obligation, c’est un investissement dans quelque chose d’irréel, un pari sur l’avenir ou l’évolution d’un actif. C’est un pari sur une valeur ou un rendement futur d’un titre : un jeton en plastique jeté sur la table d’un croupier ou une croix cochée sur un bulletin de Kéno. Des centaines de milliers de milliards de dollars sont ainsi joués sur les places boursières. Les banquiers qui vous vendent votre crédit immobilier ou votre carte révolving sont parfois les mêmes qui parient sur votre défaut de paiement… Monnaie - Résumé 100% monnaie. Économie monétaire et financière - Jean-Luc Bailly, Collectif, Monnaie - home. Monnaie - Résumé 100% monnaie. 100 % monnaie.

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

100 % monnaie

Irving Fisher. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Irving Fisher

Pour les articles homonymes, voir Fisher. Irving Fisher Crise financière et déflation par la dette[modifier | modifier le code] Selon lui, le mécanisme de déflation par la dette qui a fonctionné pendant les années 1930 a aggravé la dépression : après la crise financière de 1929, les agents (entreprises et ménages) qui se retrouvent fortement endettés vendent leurs actifs financiers pour tenter de rembourser leurs dettes.

Mais ces ventes massives font baisser les prix, ce qui accroît finalement la valeur réelle de la dette et nécessite donc de nouvelles ventes d'actifs : « Pour chaque dollar remboursé, les agents accroissent d'autant le montant de leur dette. »

Personnalités

Titrisation. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Titrisation

La titrisation peut également viser à ne transférer aux investisseurs que le risque financier lié aux actifs concernés, auquel cas les actifs ne sont pas vendus, mais le risque ou partie du risque transféré grâce à une titrisation synthétique. Née aux États-Unis dans les années 1960, la titrisation a connu une expansion importante également en Europe à partir de 2000, tandis que les produits et les structures devenaient de plus en plus complexes. En France, la titrisation a été introduite par la loi du 23 décembre 1988. Sous l'impulsion de Pierre Bérégovoy, l'idée était de faciliter le développement du crédit immobilier en permettant aux banques de sortir les créances de leurs bilans et d'améliorer leur ratio « Cooke ». La titrisation expliquée à ma mère. Note liminaire : j’avais ce billet en tête depuis un certain temps, mais pas trop la motivation pour l’écrire (je l’ai retrouvée grâce à Sincère Nain, Saint Martin du Kemberg le bénisse, et aux Monty Python).

La titrisation expliquée à ma mère

Il se veut un préliminaire (notamment un lexique) à une contribution à la série best-seller de Jean-Edouard (50APCCF), c’est donc volontairement que je n’aborde pas les questions qui font débat, pas davantage que celles qui fâchent, et il y en a. I Quoi donc que c’est ? Le précédent article de ce blog et le commentaire d’anonymecon vous ont certainement convaincus, si vos propres déboires ne l’avaient pas déjà fait, que le financement par dette, qui reste une valeur sûre et probablement à jamais indétrônable, n’a pas que des aspects positifs.

Un exemple, malheureusement à ma connaissance non réalisable dans la vraie vie des vrais particuliers, illustre bien ses spécificités. . - Aller voir votre banquier préféré pour le convaincre de vous prêter les fonds nécessaires. Comprendre la titrisation. La titrisation est une opération qui permet aux banques de vendre sur un marché des actifs qu’elles détiennent, le plus souvent des créances qui sont la contre-partie des crédits qu’elles ont accordés.

Comprendre la titrisation

Pour se faire elles regroupent ces crédits qu’elles cèdent à une société créée à cette occasion. Pour payer sa dette à la banque, la société va émettre des titres (des obligations, des billets de trésorerie) qui sont achetés par des investisseurs. Ces derniers perçoivent les intérêts liés aux titres (financés par les revenus liés aux créances initiales) et le remboursement final. La banque a retrouvé ainsi rapidement sa liquidité et elle s’est débarrassée du risque pris en accordant les crédits. Sur le site Ecomultimedia, Joachim Dornbusch propose cette animation réalisée en flash. Mais si vous voulez du dense et du moins marrant vous pouvez aussi lire cette page sur le site Fimarket. Outils critiques, compilation de ressources pour se réapproprier la politique.

[Prospérité et Partage] : La réforme monétaire. Mettre la monnaie à l’abri des prêts. L’émission de monnaie est subordonnée, en temps ordinaire, à la demande de prêts des agents économiques après des banques secondaires (ou commerciales).

[Prospérité et Partage] : La réforme monétaire. Mettre la monnaie à l’abri des prêts

Cette demande peut excéder les possibilités d’échange des biens et services des agents ou lui être inférieure. Elle peut entraîner des phases d’inflation, ou de déflation, de rapide expansion ou de brusque récession. En fait, la subordination de la monnaie à la demande des agents perturbe gravement l’activité économique et distord la répartition des revenus. Elle pénalise les investissements à long terme. L’objet de la réforme monétaire présentée ici en 10 pages est de mettre la monnaie à l’abri des prêts, en dissociant le métier du prêteur du métier de l’émetteur d’une part, et d’autre part, en assurant une demande collective. Trois idées fausses sur l'inflation. L’inflation est probablement l’un des concepts économiques les moins bien compris par le grand public, ce qui engendre beaucoup de confusions lorsque l’on parle de revenu de base ou de dividende monétaire universel.

Trois idées fausses sur l'inflation

A qui profite l’inflation ? Pourquoi c’est un phénomène avant tout monétaire ? Et les banques centrales la contrôlent-elles vraiment ? Voici trois idées fausses qu’il convient de démentir afin d’aborder sereinement le sujet. « L’inflation, ça veut dire moins de pouvoir d’achat »