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Totalitarisme

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Les furies d'Hitler, ces femmes nazies aussi cruelles que les hommes. Temps de lecture: 2 min Qui aujourd’hui a entendu parler des furies d’Hitler? Presque oubliées par l'histoire, ces femmes nazies doivent être prises très au sérieux et ne pas être considérées comme des anomalies. «Ce n’était aucunement des sociopathes marginales», avertit Wendy Lower, auteure du livre Hitler’s Furies: German women in the nazi killing fields (Les furies d’Hitler: les femmes allemandes sur les champs de tuerie nazis) dans un article pour le Daily Beast. Bien que les exemples documentés de mise à mort directe ne soient pas nombreux, comme leur pendant masculin, elles croyaient en la justesse de leur cause. Tuer reflétait dans leur esprit l’expression même de la loyauté.

Dans son livre, Wendy Lower relate notamment un «épisode» survenu le 16 septembre 1942 dans la ville de Volodymyr-Volynskyï, à la frontière entre l’Ukraine et la Pologne. «Elle s’approcha de deux enfants juifs, l’un âgé de six ans et l’autre encore bambin qui vivait près du mur du ghetto. Totalitarisme. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le totalitarisme est l'un des trois grands types de systèmes politiques avec la démocratie et l'autoritarisme. C'est un régime à parti unique, n'admettant aucune opposition organisée et dans lequel l'État tend à confisquer la totalité des activités de la société.

C'est un concept forgé au XXe siècle, durant l'entre-deux-guerres, avec une apparition concomitante en Allemagne et en URSS. Le totalitarisme signifie étymologiquement « système tendant à la totalité[1]. » L'expression vient du fait qu'il ne s'agit pas seulement de contrôler l'activité des personnes, comme le ferait une dictature classique. Le régime totalitaire va au-delà en tentant de s'immiscer jusque dans la sphère intime de la pensée, en imposant à tous les citoyens l'adhésion à une idéologie obligatoire, hors de laquelle ils sont considérés comme ennemis de la communauté. Les origines du concept[modifier | modifier le code] Des définitions diverses[modifier | modifier le code] Totalitarisme. "Toupictionnaire" :Le dictionnaire de politique Définition du totalitarisme Etymologie : dérivé de totalité, du latin médiéval totalis, du latin totus. Le totalitarisme désigne un mode de gouvernement, un régime politique dans lequel un parti unique détient la totalité des pouvoirs et ne tolère aucune opposition (monopartisme), exigeant le rassemblement de tous les citoyens en un bloc unique derrière l'Etat.

Le totalitarisme est un mode de fonctionnement de l'Etat dans lequel celui-ci prétend gérer, outre la vie publique, la vie privée des individus (régime policier, encadrement de la jeunesse et des relations professionnelles...). Le totalitarisme est une des formes de despotisme apparue au XXe siècle. Historiquement, le totalitarisme est issu du fascisme. Mussolini fut le premier à parler d'"Etat totalitaire" et à le revendiquer. Exemple de régimes totalitaires : Le fascisme italien, Le national-socialisme allemand, Le régime stalinien (cf. >>> Terme connexe : Autoritarisme. Benito Mussolini. Joseph Staline. Né Iossif Vissarionovitch Djougachvili, surnommé Sosso (diminutif de Iossif ou de Iosseb) pendant son enfance, il se fait ensuite appeler Koba (d'après un héros populaire géorgien) par ses amis proches et dans ses premières années de militantisme clandestin au sein du Parti ouvrier social-démocrate de Russie (POSDR), auquel il adhère en 1898.

Il utilise ensuite le pseudonyme de Staline, formé sur le mot russe сталь (stal), qui signifie acier. Acteur marginal de la révolution d’Octobre, il étend peu à peu son influence politique pendant la guerre civile russe, tissant des liens étroits avec la police politique, la Tcheka, et devenant, en 1922, secrétaire général du Comité central du Parti communiste.

Après la mort de Lénine en 1924, il mène un jeu patient d'intrigues souterraines et d'alliances successives avec les diverses factions du Parti, et supplante un à un ses rivaux politiques, contraints à l’exil ou évincés des instances dirigeantes. Jeunesse et formation Politique extérieure Mère. Adolf Hitler. Adolf Hitler ([ˈadɔlf ˈhɪtlɐ][n 1] Écouter) est un idéologue et homme d'État allemand, né le 20 avril 1889 à Braunau am Inn en Autriche-Hongrie (aujourd'hui en Autriche et toujours ville-frontière avec l’Allemagne) et mort par suicide le 30 avril 1945 à Berlin. Fondateur et figure centrale du nazisme, il prend le pouvoir en Allemagne en 1933 et instaure une dictature totalitaire, impérialiste, antisémite, raciste et xénophobe désignée sous le nom de Troisième Reich. Dans les années 1920, dans un climat de violence politique, il occupe avec le parti nazi une place croissante dans la vie publique allemande, se présentant à la présidentielle contre Hindenburg et jusqu'à devenir chancelier le 30 janvier 1933, pendant la Grande Dépression.

Son régime met très rapidement en place les premiers camps de concentration destinés à la répression des opposants politiques (notamment socialistes, communistes et syndicalistes). Origine du nom Hitler fut baptisé Adolphus Hitler[6]. Jeunes années Août 1914. La "Solution finale" La date précise de la décision de mettre en œuvre la "Solution finale" par les Nazis n'est pas connue.

Certains historiens pensent qu'il y avait eu plusieurs décisions. Le génocide des Juifs fut le point culminant d'une décennie de politique nazie, impulsée par Adolf Hitler. Les persécutions et la ségrégation des Juifs furent mises en place en plusieurs étapes. Après l'accession au pouvoir du parti nazi, le racisme d'Etat donna lieu à une législation anti-juive, à des boycotts, à "l'aryanisation", et aux pogroms de la Kristallnacht (la "Nuit de cristal"), tous des événements dont le but était d'isoler les Juifs de la société allemande et de les inciter à partir d'Allemagne.

Après l'invasion de la Pologne par le Reich en septembre 1939 (le début de la Seconde Guerre mondiale), la politique anti-juive évolua en un plan complet d'internement et finalement d'annihilation des Juifs d'Europe. « Les Origines du totalitarisme » de Hannah Arendt.