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Travail

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Persée : Portail de revues en sciences humaines et sociales. Vers une économie de la contribution. La solution du capitalisme à bout de souffle pourrait bien être à chercher du côté des logiciels libres.

Vers une économie de la contribution

Bernard Stiegler, philosophe, appelle à passer "du consumérisme toxique à une économie de la contribution". Ce n’est plus un secret pour personne : le capitalisme est en train d’être dévoré par ses propres effets toxiques. En 2005, parmi d’autres voix peu écoutées alors, une association française, Ars Industrialis, lancée par quatre philosophes et une juriste, avait sonné le tocsin. A l’époque, leur manifeste décrivait les dangers d’un capitalisme “autodestructeur” et la soumission totale aux “impératifs de l’économie de marché et des retours sur investissements les plus rapides possibles des entreprises” et notamment celles actives dans les médias, la culture ou les télécommunications. Malaise du consumérisme. Économie de la contribution. La Nouvelle Revue du Travail, une ambition collective. 2012 Temps professionnels éclatés, TIC et urgences. "Présence connectée" au travail : les usages de la messagerie instantanée, le genre des "questions rapides" et l’économie morale de la "contribution"

Christian Licoppe, Renato Cudicio, Serge Proulx Résumé Nous analysons le développement et l'organisation séquentielle d'un genre communicationnel — les "questions rapides" — dans deux entreprises canadiennes, organisations où l'accès à un système interne de messagerie instantanée a été généralisé à tous les membres. A partir d'un corpus de messages, d'entretiens et d'observations vidéo, nous montrons que cette forme d'échange constitue un format interactionnel et séquentiel analytiquement observable et spécifiable, et un ‘genre communicationnel' à part entière, reconnu comme tel par les acteurs.

Abstract In this article, we analyze the development and sequential organization of a communicative genre — “quick questions” — in two Canadian firms in which all employees have been given access to an instant messaging platform. [revue web] Travail. TRAVAIL : Etymologie de TRAVAIL. Quel travail voulons-nous ? « Quel travail voulons-nous ? » L'enquête de Radio France vue par Xavier Bertrand. Publié le 12-FEB-12 par ANACT | Imprimer Le 23 janvier dernier, Radio France organisait une journée spéciale autour de sa grande enquête « quel travail voulons-nous ? ». L’occasion de présenter les résultats et de mettre le travail en discussion. Le ministre du Travail a pris la parole. Parmi les interventions d'experts, politiques et partenaires sociaux programmées pour réagir aux résultats de l'enquête « quel travail voulons-nous ? Radio France a donc tendu son micro à Xavier Bertrand pour entendre son point de vue et ses réactions. Ce que travailler veut dire - Idées.

Pourquoi travailler ? Décrire les présences au travail, analyser la structuration de la vie sociale. Alexandra Bidet, Dominique Schoeni.

Décrire les présences au travail, analyser la structuration de la vie sociale

Décrire les présences au travail, analyser la structuration de la vie sociale, ethnographiques.org, Numéro 23 - décembre 2011 Analyser les présences au travail : visibilités et invisibilités [en ligne]. (consulté le 23/12/2011). Le visible, l’invisible : ces thèmes semblent bien rodés, notamment en sociologie du travail, et en dehors même des contributions des études sur le genre.

L’invisibilité est en effet à un certain point inhérente au travail réel, où toutes les recettes qu’inventent et réinventent au quotidien les travailleurs se donnent difficilement à voir (Certeau, 1990). Cette « part d’invisible de toute activité industrieuse » est très justement soulignée par Y. Ce dossier prend au sérieux la question. L’étude des modes de présence au travail n’en est qu’à ses débuts. France : «Les open space fabriquent du contrôle social» INTERVIEW - L'observatoire de la qualité de vie au bureau Actinéo a consacré mercredi un colloque à cette forme d'organisation de bureau, dénoncée dans un récent pamphlet («L'open space m'a tuer»*). Son responsable scientifique, Alain d'Iribarne, directeur de recherche au CNRS, analyse la dangerosité de ces «bureaux ouverts». En quoi l'open space pose-t-il problème ? Dans la tradition française, le bureau est un lieu de symbole extrêmement fort. Pierre-Joseph Proudhon, “ Le travail ”. in Justice et liberté. Textes choisis par Jacques Muglioni.

Les Classiques des sciences sociales: Karl Marx, Travail salarié et capital (1849) L’enfer de l’open space, mode d’emploi. Les bureaux sans cloisons gagnent du terrain. Malgré leurs inconvénients : difficultés pour se concentrer, manque de discrétion… Pour rester zen, voici les meilleures techniques. On la tient enfin, la vraie raison de la crise ! Si certains banquiers ont commis ces derniers temps de regrettables erreurs d’inattention, c’est tout bêtement à cause de leurs conditions de travail. Prenez le service contrôle de gestion de Crédit agricole Asset Management, la filiale gestion d’actifs de la banque verte.

HR Innovation Camp. Le bien-être des salariés est au cœur de la performance de l’entreprise et de sa capacité à stimuler l’innovation en interne. Ce bien-être passe avant tout par l’environnement de travail, son organisation et son aménagement. Ces caractéristiques reflétant le style de management institué dans l’entreprise. Bien-être et entreprise sont-ils des oxymores. Individualisme ambiant, concurrence acharnée, mondialisation, rigidités législatives sont autant de bonnes raisons pour lever les bras au ciel et constater qu'on n'y peut rien.

Bien-être et entreprise sont-ils des oxymores

Il est trop facile d'accuser l'autre et de ne pas balayer devant sa porte. Pour réfléchir au bien-être, il est nécessaire de porter son attention sur la notion d'« être » en entreprise. Il ne faut pas être grand psychologue pour comprendre qu'un salarié épanoui est plus efficace et créatif dans son travail.