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Place d'autrui

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» Chapitre III – Autrui. Nous ne vivons pas seuls. Sans les autres, nous ne pourrions développer nos capacités humaines (la parole par exemple) et nous ne pourrions subvenir à nos besoins. Nous vivons en société selon des règles qui sont des conventions humaines et dans un milieu œuvré par les hommes, chaque objet portant en […] Lisez l'article complet Sartre donne d’autrui la définition suivante : « C’est l’autre, c’est-à-dire le moi qui n’est pas moi ». Définition articulant des notions opposées : le même et l’autre, l’identité et l’altérité, la ressemblance et la différence, la proximité et la distance. Lisez l'article complet La pensée est tellement chez elle dans l’élément du même que je n’ai jamais eu de peine à reconnaître en tout homme, un membre de la famille humaine.

Lisez l'article complet. Kant. » Kant: L’éthique de la pensée. Dans la Critique de la faculté de juger, Kant énonce trois maximes que tout homme doit respecter pour faire un bon usage de sa pensée : Penser par soi-même.

» Kant: L’éthique de la pensée

Explication de texte d'oral : Kant, Fondements de la métaphysique des moeurs, 2ème section (extrait) Après l'introduction qui suit, le texte de Kant est reproduit en caractères gras et les explications correspondantes à chaque paragraphe sont intercalées entre les paragraphes en gras.

Explication de texte d'oral : Kant, Fondements de la métaphysique des moeurs, 2ème section (extrait)

Introduction Kant publie les Fondements de des Moeurs en 1785, quatre ans après la Critique de pure et en préparation de de pratique (1788). C'est le premier livre que Kant consacre entièrement à la question de la morale ou du devoir. Dans la Critique de pure (1781), Kant avait essayé de montrer que l'entendement humain ne peut connaître scientifiquement que les phénomènes dans l'espace et le temps en les soumettant à des catégories que notre entendement fournit.

Kant avait ainsi expliqué que nous ne pouvions pas connaître scientifiquement humaine mais que nous ne pouvions pas non plus montrer qu'elle n'existait pas ou qu'elle était impossible car si une action est vraiment libre, sa cause doit échapper aux causes connaissables scientifiquement. Sartre. Sartre note que seul Hegel a donné à l'Autre une constitution ontologique appropriée.

sartre

" L'intuition géniale de Hegel est de me faire dépendre de l'Autre en mon être ". Mais Hegel s'en tient au niveau de la connaissance. Il reste à passer au niveau de l'existence. a) Le regard. Levinas. Www.philophil.com/philosophe/levinas/ethique/levinas.htm. Introduction : Dans la sphère affective on comprend qu’un individu ressente envers les siens une responsabilité qui lui incombe personnellement « C’est ma mère, mon Frère, mon meilleur ami, c’est mon devoir que de les aider… » Mais Lévinas étend à tout homme le devoir de responsabilité que chacun admet envers ces proches.

www.philophil.com/philosophe/levinas/ethique/levinas.htm

Qu’est ce qui justifie une telle extravagance ? Lévinas entend rester fidèle à une expérience fondamentale, celle qui nous saisit lorsque nous ressentons( ne serait-ce que fugitivement), le dénuement et l’extrême vulnérabilité d’un visage. Cette vulnérabilité nous prend en otage, malgré-nous nous nous sentons responsable. Chez Lévinas la morale ( ce qu’il appelle aussi l’éthique) est philosophie première ce qui signifie que toute sa conception du sujet et du rapport au monde dépend de cette expérience fondamentale. Explication : Chez Lévinas rien ne précède l’éthique, elle est à l’origine même de la philosophie, de l’étonnement philosophique. « Le sujet est un hôte »

Rousseau. La responsabilité. « Nous sommes tous responsables de tout et de tous devant tous.»

La responsabilité

Dostoievski « Et moi plus que tous les autres. » Lévinas Qu’est-ce que la responsabilité ? C’est la capacité de répondre. Mais répondre à quelle question ? La question porte sur mon comportement, ce que j’ai fait ou ce que je n’ai pas fait. Mais ce que l’on me demande ainsi, ce n’est pas ce que j’ai fait, ou ce que je n’ai pas fait, c’est si mon comportement a été conforme à un certain devoir. Le devoir suppose une obligation. Mais à quoi suis-je obligé ? J’ai plusieurs sortes d’obligation. Les obligations peuvent être professionnelles, familiales, religieuses, morales… Certaines sont prescrites par la loi et ne pas les respecter amène des sanctions pénales.

Mais on ne peut s’en tenir à des obligations légales. Y a-t-il une obligation plus fondamentale que toutes les lois, plus essentielle que toutes les autres ? Quels sont les divers modes du refus de la responsabilité ? Il est important de réfuter ces quatre attitudes :