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Savoir etre

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Les besoins fondamentaux des humains. “De quoi avez-vous besoin?”. Voilà une question simple et qui pourtant peut générer bon nombre de réponses diverses et variées. Nous l’entendons régulièrement dans différents contextes et de la part de différentes personnes. Depuis le vendeur de cuisines ou d’ordinateurs (quand ils sont centrés sur le client et non sur leur bonus ) jusqu’au manager à l’écoute des membres de son équipe, en passant par le coach qui explore la situation actuelle de son client, la notion de besoin est au centre des rapports humains et des relations humaines.

C’est donc en toute logique que j’ouvre cette semaine ce dossier scindé en plusieurs parties. Non, je ne remue pas le couteau dans la plaie de ceux qui ont planché sur la philo il y a quelques jours :-). Il est en revanche nécessaire de bien définir ces deux notions afin d’être plus au clair avec la suite de ce dossier. Un besoin est ce qui s’apparente le plus à une nécessité d’ordre vital, fonctionnel, pragmatique. A la semaine prochaine. Comment ne plus avoir le cul entre deux chaises?

Que diriez-vous de faire, cette semaine, un petit focus sur une situation que nous avons tous plus ou moins vécus à un moment ou un autre de notre précieuse existence? Celle de se retrouver au milieu d’une situation qui a tendance à vous engager vis à vis de deux parties qui, elles, s’opposent en tout point. Ou autrement dit, celle d’avoir le cul entre deux chaises. L’image qui symbolise cette situation parle d’elle-même. Le fait de se retrouver entre deux parties opposées qui vous demandent chacune d’être de leur côté, vous place instantanément en situation pour le moins inconfortable.

Nous retrouvons ce type d’inconfort dans différents contextes relationnels, décisionnels, conflictuels et de rapports à soi comme aux autres. Quelques exemples (que vous pouvez enrichir en commentaires si le cœur vous en dit): Bref autant de situations dans lesquelles vous vous sentez troublé, embarrassé et mal à l’aise. Voyons maintenant quelques pistes pour se lever et s’asseoir plus confortablement. Contagion émotionnelle en équipe (index de conscience) Pourquoi on fait les choses #1 : les Raisons | Kolibri coaching - Coaching du management & des dirigeants.

Je trouve assez fascinant de se demander Pourquoi on fait les choses. Arrêter son geste et se poser la question de la pertinence et de la raison de ce geste. Une parabole amusante nous y invite : LE CHAT DE l’ASHRAMLorsque, chaque soir, le maître s’asseyait pour la prière, le chat de l’ashram distrayait les fidèles. Aussi ordonna-t-il qu’on attache le chat durant la prière du soir.

Longtemps après la mort du maître, on continua d’attacher le chat durant la prière du soir. (Chacun modifiera à sa guise et selon sa conviction les noms de personnes et de lieux.) Voilà comment sous notre peau si souple nous prenons parfois des allures d’automates, de machines à routines. Définition de l’habitude dans le TLF :Façon permanente, fréquente, régulière ou attendue, d’agir, de sentir ou de se comporter, acquise volontairement ou non. C’est le diktat du « on a toujours fait comme ça ». Ne connaissant pas la raison du choix, il est impossible de le remettre en question. A vous ! La réponse est en Vous ! Le sens en entreprise : pourquoi on fait les choses | Kolibri coaching. Nous avons vu en partie 1 de l’article l’intérêt de se pencher sur les raisons pour lesquelles nous agissons de telle ou telle manière. Voyons à présent en quoi le sens (« pour quoi » et « vers quoi ») que nous attribuons à nos gestes représente une source importante de motivation. « Absurde », « ça n’a pas de sens », « n’importe quoi », « aucun intérêt de faire ça » : mots parfois associés à la démotivation des collaborateurs.

Quand une réorganisation paraît absurde, dénuée de sens, quand une décision semble arbitraire, quand un projet semble aller à l’encontre de la stratégie annoncée, ceux qui le vivent ainsi se démotivent. Et ce n’est pas étonnant : le sens, c’est ce qui nous relie à plus important que nous (un groupe, une vision, une stratégie…) Sans lui, nos gestes semblent vides et vains, et il est courant de se désengager, de travailler avec moins d’énergie. Le sens représente la signification et la direction. Pas de sens, pas de but… pas de dynamique. 1. 2. 3.

A vous ! Niveaux logiques de la conscience : de l'action au sens | Kolibri coaching - Coaching du management & des dirigeants. {*style:<b> Petit détour par la théorie avec un modèle que j’utilise beaucoup en coaching de dirigeant et de managers. Il me sert aussi de référentiel pour comprendre les situations en entreprise. Ce modèle popularisé par Robert Dilts, nous vient des travaux de l’anthropologue Gregory Bateson sur les différents niveaux d’apprentissage, de changement et de communication. </b>*} Les niveaux logiques, késako ? Il s’agit d’un modèle de représentation de notre conscience, qui comprend 6 niveaux superposés. Pour l'individu Pour l'entreprise Question Ce à quoi il est relié et qui le dépasse : entreprise, groupe, communauté... Pour quoi? Son identité profonde, qui il est Mission, Vision, Stratégie, le Sens Qui? Ses valeurs et croyances sur lui-même et le monde Culture d'entreprise, Valeurs Pourquoi? Ce qu'il sait faire, ce qu'il a appris Savoirs-faire, Compétences Comment?

Ce qu'il fait, ses actes, ses réactions Décisions, Actions, Process Quoi? Son entreprise, ses collègues, son manager Concurrence, Marché etc. Où? Avoir conscience de soi. Depuis que j’évolue dans les domaines du coaching et du développement personnel, il y a une notion qui revient régulièrement sur le devant de la scène lors des séances avec mes clients ou lorsque je suis moi-même en supervision, c’est la conscience de soi. J’aimerais partager avec vous cette semaine, ce que veut dire pour moi, avoir conscience de soi, en quoi cela peut vous être utile au quotidien et surtout quelques pistes à explorer pour y arriver. D’après moi, avoir conscience de soi c’est avoir la capacité de s’observer en toute bienveillance et avec un maximum d’objectivité.

Entre nous, il est bien entendu qu’il ne s’agit pas ici de s’observer le nombril et de sombrer dans un narcissisme primaire dont les conséquences en terme de rapports humains et de relations humaines ne vaudraient pas un pet de lapin. Après l’observation, avoir conscience de soi c’est aussi augmenter son niveau de responsabilité vis à vis de nos choix et décisions quotidiennes. J’y viens. Vous commencez quand. L'exploration de soi. Quel est le but de toute exploration et de tout travail sur soi ?

A cette question, de multiples réponses peuvent se donner. De la simple compréhension de ses propres schémas de fonctionnement jusqu’à une certaine forme de sagesse ultime parfois appelé « Éveil », il y aurait autant de réponses à fournir qu’il y a d’individus en quête de découverte d’eux-mêmes. Voyons cette semaine quels peuvent être les enjeux d’une telle aventure en terre (in)connue. Liberté, choix, indépendance, paix, stabilité, rapports humains assainis, relations stables, proactivité, autant de mots ou expressions qui, à mon sens, sont les bénéfices d’une meilleur connaissance de soi.

D’ailleurs, toutes ces expressions sont étroitement liées les unes aux autres. Et peut-être même que la prise de conscience du défaut (au sens du manque) de l’une ou l’autre d’entre elles serait la cause, l’élément déclencheur de cette quête. Autant commencer par la fin L’idée de se poser est à étendre sur plusieurs niveaux: Botter le c... de Caliméro. Pour ceux qui ne le connaissent pas, Caliméro est un personnage de dessin animé représenté par un poussin noir avec une coquille d’oeuf ébréchée sur la tête. Il fut diffusé sur le petit écran dans les années 70. Lors de ses (més)aventures, il se trouve (se place) très souvent en position de victime vis à vis des évènements, des relations, des autres personnages, bref de tout ce qui peut faire de lui un opprimé de la première heure.

Il passe son temps à se plaindre et ne voit en la vie qu’injustice et malchance. D’ailleurs, sa phrase fétiche et devenue culte à chaque fin d’épisode était:“C’est vraiment trop injuste!” Il arrive parfois que nous soyons face à une situation dont l’issue ne corresponde pas à nos attentes ou dont l’objet de préoccupation fasse vibrer en nous une petite corde sensible. Voyons aujourd’hui 5 stratégies pour botter le cul du Caliméro qui sommeille en nous et lui montrer qui est le boss. Ce n’est pas l’ultime ressource, mais c‘est déjà ça. [Dossier] Les besoins humains (partie 4 et fin) Nous voila au terme de ce voyage au pays des besoins de l’Homme.

Pour clore ce dossier, je partage cette semaine avec vous les besoins qui me semblent indispensables de prendre en compte pour un développement équilibré de l’Être humain dans son environnement: les besoins des enfants. Bien que les bases restent les mêmes (les enfants sont aussi des humains; si, si, je vous assure ), il y a des besoins spécifiques que nous autres adultes devrions avoir à coeur d’assurer pour nos “bout d’choux”.

Voici lesquels. Le développement de l’enfant se réalisant par phase, il existe des besoins encore plus spécifiques pour chaque tranche d’âge. Au niveau des besoins physiologiques, nous retrouvons basiquement les mêmes que ceux évoqués par Virginia Henderson dans la première partie de ce dossier. Passons maintenant à des besoins plutôt d’ordre psychologique et relationnel tout aussi important que les besoins physiologiques… voire plus. Derrière ce besoin, il y en a d’autres qui y sont rattachés. Les besoins fondamentaux des humains (partie 3) En creusant ce dossier sur les besoins humains, je me suis rendu compte que, finalement, la plupart des auteurs des différents inventaires des besoins tournaient autour des mêmes éléments.

Les mots pour les décrire sont souvent différents, mais les grandes familles de besoins de l’Homme se retrouvent de façon relativement homogène. L’exemple de cette semaine ne déroge pas à la règle et vous verrez que les besoins selon Will Schutz et selon Eric Berne ont de nombreux points communs avec ce que nous avons vu jusque-là. En même temps je trouve ça rassurant car, sous l’apparente complexité de notre condition d’être humain, il semblerait que les bases de ce qui constitue notre équilibre ne soit pas si difficile que ça à obtenir dès lors que nous agissons sur les “bons” leviers. Enfin, ça reste à démontrer… Pour le moment, voyons ce que l’ami Will Schutz nous propose comme référencement des besoins humains. Les besoins interpersonnels selon Schutz sont au nombre de trois. A la semaine prochaine. Les besoins fondamentaux des humains. Continuons cette semaine notre exploration des besoins humains. Nous avons vu la semaine dernière les 14 besoins de Virginia Henderson qui associent les besoins physiologiques, psychologiques et sociaux de l’ être humain.

Découvrons cette semaine un grand classique, si ce n’est LA référence dans l’exploration des besoins de l’Homme, la pyramide de Maslow. Je continuerai aussi par l’inventaire des besoins relationnels d’après l’auteur et formateur Jacques Salomé. Enfin… des besoins de tout le monde, pas uniquement ceux de Maslow Abraham Maslow (1908-1970) était psychologue et fut à l’origine de la psychologie humaniste en même temps qu’ un autre grand nom de ce courant thérapeutique, Carl Rogers. Ses principaux travaux ont ciblé la motivation, la satisfaction et bien entendu les besoins de l’être humain. Une image valant mille mots, voici ladite pyramide: Il s’agit ici de prendre en compte la préservation de l’intégrité physique, psychologique, sociale et relationnelle d’un individu. Les besoins fondamentaux des humains. La mise à jour d'une croyance.

Voici la dernière partie de ce dossier sur les croyances. Nous allons voir aujourd’hui comment mettre un peu plus de conscience sur nos croyances limitantes, et s’interroger sur une anecdote dont le sujet principal est le thème de ce dossier. Quelques petits rappels avant tout: Une croyance est une conviction profonde sur la réalité que nous percevons de notre environnement.Elle joue un rôle essentiel voire exclusif dans nos stratégies d’adaptation individuelles et nos comportements au sein de notre environnement.Elle n’est ni bonne, ni mauvaise.

La question qui titille à ce stade de l’exposé est :« Quand est-il nécessaire de faire évoluer une croyance limitante ? » En faisant une jolie Lapalissade, je dirais: « Quand vous vous sentez …. limité » Cela pourrait ressembler à: “Je ne sais pas ce qui m’arrête”“Ça semble dingue, mais…”“Cela ne me ressemble pas. Ce type de dialogue intérieur qui nous situe à l’entrée d’une pièce sombre devrait nous inciter à vouloir allumer la lumière. Le fonctionnement des croyances. Nous avons vu la semaine dernière quelle était la structure d’une croyance. Nous l’avions comparée à un temple composé de piliers principaux et secondaires auxquels il est parfois utile de faire quelque travaux de rajeunissement ou de modification de structure. Un accompagnement en coaching professionnel peut remplir cette mission. Nous allons voir aujourd’hui comment fonctionne une croyance ou un système de croyances, quelle est sa dynamique, son évolution, sa capacité à se camoufler ou à agir au grand jour bref tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur les croyances sans jamais osé le demander.

Depuis notre premier jour et jusqu’au dernier, nous évoluons en permanence en relation avec notre environnement ou plutôt nos environnements. Notre condition d’être humain, notre culture, notre éducation, nos expériences constituent un ensemble d’éléments en interaction qui construisent notre représentation du monde, qui rappelons-le est propre à chacun. La vie est dure. J’explique. Les croyances. Depuis le début de ma reconversion dans le domaine du développement personnel et du coaching professionnel, il y a une notion qui reste, à mes yeux, comme fondamentale dans tout processus de changement ou de développement personnel, les systèmes de croyances. Le mot croyance est habituellement utilisé dans les domaines de la religion ou des quêtes spirituelles. Nous retrouvons alors des expressions comme “avoir la foi”, “être de confession X ou Y”, “Pratiquer tel ou tel culte”, “avoir des convictions religieuses”, etc. Si elle en fait effectivement partie, la notion de croyance s’élargit bien au-delà de la spiritualité.

Dans le champ humain, les croyances sont de l’ordre des certitudes, des convictions profondes que nous avons vis à vis de ce que nous percevons comme notre réalité, le monde qui nous entoure et avec lequel nous interagissons en permanence. Pour imager la structure d’une croyance, j’aime utiliser la métaphore d’un temple d’où la photo illustrant le billet…) Pourquoi? Les croyances les plus répandues que nous avons sur autrui. Nous avions vu la semaine dernière cinq des dix croyances les plus répandues sur l’Autre.

Voici cette semaine la suite de ce classement (qui, je le rappelle, n’en a que le nom) avec toujours à la clé une ou plusieurs pistes à explorer pour tenter de voir les choses un peu différemment. Certes, cette croyance pourrait s’apparenter à soi-même, mais elle débouche invariablement sur une autre croyance qui s’y attache tout naturellement: « … donc l’Autre a tort, à priori » J’avais partagé avec vous une expérience relative à cette croyance dans « La guerre des mondes« . Nous sommes ici en plein dedans. Là encore elle fait partie des croyances majoritaires chez nos semblables. Je dirais même qu’elle est un équipement de série chez nous autres Humains. Équipement de série, oui, mais avec un sacré vice de fabrication!

Qui peuvent-ils être? Question: « Qu’est-ce qui vous fait dire que votre réalité est LA Réalité? Question: « Et si ce qui vous manque, vous le cherchiez dans ce que vous avez? Les croyances les plus répandues que nous avons sur autrui. Top 10 des croyances sur soi. Management changement. Il en faut peu pour être heureux. La communication non-verbale.