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Boulot

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Panorama des nouveaux outils collaboratifs 2.0 indispensables à vot... L'intelligence collective. On trouvera ici une versionPowerpoint™ de cet exposé. L’Internet n’est pas une technologie comme les autres, il a une valeur et un potentiel anthropologiques. C’est sur ce principe que Pierre Lévy, sociologue réputé, fonde le concept d’intelligence collective dans son ouvrage L’Intelligence collective : pour une anthropologie du cyberspace paru initialement en 1994. La juxtaposition des deux termes n’est pas choisie au hasard : ici, " intelligence " doit être compris comme dans le sens de " travailler en bonne intelligence " par exemple. L’expression finale se rapporte finalement à deux choses : Le concept à valeur politique au sens large, celui se référant à toutes les activités humaines en société organisée.

I ? De par sa formation, Pierre Lévy a les compétences requises pour comprendre et analyser les problématiques liées à l’impact des nouvelles technologies sur les systèmes de signes et l’évolution culturelle en général. " Qu’est-ce que l’intelligence collective ? II ? L’égo, frein majeur à l’intelligence collaborative. Une étude récente a montré que le travail de groupe “affaiblit la créativité et les capacités intellectuelles”. Ça n’est pas une surprise, car les conditions habituelles du travail collectif génèrent davantage de craintes que de confiance mutuelle, libérant au passage toutes les expressions lourdingues de l’égo, frein majeur au travail collaboratif. La presse s’est emparée un peu vite de l’affaire avec un poil insuffisamment de nuance, et voue le travail collaboratif aux gémonies au profit d’un individualisme au blason soudainement redoré.

Je m’étais agacée sur mon blog personnel (café-journal du 28 mars) de ces conclusions hâtives, en particulier dans l’Express, qui échouaient à poser les bonnes questions. Car il ne s’agit pas de dire “arrêtons de travailler à plusieurs” mais de réfléchir à: Qu’est qui, dans notre façon de travailler à plusieurs, génère des résultats aussi désastreux? Je profite de l’occasion pour revenir sur ce sujet et développer un peu ma pensée. Humility key to effective leadership. Humble leaders are more effective and better liked, according to a study forthcoming in the Academy of Management Journal. “Leaders of all ranks view admitting mistakes, spotlighting follower strengths and modeling teachability as being at the core of humble leadership,” says Bradley Owens, assistant professor of organization and human resources at the University at Buffalo School of Management.

“And they view these three behaviors as being powerful predictors of their own as well as the organization’s growth.” Owens and co-author David Hekman, assistant professor of management at the Lubar School of Business, University of Wisconsin-Milwaukee, asked 16 CEOs, 20 mid-level leaders and 19 front-line leaders to describe in detail how humble leaders operate in the workplace and how a humble leader behaves differently than a non-humble leader. “Growing and learning often involves failure and can be embarrassing,” says Owens.

Owens and Hekman offer straightforward advice to leaders. Que faire du management. Ainsi formulée, la question peut sembler étrange ; aujourd’hui c’est plutôt le management qui nous domine dans presque tous les compartiments de la société et dans toutes les organisations, de la plus grande entreprise ou administration jusqu’à la plus petite des associations. C’est pourtant bien à un sursaut démocratique visant à reprendre la main sur des techniques de gestion devenues totalement incontrôlables, que nous invite l’essai d’Anne et Éric Pezet, La société managériale – Essai sur les nanotechnologies de l’économique et du social aux éditions La Ville Brûle. Le management, “un récit largement fictionnel mais excessivement réel” D’un côté, la culture managériale est véhiculée depuis les années 60 par un ensemble de thèses, de penseurs, de prestigieuses écoles de commerce et de grands cabinets-conseils.

Nos démocraties sont-elles condamnées au managérialisme ? L’acteur public, subjugué par le management Comment faire émerger une société managériale démocratique ? Stéphane Vincent. Quand les cadres ne veulent plus manager. Sylvaine Pascual – Publié dans: Vie professionnelle L’article du Monde reprend les points de vue de personnes d’horizons multiples: – Alain Pichon, sociologue et auteur de l’ouvrage Les Cadres à l’épreuve (PUF, 2008) – Eric Peres, secrétaire général de FO-Cadres – Nathalie Bosse, auteur de l’enquête Devenir cadre, une perspective pas toujours attrayante (Céreq) – Et moi-même;) avec une conclusion commune aux 4 intervenants: les difficultés inhérentes au statut de cadre et de manager font de plus en plus peur, en particulier à mesure que les crises se succèdent et que la situation dans les entreprises se dégrade. Depuis trois ans, une véritable tendance est en train de prendre de l’ampleur: le refus de devenir manager.

Disons-le tout net, la position de manager est potentiellement aussi inconfortable que des godasses trop petites et a les mêmes conséquences. L’égo, frein majeur à l’intelligence collaborative *Ah, l’intelligence émotionnelle! Management 2.0 : le secret des équipes à haute performance. Quelle est la différence entre un simple groupe et une véritable équipe ? Qu’est-ce qui fait que certaines équipes arrivent à relever des défis alors que d’autres échouent lamentablement ? Depuis de nombreuses années, le cabinet de conseil en stratégie McKinsey étudie les sources de la performance de dizaines d’équipes dans le monde entier, afin d’en tirer des enseignements en termes de management coopératif. 1- La généralisation du modèle d’organisation par équipe Les équipes sont omniprésentes dans l’exercice du management.

Elles représentent une alternative aux structures formelles et hiérarchisées traditionnelles : On parle alors d’organisation par équipe. 2- Groupe vs équipe : quelle différence ? On parle d’équipes alors qu’il ne s’agit souvent que de groupes. Depuis de nombreuses années, le cabinet de conseil McKinsey étudie les sources de la performance de dizaines d’équipes travaillant dans le monde entier. 3- Qu’est-ce qu’une équipe à haute performance ? (i) M. Le travail collaboratif en ligne et à distance : de quoi parle-t-on ? (Partie 1/2) - Le Blog Zazibao. Je m’intéresse depuis plusieurs années au travail collaboratif et à ce titre j’ai suivi les écrits très pertinents de Serge K. Levan. Consultant et formateur, Serge K. Levan est expert du travail collaboratif en ligne et à distance. Il a fondé en 1992 le cabinet MAIN CONSULTANTS. Il est le est le concepteur de : - La Méthode MAIN : référentiel méthodologique pour l'introduction, la construction et le développement de nouvelles pratiques collaboratives en ligne et à distance dans les entreprises, parcours de formation professionnelle Collabor@Work. - Le Nouveau Mode Projet enseigné à l’université de Troyes Notre échange a été riche et très instructif, enfin pour moi !

Je vous connais depuis plusieurs années. SKL : Vaste programme ! Comment se traduisent ces différentes formes de coordination dans le monde du travail ? SKL : On va prendre un exemple, ce sera plus parlant : le travail en mode projet. Si je vous comprends bien les pratiques collaboratives sont loin de se généraliser ! Le travail collaboratif en ligne et à distance : de quoi parle-t-on ? (Partie 2/2) - Le Blog Zazibao. Je m’intéresse depuis plusieurs années au travail collaboratif et à ce titre j’ai suivi les écrits très pertinents de Serge K.

Levan. Consultant et formateur, Serge K. Levan est expert du travail collaboratif en ligne et à distance. Il a fondé en 1992 le cabinet MAIN CONSULTANTS. Il est le est le concepteur de : - La Méthode MAIN : référentiel méthodologique pour l'introduction, la construction et le développement de nouvelles pratiques collaboratives en ligne et à distance dans les entreprises, parcours de formation professionnelle Collabor@Work. - Le Nouveau Mode Projet enseigné à l’université de Troyes Notre échange a été riche et très instructif, enfin pour moi ! Avant de lire cet article assurez-vous d'avoir lu la première partie ! Pour « essayer de se comprendre et de se mettre d’accord », quels espaces d’échanges collectifs mettez-vous en place ? Oui, on est d’accord ! Pourquoi cette particularité du travail à distance, c’est historique dans votre activité ? Oui c’est cela ! Outils collaboratifs Google Drive.

Travailler avec des applications en ligne est aujourd’hui chose courante avec la généralisation des terminaux mobiles. Google offre, depuis plusieurs années, une panoplie d’applications devenues aussi performantes que les applications dites lourdes. Cette prouesse technologique s’est accompagnée de possibilités de travail collaboratif qui ont multiplié l’intérêt des pratiques pédagogiques en ligne. L’objet de cet article n’est pas de faire de la publicité pour Google, il est destiné aux enseignants soucieux d’enrichir leur expérience avec les outils en ligne. Introduction Depuis avril 2012, Google Doc est devenu Google Drive. Le changement ne s’est pas opéré automatiquement, comme d’habitude cela a été proposé aux utilisateurs. Avec l’arrivée de Google Drive, le stockage et de partage de fichiers en ligne est devenu d’une grande simplicité avec un espace de stockage par défaut de 5Go.

Travail en ligne, travail de groupe et travail collaboratif Le travail en ligne Le travail collaboratif. Zim - Organisation d’idées. Zim a pour objectif d’amener le concept du wiki dans votre environnement de travail, donc votre bureau. Chaque page que vous créerez sera enregistrée dans un fichier texte (avec du balisage wiki) dans l’emplacement de votre choix. Il est ensuite aisé de créer une arborescence (dossiers) ainsi que des liens entre les pages. Le tout est sauvegardé automatiquement. Hormis la création de pages ou notes, Zim amène des fonctionnalités pratiques. En plus de l’édition facilitée par un éditeur WYSIWYG et le balisage wiki, il assure le suivi de liste de tâches, l’ajout d’images ou de fichiers-joints, de formules LaTeX ou encore une gestion chronologique des pages avec un calendrier.

L’idée de Zim est d’amener les fonctionnalités d’un wiki dans votre environnement de travail non pas sous forme de page web mais comme un ensemble de fichiers texte et dossiers dont l’édition est facilitée par l’interface graphique. L’export (HTML, LaTeX) ou l’import de notes dans différents formats est possible.