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Un métier solitaire mais enrichissant « pijiste. Olivier Bertrand, correspondant régional pour Libération, est venu au Collège International de Cannes présenter sa profession. Olivier Bertrand est venu en conférence au Collège International vendredi dernier présenter son métier. C’est l’histoire d’une profession qui s’appelle correspondant régional. Un journaliste de province chargé de rendre compte de l’actualité d’une zone géographique précise pour un média national.

Pour leur deuxième conférence de l’année universitaire, les étudiants de l’IUT Journalisme de Cannes ont rencontré l’un d’entre eux. Olivier Bertrand, 47 ans, travaille pour le quotidien Libération. Vendredi, peu après 14 h, l’invité plutôt discret, arrive au Collège International. Polyvalence oblige Face à un jeune public, Olivier Bertrand parle de sa profession qu’il exerce depuis 11 ans. « De 1997 à 2000, j’étais journaliste aux services « politique » puis « société » de Libération.

Être autonome Like this: J'aime chargement… Comment et par qui sont réalisés les titres : Médiation. Chronique du 3 décembre 2011 Les lecteurs de Sud Ouest s’interrogent régulièrement sur la façon dont sont choisis et rédigés les titres. Le dernier en date est H. Blanc qui nous écrit ceci après la lecture du journal du 25 novembre : « En page 18, Daniel Cohn-Bendit, s'adressant au Directeur du "Monde" déclare : "attention avec vos titres, ils ne tiennent pas la route".

Bravo ! Personnellement, voici la question que je me pose en lisant Sud Ouest : est-ce que les journalistes sont également auteurs des titres en caractères gras qui introduisent leurs articles ou bien ces titres sont-ils rajoutés par un autre intervenant ? (1) Rappelons à ce propos que la définition première de l’information est l’action de donner ou de recevoir une forme Thierry Magnol. Journalisme « Le Blog d'Olivier Da Lage.

Dans un communiqué publié au nom du groupe des « Sages » qu’il animait, Bruno Frappat vient d’annoncer que ce groupe mettait fin à ses travaux, ayant accompli sa mission. Membre de ce groupe, je suis solidaire de ce communiqué que j’ai approuvé. La vérité oblige néanmoins à préciser que la mission n’a pas permis d’atteindre son but : un code de déontologie partagé par les éditeurs et les syndicats de journalistes et annexé à la convention collective. Tels étaient en effet les paramètres de départ de nos travaux, tels qu’ils résultaient des États généraux de la presse écrite en 2008, et notamment du pôle que présidait, justement, Bruno Frappat. Ce groupe avait tout pour réussir : réunissant des éditeurs, des syndicalistes, des juristes et des enseignants, représentant différentes formes de presse et une grande pluralité d’opinions, ses membres se sont dit que si le consensus pouvait se faire entre nous, il n’était pas hors de portée à l’échelle de la profession.

Passez, manants. Ou pas.