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Pol intérieure française

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Élection présidentielle française de 1981. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Élection présidentielle française de 1981

Contexte[modifier | modifier le code] Politique étrangère de la France sous Giscard d'Estaing[modifier | modifier le code] Situation économique[modifier | modifier le code] Crise[modifier | modifier le code] La période de forte croissance économique des Trente Glorieuses s'achève avec les conséquences du choc pétrolier de 1973 provoqué par la guerre du Kippour.

La nomination de Raymond Barre en remplacement de Jacques Chirac, en août 1976, souligne la volonté du président de faire de la réponse à la crise économique la priorité du gouvernement. Tournant libéral et second choc pétrolier[modifier | modifier le code] En 1978, le Premier ministre Raymond Barre met en œuvre une politique économique libérale. L'année 1980 est une année particulièrement noire pour l'économie française, et le gouvernement semble impuissant. Société : évolution et réformes[modifier | modifier le code] François Hollande : bricolage à l'Élysée. On allait voir ce qu'on allait voir.

François Hollande : bricolage à l'Élysée

François Hollande devait endosser ses habits de chef de guerre. Comme au Mali, mais sur le front de l'emploi. On attendait une vision. Un plan de bataille. En réalité, le président a sorti sa panoplie de parfait bricoleur. Source Le Figaro Magazine • La burette d'huile de la BPI Des 60 engagements de campagne de François Hollande, c'était le tout premier. On nomma à sa tête le patron de la CDC, Jean-Pierre Jouyet, flanqué d'un brillant «techno» de gauche, Nicolas Dufourcq, et une palanquée d'inspecteurs des finances pour peupler son conseil d'administration. Les fées sont parties depuis longtemps... Notre conseil brico Revoir la gouvernance de la BPI et mettre en œuvre sans tarder l'allégement promis sur la fiscalité des transmissions d'entreprises. • Les rustines des emplois d'avenir 3,188 millions: c'est le nombre d'inscrits au Pôle emploi en février 2013.

. • La chignole des 75% L'habileté consiste à mettre les actionnaires devant leurs responsabilités. Pourquoi quitter (légalement) la Sécurité sociale devient un impératif. Ce billet a été publié initialement sur le blog Hastable Depuis février, Contrepoints nous livre les aventures de Laurent C. qui a décidé de se sortir du magma gluant de la Sécurité sociale pour souscrire à une assurance privée.

Pourquoi quitter (légalement) la Sécurité sociale devient un impératif

Or, s’il semble que pour des indépendants l’exfiltration de ce système mafieux soit possible (au prix de démarches kafkaïennes), il en allait jusqu’à présent de façon différente pour les salariés. Ou tout du moins, c’est l’idée qu’on pouvait s’en faire… Mais dernièrement, la situation a évolué. Ainsi était-il encore récemment particulièrement risqué d’inciter les cotisants à briser leur mariage avec cette Sécurité sociale française qu’on avait forcé sur eux ; des textes de lois, comme on peut en lire sur le portail de l’organisme lui-même, semblait violemment punir toute tentative de rébellion ou toute publicité à quitter le giron de la Sécu. Ceci posé, pourquoi parler de cet épineux sujet maintenant ?

Ces 6 mensonges plus explosifs pour le gouvernement que l'affaire Cahuzac. 1) Non, le financement des retraites n’est plus assuré Durant la campagne présidentielle, François Hollande avait promis de rétablir l'âge de la retraite à 60 ans.

Ces 6 mensonges plus explosifs pour le gouvernement que l'affaire Cahuzac

Non seulement, cette promesse ne pourra pas être tenue, mais après 1993, 2003, 2008 et 2010, une nouvelle réforme systémique, qui ne se contente pas de mesures purement techniques, s'impose. Eric Verhaeghe: Vous commencez par le sujet le plus sensible, celui des retraites. Si j'en juge aux réactions de colère que suscite la désindexation des retraites complémentaires, c'est la question difficile par excellence. Pourtant, elle est assez simple à comprendre: l'espérance de vie a augmenté, depuis 1945, d'environ 20 ans. La faillite du système à laquelle nous assistons était éminemment prévisible et a d'ailleurs été largement anticipée. Tout ceci montre qu'en réalité les politiques ont plutôt fait le job en disant les risques et en cherchant à les prévenir.