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Propositions

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Retraites : «les 60 ans, un bouclier social» Laurent Fabius, député de Seine-Maritime, était l'invité de la matinale de France Inter ce lundi 4 octobre. Une réforme des retraites dans l'impasse ? Laurent Fabius a affirmé que «le gouvernement se trouvait dans l'impasse car cette réforme n'était pas bouclée financièrement, il faudra recommencer dans 2 ans, 3 ans, 4 ans...»

En comparaison, le député socialiste a indiqué que le Parti socialiste avait élaboré «un projet très exigeant financièrement» qui «répartit la charge entre les salariés d'une part et les revenus du capital d'autre part». Concernant les détails du financement, Laurent Fabius a rappelé que les stocks-options constituaient «une toute petite partie du financement», tandis que «l'essentiel du financement» reposait sur les banques et les revenus du capital.

>> Nos propositions sur les retraitesNécessité d'une réforme Le gouvernement propose une réforme «injuste et on financée», tandis que le PS propose une réforme «juste et équilibrée» a conclu le député. Les primaires. Retraites : Le président doit «retirer le projet», et «recevoir les partis de gauche et les syndicats», par Martine Aubry. La retraite choisie: un système universel et personnalisé. Notre système doit reposer sur des droits collectifs solides, qui jouent le rôle de vigies sociales et qui permettent davantage de choix individuels. Nous proposons une réforme systémique. Maintenir l’âge légal de départ en retraite à 60 ans À ce titre l’âge légal de départ en retraite constitue une garantie et une borne indispensable. Sa remise en cause serait la plus grande des injustices pour les salariés qui ont commencé à cotiser tôt, pour ceux qui sont usés par le travail à 60 ans et la suppression d’une liberté de choix pour tous les Français.

À 60 ans, un ouvrier et un cadre ont une espérance de vie de 7 ans différente. L’âge légal de départ en retraite est celui auquel les salariés peuvent faire valoir leurs droits et liquider leur pension en fonction de ceux-ci. Le maintien de l’âge légal de départ en retraite à 60 ans est pour les socialistes une exigence. Des choix individuels dans le cadre de garanties collectives Les rythmes de la vie ont changé. Pour aller plus loin : Retraites : une société en mutation. Disons-le d’emblée, la réforme des retraites ne peut être abordée sous le seul angle de paramètres techniques de financement. Elle relève d’abord d’un choix de société. Elle doit permettre de prendre en compte les mutations de la société et les attentes des Français vis-à-vis des temps de la vie.

L’évolution des structures familiales, les changements du monde du travail, l’éclatement des carrières et des parcours professionnels obligent, pour mieux en garantir l’efficacité, à redéfinir les contours d’un système de protection sociale conçu dans un environnement économique et social radicalement différent. Le vieillissement de la population représente assurément l’une des tendances lourdes des dernières années. Avec le vieillissement de la population, un nombre croissant d’entre eux sera néanmoins confronté à une perte d’autonomie : une société digne est une société qui ne laisse pas ses aînés sur le bord du chemin.

Le monde du travail a également subi de grandes mutations. Martine Aubry au JT de France 2. Martine Aubry sur les retraites : «une réforme durable, juste et efficace» Marisol Touraine: «les soixante ans sont une protection» Ça s’est passé sur la coopol n°2 : pour une réforme juste, efficace et durable de nos retraites. Martine Aubry : «reprendre à zéro la réforme des retraites» Benoît Hamon: «nous demandons une remise à plat complète de la réforme» Les manifestations ont été une «réussite», «l’objectif que s’était fixé les syndicats de passer le cap de 2 millions de manifestants a été atteint voire largement dépassé» a déclaré le porte-parole. Si la mobilisation était très suivie, Benoît Hamon a également mis en avant «l'unité syndicale» qui s'est renforcée, même si «la stratégie du gouvernement depuis plusieurs mois était de parier sur la résignation des Français et sur la division des syndicats».

Même si cette réforme est «jugée nécessaire», «il faut modifier aujourd’hui les conditions dans lesquelles on finance les retraites». Le porte-parole a insisté sur les 3 mensonges, «les bases à partir desquelles le gouvernement justifie sa réforme sont des mensonges» : 1) La pénibilité Le gouvernement veut faire croire qu'il agit contre la pénibilité, or «il n'y en a aucun dans la loi».

«L'ultime mensonge» du gouvernement sur la pénibilité concerne son caractère exceptionnel en Europe. 2) Dispositif le plus contraignant pour la France. Ségolène Royal : «oui, nous rétablirons la liberté de partir à la retraite à 60 ans» Invitée de l'émission «A vous de juger» sur France 2, le 9 septembre 2010, Ségolène Royal a affirmé «solennellement» que si la gauche revenait au pouvoir en 2012, elle rétablirait la retraite à 60 ans.

>> Nos propositions sur les retraites Age légal de départ Entourée de Benoît Hamon et Harlem Désir sur le plateau de l'émission, la présidente de la région Poitou-Charentes a répondu «solennellement, je vous dis oui», à la question «Est-ce que vous rétablirez la retraite à 60 ans?». «Pourquoi oui? Parce que contrairement aux embrouillaminis qui sont régulièrement avancés -on a encore eu un exemple avec monsieur Fillon (...) C'est quoi la retraite à 60 ans? C'est la liberté de pouvoir profiter de son travail lorsqu'on a cotisé pendant 40 ans. «On n'entend pas le Medef, parce que la réforme de François Fillon est la réforme du Medef», a-t-elle dit également, faisant valoir que la réforme du Medef voulait «mettre à bas la retraite à 60 ans» et «taxer les salariés». Financement des retraites.

Martine Aubry - Retraite: «les jeux ne sont pas faits» Retraite, utilisation des services secrets à l'encontre du Monde, circulaire du ministère de l'Intérieur... Tout ce qu'il faut retenir de l'intervention de Martine Aubry au 19-20 de France 3. Retraites Martine Aubry a réaffirmé l'engagement des socialistes de rétablir la liberté de partir à la retraîte à 60 ans, pour permettre aux «trois millions de personnes qui ont travaillé avant 19 ans» de partir en retraite à taux plein, comme cela se fait dans de nombreux pays européens.

«Les jeux ne sont pas faits», estime Martine Aubry, qui rappelle la «formidable mobilisation» du 23 septembre, et l'unité syndicale. Elle affirme qu'en l'absence de financement de la réforme poar le gouvernement, «en 2012, ce sera à nouveau la baisse des pensions». Affaire Le Monde - Woerth - Sarkozy Action de la commission européenne pour infraction à la législation Réécriture de la circulaire du ministère de l'intérieur «On voit bien aujourd'hui ce qui ne va pas, c'est qu'on nous ment en permanence. Emile Josselin.

Financement

Pénibilité. Retraites : «nous voulons une réforme qui règle définitivement le problème» La Première secrétaire du Parti socialiste était l'invitée de RTL ce jeudi 23 septembre. Interrogée sur la réforme des retraites, les propositions du PS sur les retraites, ainsi que sur la lutte contre le terrorisme, Martine Aubry a répondu aux questions de Jean-Michel Aphatie. Mobilisation du PS pour nos retraites Martine Aubry a appellé à «utiliser tous les moyens pour faire pression sur le gouvernement». Elle a plaidé pour «une réforme qui règle définitivement le problème et qui soit juste». «92% de la réforme du gouvernement pèse sur les salariés et les retraités, 8% sur le capital, explique la première secrétaire.

Ceux qui ont commencé tôt doivent pouvoir partir à 60 ans. >> Nos propositions sur les retraites La retraite, une question de campagne électorale? L'âge moyen de départ en retraite ne rend-il pas obsolète le départ à 60 ans? Martine Aubry a distingué «l'âge légal de départ à la retraite et l'âge effectif». Lutte contre le terrorisme. Retraite : les propositions du PS - Une réforme juste, efficace et durable des retraites : un système universel et personnalisé.