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Paramedic73

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Adnan Brenier

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Itinéraires de randonnées en montagne, balades en Tarentaise, courses vers les glaciers, Savoie. Galerie de paramedic73. Bourg-Saint-Maurice, le Cormet de Roselend : Le col du Grang Fond et le lac de Presset par la combe de Neuva. Randonnées : Bourg-Saint-Maurice, le Cormet de Roselend - Le col de la Croix Bonhomme et son refuge, la Tête Nord des Fours. Les cascades du Ruitor depuis La Thuile en Italie. Fukushima : il y a 4 mois jour pour jour. Quatre mois se sont écoulés depuis le tremblement de terre et le tsunami qui ont dévasté le Japon.

À 14 h 46 (heure locale), le 11 mars, un séisme de magnitude 9 se produit à une centaine de kilomètres au large de Miyagi, dans le nord-est de l’archipel. La secousse est suivie d’un tsunami, des vagues de quatorze mètres de haut ravagent le littoral. Samedi 12 mars, a lieu la première explosion dans la centrale nucléaire de Fukushima n°1, à 220 km au nord-est de Tokyo. La première étape d’une catastrophe qui n’est toujours pas terminée. Photo xtcbz (Flickr) L’état des réacteurs difficile à connaître : l’information se dégrade Il est de plus en plus difficile de faire un état des lieux de l’état précis de chaque réacteur. La dernière mise à jour de l’Agence Internationale à l’Énergie Atomique sur le sujet date du … 2 juin. La note “finale” d’information publiée par l’IRSN date quant à elle, du 8 juin. Une contamination très étendue …. qui va durer Suivre toute l’actualité Nucléaire. Fukushima : trois fois plus de rejets radioactifs en mer qu'estimé.

Fukushima, 6 mois après : un quotidien irradié. Vivre, chaque jour : avoir un toit, à manger, aller au bureau, à l’école, se promener … ces choses tellement banales vues d’ici, et qui sont pourtant tellement compliquées à Fukushima, 6 mois après … La vie la bas 80 000 personnes vivaient dans la zone de 20 km autour de la centrale de Fukushima Daiichi, zone évacuée et aujourd’hui morte. Cette semaine, environ 200 riverains ont été autorisés à faire une brève visite à leur ancien domicile pour récupérer le maximum d’effets personnels possible. Ce retour à la maison, fut, pour beaucoup, le dernier. 6 mois de fuites radioactives ont rendu les villes voisines d’Okuma et de Futaba inhabitables pendant des années, voire des décennies. Toutes les traces de la vie ordinaire semblent suspendues : les routes sont envahies par les mauvaises herbes; commerces et restaurants sont fermés… pas âme qui vive en dehors du chant des cigales.

Voir le reportage du Guardian Les ouvriers de la centrale : des inconnus dont on ne parle plus Partagez cet article : Fukushima : contamination marine et silence du gouvernement. Nous sommes le 11 août. Depuis 5 mois, le Japon vit une catastrophe nucléaire sans précédent. La contamination se poursuit, sans que de véritables moyens de prévenir la population n’aient été mis en place. L’équipe d’experts en radioprotection de Greenpeace a relevé des niveaux élevés de radioactivité dans les fruits de mer pêchés par les japonais au large des côtes du Japon.

Ces relevés ainsi que les informations récentes sur les dissimulations du gouvernement japonais sur l’étendue réelle des radiations à Fukushima, montrent l’urgence d’informer, avec transparence la population et de la mettre à l’abri. Photo xtcbz (Flickr) Contamination en mer : la course contre la montre Le 9 août, lors d’une conférence de presse , Greenpeace a détaillé comment ses experts se sont rendus dans les ports de la préfecture d’Iwaki entre le 22 et le 24 juillet, prélevant des échantillons de fruits de mer avec l’aide des pêcheurs locaux. Tout cela devrait être fait aussi vite que possible. Des gravats radioactifs quittent par erreur la centrale nucléaire du Bugey. "La Zone", une exploration de la zone interdite de Tchernobyl. Le parquet fait appel après la relaxe de faucheurs de plants OGM.

Algues vertes : "Une fuite en avant qui ne s'attaque pas à l'origine du mal" LE MONDE | | Propos recueillis par Propos recueillis par Grégoire Allix L'appui du monde agricole vaut-il une ou deux marées vertes ? Jeudi 7 juillet, Nicolas Sarkozy, s'exprimant sur le sujet des algues vertes lors d'une visite à Crozon (Finistère), refusait "de désigner des coupables, de montrer du doigt les agriculteurs", et dénonçait les "intégristes" de l'écologie. Coïncidence malheureuse, le même jour, vient de révéler la préfecture des Côtes-d'Armor, deux marcassins étaient retrouvés morts sur la plage Saint-Maurice, à Morieux, envahie par une marée verte. Une plage aussitôt fermée en raison des poches de gaz toxique dans les amas d'algues vertes en décomposition.

Dopée par les rejets d'azote dus à l'agriculture et à l'élevage et par une météo favorable, la prolifération des algues vertes s'est accentuée cette saison : fin juin, 25 000 m3 avaient été ramassés en Bretagne, le double de juin 2010. Avez-vous été surpris par les déclarations du chef de l'Etat ? Non, absolument pas. Algues vertes : l'insupportable déni. Lorsque les faits sont importuns, il suffit de mettre en doute leur existence. Ce détestable principe semble avoir un avenir radieux, dès lors que remédier à des dégâts environnementaux ou sanitaires indispose des intérêts économiques. Les faits sont simples : il s'agit de la responsabilité des effluents agricoles dans la prolifération des algues vertes qui défigurent le littoral breton depuis plus de trente ans et qui reviennent au centre de l'attention avec la découverte, mardi 26 juillet, de plusieurs sangliers morts sur une plage souillée des Côtes-d'Armor. Les chercheurs compétents ne doutent pas du rapport de cause à effet entre pratiques agricoles et prolifération d'algues vertes.

Mais, de manière croissante, un discours se fait jour pour contester ce lien solidement établi par plus de deux décennies de recherches. D'un point de vue scientifique, cette nouvelle étude ne s'imposait pas vraiment. Peut-être sera-t-elle malgré tout utile à l'hôte de l'Elysée. Marée noire en Mer du Nord : Shell ne dit rien. . Face à cette catastrophe, Shell a choisi de se complaire dans un greenwashing des plus osés, requalifiant la marée noire de “pétrole brillant”, et ne donnant absolument pas d’information sur l’accident. Credit: Greenpeace / Klaus Radetzki L’oléoduc a commencé à fuir mercredi 10 août; Shell ne le confirmant publiquement que le … vendredi ! Cela fait donc une semaine, mais nous manquons encore d’informations pour évaluer l’ampleur des dégâts. Shell n’a pas confirmé combien de pétrole s’était échappé (même si cette quantité est évaluée à plus de 200 tonnes c’est à dire plus de 1300 barils, par la compagnie elle-même ) et le géant pétrolier assure au public que la fuite est “sous contrôle”… alors que selon de nombreux rapports, le pétrole continue de se répandre de la plate-forme Alpha Gannet.

Voir les communiqués de la compagnie sur la crise Cette nouvelle catastrophe pose une fois encore la question de la fiabilité des installations offshore en Mer du Nord. Ecology.