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Dyslexie: contourner les difficultés

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Nutrition et cerveau

Elle existe depuis les débuts de notre planète, et se développe grâce à l’environnement, notamment l’environnement nutritionnel : le génome a besoin de micronutriments, d’oligo-éléments, de masses d’ADN, de facteurs organiques ou de zinc pour se restaurer et se développer. Ce qui est vrai pour la vie unicellulaire l’est aussi pour les plantes, les animaux et pour l’homme. L’histoire de l’alimentation a été pendant 300 000 à 400 000 ans marquée par la bonne entente et d’harmonie : L’homme du paléolithique mange en fonction de la saison et de la nature, sans se poser de questions, conformément à ses besoins. Nous sommes devenus paysans il y a 6000 ans : le néolithique s’est caractérisé par une variation de l’offre alimentaire avec l’introduction des céréales, des produits laitiers et de l’élevage. Une étude pionnière a montré que l’impact des différents modèles alimentaires sur la mortalité coronarienne.

La méditation et le TDAH touchent des régions du cerveau qui se chevauchent. Lundi, 08 Avril 2013 10:00 Journal FORUM Les personnes qui pratiquent la méditation sont plus habiles à se concentrer sur une source d’information précise.

La méditation et le TDAH touchent des régions du cerveau qui se chevauchent

(Image: iStockphoto) Les adeptes de la méditation de pleine conscience possèderaient une plus grande épaisseur corticale dans des régions du cerveau responsables de la régulation de l'attention. Une partie de ces mêmes zones serait plus mince chez les individus souffrant d'un trouble déficitaire de l'attention avec ou sans hyperactivité (TDAH). Des chercheurs de l'Université de Montréal et de l'Université McGill ont établi ce rapprochement qui fait l'objet d'un article publié dans la revue Biological Psychology.

Plaquette: Le trouble déficit de l'attention à la maison - L'énigme du petit zèbre.