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Musique

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Beirut - Beirut - LA BLOGOTHEQUE. «Chryde, this is Zach from beirut.

Beirut - Beirut - LA BLOGOTHEQUE

I was extremely excited to hear of the possibility to fly out to paris to play a show…but alas, the timing is off. on may 31st I’ll be in the midst of preparing a tour with a live band around the east coast….But I was hoping that you keep me in mind, and if I were to go out to europe later this year, Some extra help in paris would be ideal…Its been about a year since I was last there. probably my favorite place in all western europe.»

C’était en avril 2006. Gulag Orkestar venait de sortir. Sans savoir trop pourquoi, j’avais écrit à Zach Condon, avec dans l’idée de le faire venir jouer à Paris. Cela n’était pas allé plus loin que ces deux mails. Cette histoire pourrait être écrite sur des pages. Beirut, c’est aujourd’hui plus que Zach Condon. Et au milieu, il y a Zach. Il nous fallut une demi-heure supplémentaire pour trouver un bar qui accepte de nous accueillir (merci l’Ave Maria!) Ce n’était que le début de l’histoire. Piers et Camille - Piers et Camille - LA BLOGOTHEQUE. Ce jour de juin, nous nous étions installé dans une cour d’immeuble dont on nous avait donné le code de la porte d’entrée pour aller filmer Piers, Camille et Dominique interpréter One Of These Things First de Nick Drake.

Piers et Camille - Piers et Camille - LA BLOGOTHEQUE

Très vite la concierge est arrivée en nous demandant qui avait bien pu nous donner l’autorisation de venir chanter ici. Camille a lancé “Dieu” mais elle ne l’a pas cru. Puis une typique copropriétaire est arrivée, et dans les dix secondes a mentionné la police au cas où nous ne déciderions pas très vite à lever le camp. Puis une autre copropriétaire est descendue, sur son chemin pour la salle de gym n’a pu que nous assurer qu’ici personne ne rigolait, que les autorités allaient être averties! Alors on est parti, en chantant, direction St-Eustache où l’on s’est installé cette fois aussi sans prévenir personne. Piers voulait reprendre Banks Of The Nile dont il adorait une version par la chanteuse britannique Sandy Denny. Tegan and Sara - Tegan and Sara - LA BLOGOTHEQUE. Ce qui est embêtant quand on tourne des Concerts à emporter à Montréal, c’est que de novembre à mars, il fait tellement froid qu’on ne peut décemment pas demander aux musiciens de jouer à l’extérieur.

Tegan and Sara - Tegan and Sara - LA BLOGOTHEQUE

Heureusement, il y a de magnifiques endroits comme la salle Wilfrid-Peletier où Philippe et moi avions rendez-vous avec Tegan and Sara une après-midi toute grise. Si on compte, c’est vrai qu’on a moins souvent tourné avec des femmes. Et quand c’est le cas, il s’agit souvent de chanteuses plutôt impressionnantes et qu’on imagine inaccessibles — à tort en général. Rien que pour ça Tegan et Sara sont rafraîchissantes. Déjà, on fait la même taille.

Elles avaient préparé trois chansons. Pour le premier morceau, “Alligator”, on investit les sièges moelleux la salle où elles joueront le soir-même, et qu’elles ont surnommé l’ “Enterprise”, comme dans Star Trek. J’espérais secrètement qu’elles chantent “Feel It In My Bones”. ARLT - ARLT - LA BLOGOTHEQUE. Tu reçois le film de Vincent Moon, on te demande gentiment d’écrire le texte qui ira avec, tu t’engages, tu te demandes bien quelle tête ça aura, tu regardes le film, tu le laisses imprimer quelque chose sur toi en espérant que des mots en sortiront, tu refermes le couvercle, tu laisses dormir, et tu attends… Puis tu commences à paniquer un peu, parce que rien ne vient.

ARLT - ARLT - LA BLOGOTHEQUE

Rien de suffisamment vrai. Local Natives - Local Natives - LA BLOGOTHEQUE. Il y a des rencontres comme ça, qui vous change une année.

Local Natives - Local Natives - LA BLOGOTHEQUE

Qui vous tombent dessus, sans prévenir. C’était un soir de février, lors de la Route du rock hiver, il y a presque un an. Depuis, on ne le a pas lâchés, et sommes aujourd’hui tout heureux de pouvoir vous offrir le second Concert à Emporter des Local Natives, ces californiens aux chemises douteuses, mais à la musique merveilleuse. Leur incroyable énergie s’est cette fois déployée passage Vivienne, non loin du Palais Royal, avec au menu, spécialement pour l’occasion, une version réécrite de “Who Knows, Who Cares”. Décidément, la pluie aime bien s’en mêler… Déjà de la partie quelques mois plus tôt lors de notre première rencontre, lors d’une première session : un moment renversant, imprévu, lors duquel le groupe de Silverlake ne cessa de courir partout, de vouloir jouer ici et là, tels des gamins.

Mais l’envie était aussi là de tenter un truc compliqué, de jouer sur l’espace de ce grand couloir alambiqué. Nat. Indiepoprock.net // webzine, chroniques, interviews, live reports, labels, groupes indie, actualité rock, musique pop, artistes indépendants,